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remarques sur les auteurs grecs. Elles sont précédées d'une introduction sur l'art de restituer les textes altérés. M. M. en expose les principaux procédés en s'appuyant sur des exemples choisis dans ses propres conjectures, moitié grecs moitié latins. Nous allons donner une analyse de cette partie du volume: nous choisirons les exemples latins parce qu'ils seront plus immédiatement compris de nos lecteurs.

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Dans le premier chapitre M. M. ramène à différents chefs les fautes des copistes. 1° confusion de lettres semblables et surtout de mots qui s'écrivent à peu près de même. M. M. corrige ainsi le texte de Sénèque (De const. sap. 15, 3): « Quare et aspera et quaecunque toleratu gravia sunt audituque et visu >> refugienda, non obruetur eorum coetu. » Il faut lire quaere au lieu de quare. Ovide n'a pu écrire de Thisbé (Metam. IV, 139): « Et laniata comas amplexaque >> corpus amatum | Vulnera supplevit lacrimis. » Il faut lire avec M. M. sublevit au lieu de supplevit. - 2o Des mots sont mal séparés ou mal joints. Dans Sénèque (Epist. 89, 4) le texte est ainsi donné par le dernier éditeur, Haase : « Philoso»phia unde dicta sit, apparet: ipso enim nomine fatetur. Quidam et sapientiam >> ita quidam finierunt ut dicerent humanorum et divinorum scientiam. >> M. M. lit: « Ipso enim nomine fatetur quid amet. Sapientiam ita quidam finie>> runt, etc. » Cette erreur de copie amène souvent d'autres altérations. Ainsi Tacite ne peut avoir écrit (Ann. XIV, 26): « Unde (legati Hyrcanorum) vitatis >> Parthorum finibus patrias in sedes remeavere. Quin et Tiridaten per Medos >> in extrema Armeniae intrantem abire procul ac spem belli omittere » coegit.» M. M. fait remarquer que quin est ici tout à fait déplacé, puisque l'auteur passe à un fait complétement différent et qu'il n'y a aucune gradation. Il restitue le texte avec autant de simplicité que d'évidence en lisant «< remeavere >> quieti. Tiridaten, etc. » 3o 11 arrive aux copistes de n'écrire qu'une fois les lettres les syllabes ou les mots qui devaient être répétés, ou, plus rarement, de répéter ce qu'ils n'auraient dû écrire qu'une fois. Ainsi dans Cicéron (De domo 128) « Statuebantur arae, quae religionem afferrent ipsi si loco essent » consecratae, » on n'obtiendra un sens satisfaisant qu'en écrivant «< .....ipsi ei >> loco quo essent consecratae. » D'autre part dans Sénèque (De const. sap. 9, 2) où les manuscrits donnent : «< irritatis in nos potentiorum motis, » il faut lire « .....potentiorum odiis. » — 4° Les copistes omettaient des syllabes, écrivant, par exemple, moribus pour maioribus (Sénèque le rhéteur, p. 110), et passaient un mot ou même plusieurs mots. Il faut que le critique rende compte de l'omission; et on ne doit pas corriger un texte en y ajoutant simplement un mot sans expliquer pourquoi il a été passé. Il arrive fort souvent que deux mots ou deux portions de mots semblables se trouvant à quelque distance, le copiste saute l'un des deux mots avec tout l'intervalle. Ainsi dans Quintilien (V, 10, 56), après « genus » ad probandum speciem minimum valet, plurimum ad refellendum, » on lit en exemple de cette maxime : «< nec quod non est virtus, utique potest esse justitia. » Cet exemple ne montre pas comment le genre ne peut pas servir à prouver l'espèce; et il n'est pas probable qu'on s'avise de conclure de ce qu'une qualité n'est pas une vertu qu'elle puisse être la justice. Plusieurs manuscrits offrent d'ailleurs << quod est virtus » sans négation, et «< utique non potest » avec néga

