Fables de La Fontaine, Volume 2stéréotype d'Herhan, de l'imprimerie d'A. Egron, 1816 - 402 pages |
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... souvent les faire marcher de compagnie . Après tout , je n'ai entrepris la chose que sur Patru , célèbre avocat au parlement de Paris , et membre de l'académie françoise . l'exemple , je ne veux pas dire des anciens ,
... souvent les faire marcher de compagnie . Après tout , je n'ai entrepris la chose que sur Patru , célèbre avocat au parlement de Paris , et membre de l'académie françoise . l'exemple , je ne veux pas dire des anciens ,
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... Il est assez de cette marchandise . De nul d'eux n'est souvent la province conquise ; Un quart voleur survient qui les accorde net En se saisissant du baudet . XIV . SIMONIDE PRÉSERVÉ PAR LES DIEUX . On ne 14 FABLES .
... Il est assez de cette marchandise . De nul d'eux n'est souvent la province conquise ; Un quart voleur survient qui les accorde net En se saisissant du baudet . XIV . SIMONIDE PRÉSERVÉ PAR LES DIEUX . On ne 14 FABLES .
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... souvent le prix . Voyons comme les dieux l'ont quelquefois payée . Simonide avoit entrepris L'éloge d'un athlète ; et , la chose essayée , Il trouva son sujet plein de récits tout nus . Les parents de l'athlète étoient gens inconnus ...
... souvent le prix . Voyons comme les dieux l'ont quelquefois payée . Simonide avoit entrepris L'éloge d'un athlète ; et , la chose essayée , Il trouva son sujet plein de récits tout nus . Les parents de l'athlète étoient gens inconnus ...
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... Souvent , sans déroger , trafique de sa peine ; Enfin , qu'on doit tenir notre art en quelque prix . Les grands se font honneur , dès - lors qu'il nous font grâce : Jadis l'Olympe et le Parnasse Étoient frères et bons amis . X V. LA ...
... Souvent , sans déroger , trafique de sa peine ; Enfin , qu'on doit tenir notre art en quelque prix . Les grands se font honneur , dès - lors qu'il nous font grâce : Jadis l'Olympe et le Parnasse Étoient frères et bons amis . X V. LA ...
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... souvent Sur les humides bords des royaumes du vent . La nature envers vous me semble bien injuste . Votre compassion , lui répondit l'arbuste , Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci ; Les vents me sont moins qu'à vous ...
... souvent Sur les humides bords des royaumes du vent . La nature envers vous me semble bien injuste . Votre compassion , lui répondit l'arbuste , Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci ; Les vents me sont moins qu'à vous ...
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Common terms and phrases
Adieu alloit amant amour animaux Apollon assez auroit aussi-bien avoient avoit beau belette belle berger bête bois bout C'étoit cent Cérès cerf chasseur chat chien Chloris chose ciel Clymène cœur connoissance conte corbeau cormoran coup Crésus crut d'Ésope devoit Dieu dieux dire disoit disoit-il dit-il donne doux Égypte encens enfants enfin Ésope esprit étoient étoit eût fable faisoit femme Fontaine Fortune gens grenouille homme hôte hymen j'ai J'en jour Jupiter l'aigle l'amour l'âne l'animal l'autre l'homme l'oiseau l'ours L'un là-dessus laisse lion logis loup Lycérus maint maître malheureux mieux monarque monde mort mouche mouton n'avoit n'en passer pauvre peine père peuple Phèdre Phrygien Pilpay plaisir prince qu'à qu'un raison renard repartit rien s'en s'il sage Samiens Scythe seroit seul singe sire sœurs soins sort souris Styx Télamon tête Tircis tombe trésor trouva Ulysse veux vient voilà vouloit voulut Xantus yeux zéphyrs
Popular passages
Page 2 - A ces mots le corbeau ne se sent pas de joie ; Et, pour montrer sa belle voix, II ouvre un large bec, laisse tomber sa proie. Le renard s'en saisit, et dit : 'Mon bon monsieur, Apprenez que tout flatteur Vit aux dépens de celui qui l'écoute : Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute.
Page 154 - J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant , La faim , l'occasion , l'herbe tendre . et je pense , Quelque diable aussi me poussant , Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit , puisqu'il faut parler net.
Page 6 - S'en vienne comparaître aux pieds de ma grandeur: Si dans son composé quelqu'un trouve à redire. Il peut le déclarer sans peur, Je mettrai remède à la chose. Venez, singe ; parlez le premier, et pour cause : Voyez ces animaux, faites comparaison De leurs beautés avec les vôtres.
Page 167 - Perrette, sur sa tête ayant un pot au lait Bien posé sur un coussinet, Prétendait arriver sans encombre à la ville. Légère et court vêtue, elle allait à grands pas, Ayant mis ce jour-là, pour être plus agile, Cotillon simple et souliers plats.
Page 153 - Le Lion tint conseil, et dit: " Mes chers amis, Je crois que le Ciel a permis Pour nos péchés cette infortune. Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux ; Peut-être il obtiendra la guérison commune.
Page 114 - Gardez-vous, leur dit-il, de vendre l'héritage Que nous ont laissé nos parents : Un trésor est caché dedans. Je ne sais pas l'endroit; mais un peu de courage Vous le fera trouver : vous en viendrez à bout. Remuez votre champ dès qu'on aura fait l'août *. Creusez, fouillez, bêchez; ne laissez nulle place Où la main ne passe et repasse.
Page 263 - L'homme, trouvant mauvais que l'on l'eût convaincu, Voulut à toute force avoir cause gagnée. « Je suis bien bon, dit-il, d'écouter ces gens-là ! » Du sac et du serpent aussitôt il donna Contre les murs, tant qu'il tua la bête On en use ainsi chez les...
Page 186 - Tantôt plus, tantôt moins : le mal est que toujours (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes), Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes ; L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Page 159 - J'ouvrirais pour si peu le bec! Aux dieux ne plaise!" Il l'ouvrit pour bien moins : tout alla de façon Qu'il ne vit plus aucun poisson. La faim le prit; il fut tout heureux et tout aise De rencontrer un limaçon. Ne soyons pas si difficiles : Les plus accommodants, ce sont les plus habiles; On hasarde de perdre en voulant trop gagner.
Page 301 - J'en puis jouir demain , et quelques jours encore ; Je puis enfin compter l'aurore Plus d'une fois sur vos tombeaux. Le vieillard eut raison : l'un des trois jouvenceaux Se noya dès le port , allant à l'Amérique ; L'autre , afin de monter aux grandes dignités , Dans les emplois de Mars servant la république , Par un coup imprévu vit ses jours emportés ; Le troisième tomba d'un arbre Que lui-même il voulut enter ; Et , pleures du vieillard , il grava sur leur marbre Ce que je viens de raconter.