Œuvres, publ. par J. Stecher. (Acad. roy. de Belgique).1885 |
From inside the book
Results 1-5 of 37
Page 208
... quilz soient congnus dunchacun : Et les ha transportez en la Romaigne , cestadire , en certaines prouinces de Grece . Et encores à fin que non sans grand difficulté ilz se puissent rassembler ensemble , il les ha separez en diuers lieux ...
... quilz soient congnus dunchacun : Et les ha transportez en la Romaigne , cestadire , en certaines prouinces de Grece . Et encores à fin que non sans grand difficulté ilz se puissent rassembler ensemble , il les ha separez en diuers lieux ...
Page 212
... quilz sentreren- contrent enuiron à my chemin . Auquel lieu Syach Ismail , nonobstant que sa puissance fust beaucoup moindre , au regard de larmee dudit Morath Cam , neantmoins il fut le premier assaillant et donnant dedens . Mais à la ...
... quilz sentreren- contrent enuiron à my chemin . Auquel lieu Syach Ismail , nonobstant que sa puissance fust beaucoup moindre , au regard de larmee dudit Morath Cam , neantmoins il fut le premier assaillant et donnant dedens . Mais à la ...
Page 213
... quilz auoient esperance quelle les deuoit conduire à la vraye éternelle vie de Paradis . Pour laquelle raison les gens de Sophy batailloient si tresfurieusement , en marchant sur les corps de leurs com- paignons mesmes , sans crainte ...
... quilz auoient esperance quelle les deuoit conduire à la vraye éternelle vie de Paradis . Pour laquelle raison les gens de Sophy batailloient si tresfurieusement , en marchant sur les corps de leurs com- paignons mesmes , sans crainte ...
Page 237
... quilz seroient punis , des meffaits par eux perpetrez . Laquelle iournee est adue- nue à vostre male destinee . Nous donques qui nauons point mis en oubli que cest de fragilité humaine , qui nignorons point les cas , perilz , et ...
... quilz seroient punis , des meffaits par eux perpetrez . Laquelle iournee est adue- nue à vostre male destinee . Nous donques qui nauons point mis en oubli que cest de fragilité humaine , qui nignorons point les cas , perilz , et ...
Page 240
... quilz sont turbateurs de Paix , pource quilz troublent lunion de Chrestienté forgee tresheureusement en la cité Imperiale de Cambray , par tresclere Princesse , Madame Marguerite Auguste , Archiduchesse d'Austriche , et Contesse ...
... quilz sont turbateurs de Paix , pource quilz troublent lunion de Chrestienté forgee tresheureusement en la cité Imperiale de Cambray , par tresclere Princesse , Madame Marguerite Auguste , Archiduchesse d'Austriche , et Contesse ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
ains Antipape auant audit auec auecques Auignon auoient auoir auoit auons Bourgongne Bretaigne celuy cens cestadire cestasauoir ceste chose Chres Chrestiens cler cœur concile de Clermont Cupido d'vn dautre dedens deuant deuers Dieu donation de Constantin donques dudit dueil enuers enuiron enuoya eslu esté estoient estoit estre Euesque feit filz finablement François fust Gallicane iadis iamais Iean ieune iours Italie iusques ladite lan mille lautre ledit Pape leglise lempereur Lempire lesdits lesquelz Lyon maint merueilleuse mesmement monstrer mort natif neantmoins noble nommé nouuelle oultreplus païs parauant Parquoy peult pource Prelats premiere present Princes print quil quilz quon recouurer Romains Romme Roy Loys Roy Phelippes Roy treschrestien Royaume Royne saint Sarrasins schisme seigneur Sophy Souldan souuerain souz Syach Ismail tantost apres terre sainte tousiours Toutesuoyes Traicté tresnoble tressaint trouuer Turcz Venitiens viure vn concile vniuersel vray vueil
Popular passages
Page 195 - Pyrrhus, la laitière, enfin tous, Autant les sages que les fous. Chacun songe en veillant; il n'est rien de plus doux: Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes; Tout le bien du monde est à nous, Tous les honneurs, toutes les femmes. Quand je suis seul, je fais au plus brave un défi...
Page 46 - Nul medecin, tant oust il de renom. L'vn la voulut Sahaphati nommer, En Arabie, l'autre ha peu estimer Que Ion doit dire en Latin Mentagra : Mais le commun quand il la rencontra, La nommoit Qorre, ou la Verole grosse, Qui n'espargnoit ne couronne ne crosse.
Page 93 - La premiere contiendra la description du temple de Venus, selon la mode poétique. Et sera rhythmee de vers tiercets, à la façon Italienne ou Toscane, et Florentine : Ce que nul autre de nostre langue Gallicane ha encores attenté densuiure, au moins que ie sache.
Page 55 - L'autre en viuant de mort les traits passer. Presque en valeur ilz conuiennent ensemble. Mais pour en dire icy ce qu'il m'en semble, Mieux vaut par mort perdre aconp sa vigueur, Qu'en amour viure, et traîner grand langueur : C'est vn prouerbe en tous lieux general.
Page 154 - Et toy lean Hay, ta noble main chomme elle ? Vien voir Nature auec lean de Paris Pour luy donner ombrage et esperits. Faites broyer sur voz polis porphyres Couleurs duisans à mon intention...
Page 167 - Orphee esmut à le suiure et l'ouyr, Aussi vous tous faites tant qu'il nous semble, Que tout le monde en sa machine tremble, Et que maint fleuue, et maint rocher s'assemble, Pour de voz chants en grand pitié i'ouyr. Et puis acoup par œuure controuerse, Faites changer l'efficace diuerse, Et semonnant Nature à resiouyr, A fin que Mort ayt passion aduerse.
Page 132 - Larmes de longue espargne Faut qu'on distille, Et de plourer, apprendre nouueau style, En maudissant le bras, et main hostile, Qui de sa vie ont rompu la bastille. Tristes cœurs pleins De desconfort, plaingnez ce que ie plains. Aigres clameurs iettez par champs et plains, Si que chacun entende noz complaints. L'aduersité Du repentin cas fatal recité, Me rendit lors en la perplexité D'aspre despit : parquoy fus excité • Me mettre en couche : Ou l'aguillon de dure et fiere touche, Les cœurs...
Page 92 - Cestasauoir dun costé par aucunes alliances et communications qui se treuuent et sentretiennent entre lesdites deux nations. Mesmement entre le peuple de Florence et la noblesse Françoise. Et le contraire se monstre par les guerres, factions, bendes, et inimitiez violentes, de Veniciens, auecques leurs confederez contre ceux de nostre langue. Donques, il mha semblé bon pour chose morale et duisant à la chose publique, et aussi delectable aux lisans, de mettre peine à (1) On dirait ta.
Page 71 - Tel est son tiltre, et tel nous l'aduouons, Quand par effect semblable le voyons. Mais s'il est autre, et du tiltre il abuse, Chacun des bons, d'entre nous, le refuse. Or à present en auons nous vn tel, Qui se dit serf du grand Dieu immortel, Mais il tient peu de son bon exemplaire : Parquoy ne peult aux tresurays...