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M. Evariste Boulay-Paty, M. Alfred Delvau, etc.)', mais on n'avait pas encore réuni un aussi grand nombre de renseignements sur le sonnet et les sonnettistes (demandons pardon à l'Académie d'employer ce mot vraiment trop commode pour qu'on puisse s'en passer), et l'ouvrage de M. de Veyrières est à la fois le plus complet et le plus intéressant de tous ceux qui ont été consacrés à cet aimable sujet.

L'auteur recherche d'abord les origines du sonnet, et, écartant l'opinion de Colletet, qui regardait ce genre de poésie comme indigène, il admet, avec tous les critiques éclairés, une provenance italienne. S'appuyant sur Raynouard et sur Fauriel, il explique très-bien que le sonet des Provençaux était une simple chanson, littéralement un petit son, et que, sur ce point, tout, en définitive, se réduit à une querelle de mots 3. Le germe de l'erreur, M. de V. l'a découvert dans les vies des plus célèbres et anciens poètes provensaux de ce Jean de NostreDame qui, dit-il (p. 17), « non content de produire des pièces apocryphes, in>> ventait même des troubadours 4. » C'est là qu'est venu la prendre, pour l'aggraver et la propager, César de Nostre-Dame, fils de l'astrologue Michel et trop digne neveu de Jean (Histoire et chronique de Provence, Lyon, 1614, in-fol.).

En Italie, M. de V. trouve tout d'abord «<le sonnet célèbre que Pierre des » Vignes est censé avoir écrit en 1220. » Il en donne (p. 26 et 27) le texte et la traduction (due à M. Georges Garnier, un ami qui l'a beaucoup aidé dans toutes ses recherches), faisant observer que le choix de l'année 1220 est fort arbitraire. Je ne crois pas, en effet, qu'il soit possible de préciser la date de la composition de cette petite pièce où est signalée la vertu de l'aiguille aimantée (la vertute de la calamita), et il faut se contenter de dire que c'est là le plus ancien de tous les sonnets connus. Dans la période suivante, M. de Veyrières mentionne, parmi les auteurs de sonnets, Guido Cavalcanti et Dante Alighieri, Cino da Pistoia, et surtout Pétrarque, par qui, dit-il (p. 29), le sonnet fut tellement transformé que le chantre de Laure peut être appelé le

1. En 1870 a paru un livre de M. Paul Gaudin intitulé: Du rondeau, du madrigal et du sonnet (Paris, pet. in-8°).

2. M. F. Z. Collombet, dans son Cours de littérature profane et sacrée (1833), n'a pas craint d'affirmer que « nous possédions des sonnets provençaux. » M. E. Boulay-Paty partageait, plus récemment, les illusions du vieux Colletet.

3. Bien avant Raynouard, dès 1242, comme le rappelle M. de V. (p. 22), la triomphante explication avait été donnée par Redi et Quadrio (Della storia e della ragione d'ogni poesia. Milan). A mon tour, je rappellerai que déjà Étienne Pasquier (Recherches de la France, Livre VII, chap. vj) avait déclaré que le Sonet dont il est question dans les poésies du comte Thibaut de Champagne « ne signifie autre chose que chanson. »

4. M. de V. cite contre le mensonger ouvrage de Jean de Nostre-Dame (p. 16) la Dissertation de Pierre Joseph de Haitze sur divers points de l'histoire de Provence (Anvers, 1704, in-12), et, aux Additions (t. II, p. 251) le travail de M. Paul Meyer dans la Bibliothèque de l'Ecole des chartes (t. XXX et XXXI), sur les Derniers troubadours de la Provence d'après le chansonnier Giraud.