tion. Il faut lire : « nec quod virtus est utique est iustitua, sed quod virtus non est, » utique non potest esse iustitia. » Il arrive que les mots ainsi passés par le copiste sont rétablis à une autre place que celle qui leur appartient. Il arrive aussi que le sens est détruit par une simple transposition, comme dans Sénèque (Quaest. nat., VII, 25, 2): « Adeo animo non potest liquere de ceteris rebus, >>> ut adhuc ipse se quaerat. » Il faut lire «< adeo animo potest non liquere..... » — 5o Il arrive fort souvent que le copiste donne à un mot la même forme grammaticale qu'à un autre qui en est voisin, comme dans Cicéron (De invent. I, 91): « Quod si non P. Scipio Corneliam filiam Ti. Graccho collocasset atque ex ea >> duos Gracchos procreasset, tantae seditiones natae non essent. » Le verbe procreasset n'a pas son véritable sujet, et Gracchos est inutile: il ne pouvait naître que des Gracques du légitime mariage d'un Gracque. Lisons donc «< Gracchus >> au lieu de «<< Gracchos. >> 6o Les copistes insèrent dans le texte une annotation interlinéaire ou marginale parce qu'ils croient qu'elle en fait partie. Mais il faut que le critique établisse que cette annotation a quelque chose qui choque pour la pensée ou pour l'expression, qu'il y avait une raison de la faire et qu'elle ne dépasse pas la capacité de ceux qui ont pu la faire. Cette supposition ne doit pas être employée pour retrancher arbitrairement ce qu'on juge inutile ou pour se débarrasser d'une difficulté. — 7° Les copistes lisaient mal par fausse interprétation ou par inattention et corrigeaient ce qu'ils n'entendaient pas. Ainsi ils faisaient souvent sit de st pour est, comme dans ce passage de Sénèque (ad Marciam, 14, 1): « Quota enim quaeque domus usque ad exitum omnibus par>> tibus suis constitit, in qua non aliquid turbatum sit? » Il faut lire : «<... con» stitit? in qua ... turbatum st? » Dans Sénèque (epist. 90, 26) on lit: <«< non » dedecoros corporis motus (sapientia eruit aut effecit) nec varios per tubam ac » tibiam cantus, quibus exceptus spiritus aut in exitu aut in transitu formatur in » vocem. » Le mot cantus n'a ici aucun sens. Le manuscrit de Bamberg qui est le plus ancien porte seul «< cantisaliqui quibus » au lieu de « cantus quibus. » En retranchant qui répétition de la première syllabe de quibus il reste cantisali, c'est-à-dire canalis (canales) qui est le véritable mot. Les copistes ajoutent quelquefois un mot mal à propos, comme dans Sénèque (epist. 36) «< si hoc » unum adjecero nec infantes nec pueros nec mente lapsos timere mortem. » Le copiste a séparé pueros de infantes en ajoutant nec. Ces interpolations ne sont pas très-nombreuses dans les très-anciens manuscrits. Elles se sont multipliées plus tard. Mais il ne faut pas abuser de cette supposition. M. M. juge tout à fait invraisemblables les interpolations que G. Dindorf a cru trouver dans les poètes tragiques. Et il ajoute (p. 93): « Praeiverat in hoc criticae genere in latinis » Hofman Peerlkamp, qui cum suas Horatio poesis leges scripsisset et multos >> in sententiis et verbis intellegendis errores et prava de rebus ad Latinum ser» monem pertinentibus iudicia adiecisset, Horatium laniavit. Qui tamen ne solus >> in hac pravitate esset aut temeritate summus, nuper (ne Gruppium commemo>> rem) Lehrsius in Ovidii epistolis (quae Ovidium, quae alios scripsisse iudica» bat eadem lege secans), in Iuvenale Ribbeckius effecerunt. >>

