...<• Avare- dans l'espoir de rendre à sa famille son premier éclat, hautain aux États dc lîrctagnc avec les gentilshommes, dur avec ses vassaux à Combourg,...atmosphère de son mari. « Obligée de se taire quand elle ertt voulu parler, elle s'en dédommageait par une espèce de tristesse bruyante entrecoupée de soupirs....

...1 Mémoires d'outre-tombe , tome III , page 173. des emportements. Avare dans l'espoir de rendre a sa famille son premier éclat , hautain aux Etats...ce qu'on sentait en le voyant, c'était la crainte. S'il eût vécu jusqu'à la révolution, et s'il eût été plus jeune , il aurait joué un rôle important...

...des emportements. Avare dans l'espoir de rendre à sa famille son premier éclat, hautain aux états de Bretagne avec les gentilshommes, dur avec ses vassaux...ce qu'on sentait en le voyant, c'était la crainte. S'il eût vécu jusqu'à la Révolution et s'il eût été plus jeune, il aurait joué un rôle important,...

...vêtu. Hautain aux états de Bretagne avec les gentilshommes, despotique avec ses vassaux, taciturne et menaçant dans son intérieur, ce qu'on sentait en le voyant, c'était la crainte. La naissance de l'auteur Enfin, ma mère accoucha d'un troisième garçon, qu'on appela Jean-Baptiste...

...l'espoir de rendre à sa famille son premier éclat, hautain avec les gentilshommes, dur avec ses vassaux, taciturne, despotique et menaçant dans son intérieur,...qu'on sentait en le voyant c'était la crainte.... Et ce détail n'est-il pas plus indigne? Je fus le dernier de ses dix enfants. Il est probable que...

...tristesse profonde que l'âge augmenta, et un silence dont il ne sortait que par des emportements. Avare dans l'espoir de rendre à sa famille son premier...ce qu'on sentait en le voyant, c'était la crainte. S'il eût vécu jusqu'à la Révolution et s'il eût été plus jeune, il aurait joué un rôle important...

...racontet-il, sa sévérité me révoltait. Une seule passion chez ce vieux gentilhomme, celle de son nom ; « taciturne, despotique et menaçant dans son intérieur,...ce qu'on sentait en le voyant, c'était la crainte. » Un matin, il demande son fils, qui comparaît en tremblant devant lui : « Monsieur le chevalier,...

...tristesse profonde que l'âge augmenta et un silence dont il ne sortait que par des emportements... Taciturne, despotique, et menaçant dans son intérieur,...ce qu'on sentait en le voyant, c'était la crainte. « Ma mère douée de beaucoup d'esprit et d'une imagination prodigieuse... aimait la société autant...

...dont il ne sortait que par des emportements. Avare dans l'espoir de rendre à sa famille son ancien éclat, hautain aux Etats de Bretagne avec les gentilshommes,...ce qu'on sentait en le voyant, c'était la crainte (1). » M mc de Chateaubriand, « douée de beaucoup d'esprit et d'une imagination prodigieuse, avait...

...tristesse profonde que l'âge augmenta, et un silence dont il ne sortait que par des emportements. Avare dans l'espoir de rendre à sa famille son premier...ce qu'on sentait en le voyant, c'était la crainte. S'il eût vécu jusqu'à la Révolution et s'il eût été plus jeune, il aurait joué un rôle important...