5. M. A. Huillard-Bréholles (Vie et correspondance de Pierre de la Vigne, ministre de l'empereur Frédéric II, Paris, 1864, in-8°, p. 155) cite, à cet égard, l'opinion considérable de M. de Raumer (Gesch. der Hohenstaufen, t. VI, p.620, note 2). Ajoutons, pour répondre à ce que dit M. de V. (p. 27, 28) de l'incertitude qui plane sur la mort de Pierre de la Vigne (nom qu'on doit préférer à celui de Pierre des Vignes), que M. Huillard-Bréholles a placé par de bonnes raisons (p. 88) cet événement en avril 1249.

véritable père de ce genre de poésie. L'auteur ajoute, en passant (p. 31), que, << d'après une opinion ancienne, fortifiée par de nouvelles preuves, il ne faudrait >> point voir dans la bien-aimée de Pétrarque Laure de Noves, femme de Hugues » de Sade, mais Laure d'Adhémar, dont le père était seigneur de Cabrières, peu >> éloigné de Vaucluse. Celle-ci mourut à trente-cinq ans et sans avoir été mariée » (Ph. de Maldeghem, Vie de Pétrarque) 2. » Sur cette piquante question M. de V. fera bien de lire une note décisive de M. Alfred Mézières (Pétrarque étude d'après de nouveaux documents, Paris, 1868, introduction, p. xv et xvj) 3. M. de V. indique rapidement les autres sonnettistes de l'Italie, parmi lesquels je ne nommerai que le Tasse, Sannazar, Michel Ange, Annibal Caro, dont la Belle Matineuse fut imitée par Voiture, Malleville et plusieurs autres, Galilée, Marini, Filicaia, dont il reproduit (p. 32) le magnifique sonnet sur les destinées de l'Italie.

En Espagne, la moisson de l'auteur est beaucoup moins abondante: Boscan, Garsilaso de la Vega, Hurtado de Mendoza, sainte Thérèse, dont le sonnet (A Cristo crucificado) est donné (p. 36) avec une traduction (qui me paraît bien insuffisante) du général comte Anatole de Montesquiou (p. 37), Herrera, Cervantes, voilà les noms principaux signalés à notre attention 4. Il faut y joindre en Portugal Camoens, dont M. de V. paraît ne connaître que de réputation les admirables sonnets.

Abordant (p. 29) cette terre française où s'acclimata si vite et prospéra si bien la fleur délicate venue de l'Italie, M. de V. se demande quel fut le premier qui importa le sonnet chez nous? Entre Clément Marot et Mellin de Saint-Gelais, il n'ose se prononcer, disant trop modestement (p. 40): « Nous abandonnons la >> controverse à ceux qui sont moins ignorants que nous. » Il me semble qu'en face de la déclaration si expresse d'un contemporain tel que Joachim du Bellay, on ne peut guère contester à Mellin de Saint-Gelais l'honneur d'avoir introduit le sonnet en France. Que le poète de Cahors ait suivi de près, de très-près, le poète d'Angoulême, je le veux bien, mais, dans tous les cas, il a si peu laissé de sonnets, et ses sonnets sont si faibles, si inférieurs à ses rondeaux et à ses épigrammes, que Marot, à tout prendre, n'existe pas comme sonnettiste. Celui qui,

1. Et. Pasquier (Recherches de la France, Liv. VII, ch. vj) avait déjà présenté Pétrarque comme le père des sonnets italiens. »>

2. Voir Le Petrarque en rime françoise avecq les commentaires, traduict par Philippe de Maldeghem, seigneur de Leyschook (Bruxelles, 1600, in-12. Douai, mêmes date et format). 3. Cette introduction contient encore sur le récueil de Sonnets italiens découvert à Munich et publié pour la première fois, en 1859, par M. le professeur Thomas, sonnets qui ont été attribués sans d'assez sérieux motifs à Pétrarque, des renseignements que je recommande à M. de V. (p. viij-ix).

4. Sur le sonnet en Espagne, on a les meilleures indications dans les notes qui accompagnent la traduction du Voyage au Parnasse de Michel de Cervantes par M. J. M. Guardia (Paris, 1864, p. 127-260). Le savant traducteur vante (p. 129) un «< sonnet très-joli du marquis de Alcanises (p. 136), deux sonnets de B. J. Leonardo de Argensola, etc. Ticknor est encore à consulter.