Dans le second chapitre M. M. donne sur la manière de restituer les textes quelques conseils généraux justifiés par des exemples. Quand de mauvais ma

nuscrits ne sont pas d'accord avec les bons, ce dissentiment est sans valeur. Quand une leçon qui parait supportable ne se trouve que dans les mauvais manuscrits, elle n'a pas plus d'autorité qu'une conjecture moderne. Une leçon établie par le consentement de tous les manuscrits ou des bons manuscrits doit être tenue pour vicieuse si on démontre qu'elle ne peut être attribuée à l'auteur : << si quid corrigi tanquam mendosum velis, eo dirigenda accusatio est, ut absur» dum esse repugnareque inter se et cum proximis ostendas aut a scriptoris » tempore, ingenio, scientia esse alienum neque probabilem habere excusationem >> aut, cur exciderit scriptori, explicationem (p. 97). » Aussi la critique des textes est-elle inséparable de leur interprétation. Quand la faute est démontrée, il faut arracher toute correction qui sert à la dissimuler, et considérer « non » solum quid respuat locus, sed quid desideret ad eum sententiae et argumenti >> tenorem, cuius vestigia supersint et qui praecedentibus subsequentibusque >> apte adiungatur, continuandum et absolvendum, ad grammaticam orationis >> structuram eam, quae ex iis, quae integra manserunt, pelluceat et emineat, » persequendam, ad formam rhetoricam, quae in contrarie relatis, in adscensu >> aut alio modo appareat, perficiendam, ad verborum colorem imaginumve >> seriem, quam proxima habeant, conservandam, atque haec omnia cum codicum » vestigiis nudatis et accurate inspectis conferenda, apud poetas adhibita versus » lege et certo fine (p. 106). » « Ea vero est practer ceteras palmaris appellanda » emendatio, quae una duabusve litteris mutatis aut transpositis novum senten» tiae lumen, novam orationis forman profert et ex dissolutis et perturbatis >> apta et recta efficit. Artis autem in hoc genere maxime est a sanis abstinere » et aliorum proterviam arcere, vera menda certa ratione coarguere, bona inge>> nii inventa probare et sua sede collocare. Eam artem etsi non praeceptis com>> prehensam quidam naturali quadam prudentia tenuerunt, velut Richardus >> Porsonus, etsi in uno fere Graecorum scriptorum genere ingenium exercuit, » alii, qui magni critici haberi solent, aut in aliqua parte saepe eam violarunt, >> ut Bentleius in mendis arguendis et in suspicione continenda, aut prorsus ea >> caruerunt, ut G. Hermannus, qui non maximum numerum bonarum emenda>>tionum obruit innumerabili inanium et levium opinionum festinanter iactarum » multitudine, rursus non raro, ubi libido aut obtrectatio abripuerat, strenuus >> pravorum defensor (p. 124). »

Dans le troisième chapitre M. M. a rassemblé les passages qu'il a corrigés par le rétablissement d'un nom propre. Ainsi dans Plutarque (an seni sit Gerenda respublica, c. 27), au lieu de ἀνεχώρησε μὲν, ἐκράτει δὲ καὶ δίφρος ἔκειτο, il lit bien ingenieusement et évidemment ἀνεχώρησε. Μενεκράτει δὲ καὶ δίφρος ἔκειτο.

Dans le quatrième et dernier chapitre de cette introduction, M. M. expose la méthode qu'il faut suivre pour établir une règle de grammaire, et il traite en exemple la question de savoir si les Attiques employaient l'aoriste au lieu du futur après les verbes qui signifient dire ou penser, s'ils disaient en (weto) that pour « dicebat, putabat se facturum esse.» A cette occasion il énonce quatre maximes qui me paraissent d'une vérité incontestable : 1o Il faut que la déviation de l'usage commun soit vraisemblable. Or avec les verbes qui signifient dire et penser, ποιῆσαι, ποιῆσαι ἄν, ποιήσειν répondent à ἐποίησα, ποιήσαιμι ἂν,

