Études littéraires sur l'apologue, la poésie lyrique, la poésie épique: chez les francais, les anglais, les allemands, les italiens et les espagnols : et sur la poésie hébraïque et la poésie orientale : renfermant des extraits, des analyses et des notices critiques et biographiques sur chaque auteur |
From inside the book
Results 1-5 of 35
Page 16
... filles passant , l'une dit : « C'est grand'honte Qu'il faille voir ainsi clocher ce jeune fils , Tandis que ce nigaud ... fille , et m'en croyez . » Après maints quolibets coup sur coup renvoyés , L'homme crut avoir tort et mit son fils ...
... filles passant , l'une dit : « C'est grand'honte Qu'il faille voir ainsi clocher ce jeune fils , Tandis que ce nigaud ... fille , et m'en croyez . » Après maints quolibets coup sur coup renvoyés , L'homme crut avoir tort et mit son fils ...
Page 51
... fille au tombeau descendue Par un commun trépas , Est - ce quelque dédale où ta raison perdue Ne se retrouve pas ? Je sais de quels appâts son enfance était pleine , Et n'ai pas entrepris , Injurieux ami , de soulager ta peine Avecque ...
... fille au tombeau descendue Par un commun trépas , Est - ce quelque dédale où ta raison perdue Ne se retrouve pas ? Je sais de quels appâts son enfance était pleine , Et n'ai pas entrepris , Injurieux ami , de soulager ta peine Avecque ...
Page 74
... . Ah ! pleure , fille infortunée ! Ta jeunesse va se flétrir Dans sa fleur trop tôt moissonnée ! Adieu , beau ciel , il faut mourir ! Tu ne reverras plus tes riantes montagnes , Le temple , le hameau , les champs de Vaucouleurs 74.
... . Ah ! pleure , fille infortunée ! Ta jeunesse va se flétrir Dans sa fleur trop tôt moissonnée ! Adieu , beau ciel , il faut mourir ! Tu ne reverras plus tes riantes montagnes , Le temple , le hameau , les champs de Vaucouleurs 74.
Page 96
... filles de la nuit à ton éclat pâlissent ; La lune devant toi fuit d'un pas inégal , Et ses rayons douteux dans les flots s'engloutissent . Sous les coups réunis de l'âge et des autans Tombe du haut sapin la tête échevelée ; Le mont même ...
... filles de la nuit à ton éclat pâlissent ; La lune devant toi fuit d'un pas inégal , Et ses rayons douteux dans les flots s'engloutissent . Sous les coups réunis de l'âge et des autans Tombe du haut sapin la tête échevelée ; Le mont même ...
Page 117
... fille de Thuiskon . « Je m'en souviens , dit - elle , je na- quis avec toi chez les Bardes dans la forêt sacrée . >> Mais le bruit était venu jusqu'à moi que tu n'existais plus : pardonne , ô Muse , si tu es immortelle ! pardonne - moi ...
... fille de Thuiskon . « Je m'en souviens , dit - elle , je na- quis avec toi chez les Bardes dans la forêt sacrée . >> Mais le bruit était venu jusqu'à moi que tu n'existais plus : pardonne , ô Muse , si tu es immortelle ! pardonne - moi ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
Achior Adam Afrasiab âme anges armées Asoors Assyriens avez Baratha beauté Brahma bras brillante bruit Bushanda céleste CHANT Chiraz ciel cieux Cilicie cœur colère combat coup cruel d'Holopherne d'Israël demeure devant Dieu dieux divine douleur éclat enfants enfants d'Israël ennemis esprit éternelle fils flamme flots front fureur gémissements glaive gloire Godefroi guerriers héros Holopherne hommes Israël j'ai jamais Jérusalem Jésus jeune joie jour Judith Klopstock Kreeshna l'ange l'enfer l'Eternel l'univers larmes Lazare littérature persane main malheurs maux mère Mésopotamie Messie Milton Moallakah monde mont des Oliviers mont Golgotha montagnes mort mortel Nabuchodonosor naquit Ninive nuit odes Pandoos paroles passer pensée père persan Perse peuple plaine pleurs poëme poésie poëte porte prière prince Rama Ramayana Ravana regard Rustem sacrés saint sang Satan Seigneur sépulcre seul soleil sommeil Soors sort sublime ténèbres terre terrible tête tombe tombeau Trad tremble trépas trône Vishnou voilà vois voix Yakshas yeux Zoak
Popular passages
Page 19 - L'âne vint à son tour, et dit : " J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Page 63 - De ce jour à jamais auguste et renommé , Quand, sur ton sommet enflammé, Dans un nuage épais le Seigneur enfermé Fit luire aux yeux mortels un rayon de sa gloire. Dis-nous pourquoi ces feux et ces éclairs , Ces torrents de fumée, et ce bruit dans les airs, Ces trompettes et ce tonnerre : Venait-il renverser l'ordre des éléments ? Sur ses antiques fondements Venait-il ébranler la terre?
Page 52 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin ; Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin.
Page 18 - Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés : On n'en voyait point d'occupés A chercher le soutien d'une mourante vie ; Nul mets n'excitait leur envie ; Ni loups ni renards n'épiaient La douce et l'innocente proie : Les tourterelles se fuyaient ; Plus d'amour, partant plus de joie.
Page 18 - Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi ; Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse. Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse. Eh...
Page 54 - Je suis vaincu du temps, je cède à ses outrages; Mon esprit seulement, exempt de sa rigueur, A de quoi témoigner en ses derniers ouvrages Sa première vigueur. Les puissantes faveurs dont Parnasse m'honore Non loin de mon berceau commencèrent leur cours ; Je les possédai jeune, et les possède encore A la fin de mes jours.
Page 88 - Le Crucifix T"OI que j'ai recueilli sur sa bouche expirante Avec son dernier souffle et son dernier adieu, Symbole deux fois saint, don d'une main mourante, Image de mon Dieu ; Que de pleurs ont coulé sur tes pieds que j'adore, Depuis l'heure sacrée où, du sein d'un martyr, Dans mes tremblantes mains tu passas, tiède encore De son dernier soupir...
Page 18 - J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait? nulle offense; Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévouerai donc, s'il le faut : mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi ; Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse.
Page 14 - Dame mouche s'en va chanter à leurs oreilles, Et fait cent sottises pareilles. Après bien du travail, le coche arrive au haut. « Respirons maintenant! dit la mouche aussitôt : J'ai tant fait que nos gens sont enfin dans la plaine Ça! messieurs les chevaux, payez-moi de ma peine.
Page 9 - LE CHÊNE ET LE ROSEAU. LE chêne un jour dit au roseau : Vous avez bien sujet d'accuser la nature ; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau ; Le moindre vent qui d'aventure...