5. J'espère que M. Prosper Blanchemain, qui va nous donner bientôt une édition complète des Euvres poétiques de Mellin de Saint-Gelais, avec le commentaire inédit de Bernard de La Monnoye, mettra tout à fait en évidence les droits de son protégé. Probablement aussi nous trouverons de définitives conclusions dans la nouvelle édition préparée depuis si longtemps par M. Sainte-Beuve et qui nous est promise par M. Troubat du Tableau historique et critique de la poésie française au XVI siècle. Déjà, dans l'édition de 1843 (p. 35, n. 1), l'éminent critique se déclarait formellement pour Meltin de Saint-Gelais.

sans contredit, mérite le plus d'être cité après Saint-Gelais, c'est Du Bellay, c'est le chantre si fécond et si gracieux d'Olive et des Regrets, c'est celui que ses contemporains ont surnommé le Prince du sonnet. M. de V. se garde bien d'oublier les sonnets d'Olivier de Magny, de Ronsard, de Remi Belleau, de Claude de Buttet, d'Etienne Jodelle, de Baïf, d'Amadis Jamyn et de Desportes. Malherbe l'amène au XVIIe siècle où il distingue, entre tous, Gombauld, Maynard, Malleville, Voiture, Corneille, Benserade. Il termine par ce trait spirituel (p. 42) l'esquisse de l'histoire du sonnet en France: « De nos jours, les sonnettistes ne se >> comptent plus, excepté les bons. >>

Continuant à décrire les pérégrinations du sonnet, M. de V. le suit en Angleterre, attiré surtout par les grands noms de Shakspeare et de Milton, sans parler de celui de la reine Elisabeth; en Allemagne, où il ne mentionne, avec Goethe, qu'un très-petit nombre de poètes 2; en Hollande, où il peut indiquer à peine deux sonnettistes de quelque valeur; en Pologne, où il salue le seul Adam Mickiewicz; en Russie, où Pouschkine à peu près seul aussi représente un genre de poésie qui décidément semble avoir besoin, pour se développer à son aise, des chaudes influences du soleil de l'Europe méridionale 3.

Je glisse sur les chapitres intitulés : Règles du sonnet, divers genres de sonnets, des académies protectrices du sonnet (Jeux floraux avec l'inévitable et indestructible fable de Clémence Isaure, - Société des lanternistes, Puys ou Palinods de Rouen, de Caen), et j'arrive à la plus précieuse portion de l'ouvrage : Sonnettistes français anciens (1529-1800). Là (p. 95-287 du tome I et p. 5-106 du tome II) M. de V. a réuni des milliers de particularités littéraires, biographiques, bibliographiques. Quelques-unes de ces particularités sont des révélations. M. de V. a fouillé avec tant d'ardeur soit dans les bibliothèques publiques de Paris (surtout la bibliothèque du Louvre), soit dans les collections particulières, qu'il a retrouvé plus d'une douzaine de nos vieux poètes. A ces évocations de morts depuis si longtemps oubliés 4, se joignent des redressements de toute sorte, et les deux volumes de M. de V. complètent aussi bien la Bibliothèque française de l'abbé Goujet et le Catalogue de Viollet-le-Duc, que le Manuel du Libraire 6 et

1. Marie Stuart, comme l'a parfaitement établi M. Wiesener, n'est pas l'auteur des douze sonnets au comte de Bothwell qui lui ont été attribués par des ennemis.

2. [Toute cette histoire du sonnet à l'étranger est fort incomplète et superficielle. Pour l'Allemagne notamment, M. de V. ne dit pas un mot de l'épidémie de sonnets qui sévit dans l'école romantique, et contre laquelle Baggesen fit un livre exprès. Il ne parle, ni des Sonnets cuirassés de Rückert, ni des admirables sonnets de Platen, ni des sonnets, trèsrares mais si beaux, de Heine. G. P.]

3. C'est le cas de citer le dernier vers d'un sonnet de M. Paul Garnier sur le Sonnet (t. II, p. 107): « Et dans son étincelle on revoit le soleil. »

4. A. de Beauregard (de Lyon), François Dambrun, gentilhomme de la maison de la duchesse de Ferrare (Renée de France), Rostaing de Luzy, Marc Gilles Mancel (de Normandie), Mauvernois, Jacques Moysson, H. Piccardt, de La Ronce, Pierre Tredehan (d'Angers), secrétaire du cardinal de Meudon (Du Bellay), etc.

été

5. M. de V. relève aussi quelques erreurs de Viollet-le-Duc, notamment (t. I, p. 105), celle que commet le zélé bibliophile en affirmant que le poète Isaac Habert n'avait pas connu des biographes antérieurs, alors que Goujet, Ph. de La Madelaine, Brunet l'avaient mentionné tous les trois.