zato et on ne voit pas comment l'aoriste aurait pu prendre la signification du futur, ni comment le temps passé aurait pu être exprimé avec la nuance propre à l'aoriste, si l'aoriste avait pris la signification du futur. 2° Il ne suffit pas de compter les témoignages en pareil cas. Car à n'envisager que le nombre, si dix ou même cinq exemples ont de l'importance quand il s'agit d'une locution qui n'a rien d'étonnant et que le nombre des exemples contraires n'est pas grand, cinquante ou cent exemples ne signifient rien quand il y a des milliers d'exemples contraires et que l'occasion d'employer la locution controversée se représente très-fréquemment. 3° Il faut examiner quels sont les manuscrits qui offrent le passage cité en exemple. Ainsi on n'a pas de bons manuscrits de Lysias, tandis que les textes de Démosthène et d'Isocrate reposent sur des manuscrits trèscorrects. Or le peu de discours de Lysias présentent plus d'exemples de cet emploi de l'aoriste que le corps bien autrement considérable des discours de Démosthène et d'Isocrate. 4° Il faut examiner si la forme des mots ne se prêtait pas facilement à un changement. Ainsi dans la plupart des exemples d'aoriste ainsi employé que l'on cite, l'aoriste ne diffère du futur que par une voyelle (δέξασθαι, δέξεσθαι), et cette différence ne change rien pour la mesure du vers. Par conséquent de tels exemples ne prouvent rien.

Dans le reste du volume M. M. propose des restrictions de texte pour Pindare, Eschyle, Sophocle', EURIPIDE, Aristophane, Apollonius de Rhodes, Callimaque, Théocrite, Hérodote, THUCYDIDE, XENOPHON, PLATON, les orateurs attiques, Aristote (Politique, de anima, rhétorique), Polybe, Diodore de Sicile, STRABON, PLUTARQUE (vies, œuvres morales), LUCIEN, Pausanias, Philostrate, Diogène Laërce, Stobée, Denys d'Halicarnasse (Antiquités romaines, livre I). Je m'arrêterai ici d'abord à quelques-unes de celles qu'il propose (p. 462 et suiv.) sur le texte de la Politique d'Aristote dont je me suis occupé autrefois (Études sur Aristote, 1860). J'avais rencontré la correction du passage IV, 9, 1294, b 37. Dans 1, 2, 1253 a 34-35, M. M. a vu que opovrget xai άpet ne pouvaient convenir et il les supprime comme «< male declarandi causa adscripta et ad ofs >> accommodata. » Mais dans Aristote en général et dans la Politique en particulier ces interpolations sont bien rares, et c'est une supposition à laquelle il n'est guère permis d'avoir recours. Il me paraît plus probable qu'il manque quelque chose d'où dépendaient ces deux mots. Car le sens exige: «L'homme » a reçu de la nature des armes qui devraient servir à la sagesse et à la vertu, » mais qui sont très-susceptibles de recevoir un emploi opposé. » Dans (1, 8, 1256 b 27) Ἓν μὲν οὖν εἶδος κτητικῆς κατὰ φύσιν τῆς οἰκονομικῆς μέρος ἐστίν· ὅ δεῖ ἤτοι ὑπάρχειν ἢ πορίζειν αὐτὴν ὅπως ὑπάρχῃ, ὧν ἐστι θησαυρισμός χρημά Twv apos (why avaɣxaíov, M. M. ne voit pas de difficulté à devant de, mais corrige eveσt: au lieu de ☎v dott. Cependant & ne peut bien se construire, et v ETT (ou plutôt ett) donne un très-bon sens. La pensée exige : « Il y a un >> mode d'acquisition qui fait partie de l'économique. Car il faut que l'économique >> ait à sa disposition ou procure les choses nécessaires à la vie dont on peut

1. Les noms d'auteurs sur lesquels il y a peu d'observations sont en romain; les noms des auteurs sur qui il y en a davantage sont en italiques; j'ai mis en capitales les noms des auteurs sur lesquels il y en a un très-grand nombre.