6. Les lacunes de cet ouvrage sont indiquées tome I, p. 96, 98, 100, 106, 111, 198,

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REVUE CRITIQUE D'HISTOIRE ET DE LITTÉRATURE.

que le Dictionnaire des anonymes et pseudonymes. Des citations tirées de livres rares, prises surtout parmi ces pièces liminaires qui abondent dans les bouquins du xvIe siècle, ajoutent un singulier agrément aux trois cents pages où l'auteur passe en revue l'armée presque infinie des anciens sonnettistes, armée à laquelle le dépouillement de douze à treize cents volumes du Mercure de France et du Mercure galant a fourni beaucoup d'obscurs soldats.

Quant aux sonnettistes français modernes (1801-1869), ils sont eux aussi en quelque sorte innombrables: la liste qu'en dresse M. de V. est des plus curieuses. Parmi ces sonnettistes, on n'est pas peu surpris de rencontrer Carnot (p. 129, 130). Des anecdotes, des rapprochements, des extraits, le tout entremêlé de bien des mots heureux, rompent d'une manière agréable la monotonie inséparable des longues énumérations.

Le livre n'est ni sans lacunes, ni sans erreurs. Parmi les sonnets qui ont été oubliés, je me contenterai de signaler, pour le xvi siècle, vingt-deux sonnets pieux de Lancelot de Carle, évêque de Riez (à la suite de sa paraphrase de : P'Ecclésiaste de Salomon (Paris, 1561), et vingt sonnets anonymes (quelques-uns fort remarquables) qui se lisent à la suite de la Plainte de la Guiene au Roy (Bourdeaux, S. Millanges, 1577), réimprimée par M. Jules Delpit dans le 1er volume des Publications de la Société des Bibliophiles de Guyenne (Bordeaux, Gounouilhou, 1868); pour le xvIIe siècle, le sonnet jadis si célèbre de l'abbé de Rancé, que l'on retrouve encore dans certains ouvrages de piété, et un sonnet de Claude le Petit contre Marc de Mailliet, rapporté par Jean Rou (Mémoires, 1857, t. II, p. 318). Quelques-unes des petites notices retracées par M. de V. pourraient qui s'en étonnera? — être plus exactes. Une attentive révision fera disparaître des taches qui sont presque toutes légères, et bientôt, croyons-le, une nouvelle édition, débarrassée de toutes fautes, enrichie de considérables additions, en un mot, irréprochable à tous les points de vue, viendra tenter nonseulement les poètes et les érudits, mais encore tous les hommes de goût qui ne sont pas compris dans ces deux catégories 2.

207, 232; tome II, p. 8, 14, 33, 82, etc.

T. DE L.

1. On lit (t. II, p. 18) que Claude le Petit « monta jeune sur le bûcher, en place de » Grève, l'an 1622, pour avoir composé des vers infâmes. » 1622 est là pour 1662 (voir, pour cette dernière date, les Trois lettres inédites relatives à Claude le Petit insérées par moi au Bulletin du Bouquiniste du 1 avril 1872, p. 147); c'est un lapsus typographique non relevé aux errata. L'imprimeur de M. de V., M. Jouaust, d'ordinaire si soigneux, a déplorablement multiplié les fautes dans ces deux volumes d'un aspect si élégant, et l'on n'a que trop l'occasion de répéter, à ce sujet, ce que dit l'auteur (t. I, p. 115) d'un recueil de vers de Guillaume de Buys (l'Oreille du prince, Paris, 1582, in-8°) : « Les » coquilles semblent s'y être donné rendez-vous. »

2. [Nous devons ajouter que l'article de notre érudit collaborateur nous parait un peu trop bienveillant. M. de V. est loin d'avoir rassemblé tous les faits intéressant l'histoire du sonnet ou même d'avoir choisi les plus saillants. Ses énumérations indéfinis de noms et de dates auraient pu être mieux disposées et même avantageusement remplacées par des résumés bien présentés. Il y a, pour toute la partie ancienne, des omissions et des erreurs que M. T. de L. n'a pas toutes relevées. Enfin il règne dans tout ce livre un esprit de dévotion que nous n'avons pas à juger, mais qui paraît fort étrange en pareil sujet. G. P.]

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