>> faire provision. >> Mais je ne vois pas de moyen paléographiquement vraisemblable d'introduire l'expression de cette pensée dans le texte. Car ce que j'ai proposé ὃ τῆς οἰκονομικῆς μέρος ἐστι · δεῖ γὰρ ἤτοι... est trop violent. Dans II, 9, 1270 a 37 και φασιν εἶναί ποτε τοῖς Σπαρτιάταις καὶ μυρίους, Μ. Μ. corrige Tous Taρtiáτas. Mais j'ai dit et je persiste encore à penser qu'il manque devant poplous une évaluation de forces militaires en cavaliers et en hoplites comme celle que l'on trouve plus haut, ligne 29. Dans IV, 4, 1290 b 25, c'est par distraction que M. Μ. a lu dans son texte πρῶτον ἀποδιωρίζομεν. Coray et Bekker оnt лρтоν av άлod. Mais il y a dans ce passage une faute que j'ai signalée : L'apodose de Teр doit être cherchée, ligne 37 dans tèv autòv dè (lisez oǹ) τрóлсv, ce qui amène aussi à lire dè au lieu de èǹ, ligne 29 ei dǹ totaūta. M. M. avait rencontré et adopté la conjecture de Coray qui substitue ita ts p. à dià τῆς φ. dans VII, 13, 1332 b 2, ἔνια γάρ ἐστι διὰ τῆς φύσεως ἐπαμφοτερίζοντα διὰ τῶν ἐθῶν ἐπὶ τὸ χεῖρον καὶ τὸ βέλτιον. Je persiste à penser que Conring avait raison de supposer qu'il manquait le participe correspondant à èлappoтepicovtz et d'où dépendait dtà Tov 0ov. Ce n'est pas par suite de l'habitude, qui au contraire détermine la direction, que certaines dispositions sont incertaines entre le bien et le mal; c'est évidemment par la nature seule qu'elles ont ce caractère; et par conséquent διὰ τῆς φύσεως se rapporte à ἐπαμφοτερίζοντα.

On me signale quelques fautes contre la métrique dans les corrections proposées par M. M. sur Eschyle et Euripide. Ainsi Porson a remarqué le premier (Praef. ad Hecubam) que les tragiques évitent de commencer le cinquième pied de l'iambique trimètre par une longue, quand elle est la finale d'un mot de plusieurs syllabes et qu'elle est suivie d'un mot de trois syllabes, comme dans váτots oupavév (Eurip. Ion. 1). M. M. corrige néanmoins dans Eschyle Agam. 1197 προϋμοσάσῃ μὴ εἰδέναι (p. 199), Choep. 692 εἰκός σ' εἰδέναι (p. 204). 11 ne s'est pas aperçu que dans Iph. Taur. le vers 836, qui est mêlé à des dochmiaques, est un iambique trimètre, et il lui donne pro pour sixième pied. I est sans exemple qu'un tragique ait employé comme iambe tolous (de totos) que M. M. veut introduire dans Troj. 476 (p. 272). L'anapeste Tapiov est impossible au premier pied du vers trochaïque Iph. Aul. 284.

Le jeune savant qui a signalé à M. M. les corrections déjà faites par d'autres (préface, p. 11) en a laissé échapper beaucoup, et la liste qui est à la suite de la préface est fort incomplète. Ainsi Eschyle Prom. 1057 ʼn toûd'eùyʼn Weil. Suppl. 514 ἀεὶ γυναικῶν Linwood et Meineke. 971 ναίειν. Κεἰ τόπος εὔφρων Schwerdt. Agam. 1123 Twoipatę Weil. 1227 patopov og Ahrens. 1252 apáv Canter. 1422 ὡς παρεσκευασμένον déjà cité par plusieurs éditeurs. Euripide Hec. 189 Inλeía yévva Schoemann et Weil (Sept tragédies d'Euripide. Paris, Hachette, 1868. In-8°). Orest. 434 t'étépwv d'añóλλupat Weil. 836 pós Weil. 1467 φυγάδι δὲ ποδί Facius. Hipp. 1386 τοῦδ ̓ ἀνάλγητον πάθους Weil. Med. ist et suiv. σπεύσει θανάτου τελευτά avec le changement de ponctuation, Weil. Electre 1293 ucapai Weil. Iph. Aul. 69 3о: Lenting. Iph. Taur. 679 пρodoùs ceo@¤Ðαí d'autés Elmsley. Au reste il ne semble pas qu'on ait à Copenhague beaucoup de ressources en livres. Car M. M. n'a pas pu avoir à sa disposition le Strabon de Müller: « Exemplo Parisiis apud Didotum edito a Muellero uti non potui, ex

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