Je ne laisse pas cependant de faire souvent des réflexions et des supputations, et je trouve les conditions de la vie assez dures. Il me semble que j'ai été traînée, malgré moi, à ce point fatal où il faut souffrir la vieillesse: je la vois, m'y... Les derniers paysans - Page 41by Émile Souvestre - 1856 - 317 pagesFull view - About this book
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - Letters - 1748 - 452 pages
...accableront , vtus vous ennuyerez , votre efyrit deviendra trijle & baijjcr», &c, P4 res ; il me femble que j'ai été traînée, malgré moi, à ce point fatal , où il faut fouffh'r la -vieilleffe ; je la vois, m'y voilà , & je voudrois bien au moins ménager de ne pas aller... | |
| Louis Philipon de la Madelaine - French letters - 1761 - 368 pages
...-M»*. DE GRTGtfÀN SA FJLLE.' Aux Rochers , Mercredi 30 Nor. 1(89. IrL me femble, ma chere enfant > ' que j'ai été traînée malgré moi à ce point fatal où il faut fouffrir la vieik lefle ; je la vois ^ m'y voilà : & je voudroisf bien au moins ménager de ne pas... | |
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - Authors, French - 1768 - 406 pages
...des réflexions & des fupputations : je trouve les conditions de la vie aflez dures : il me femble que j'ai été traînée malgré moi à ce point fatal où il faut mourir , la vieillefle. Je la vois, m'y voilà ; & je voudrois bien au moins ménager de n'aller pas... | |
| Letter writing, French - 1788 - 530 pages
...à Madame de Grlgnan fa fille . Aux Rochers, Mercredi, 30. Nov. L LL me femble , ma chère enfant , que j'ai été traînée malgré moi à ce point fatal où il faut fouffrir la vieillefle ; je la vois , m'y voilà : & je voudrois bien au moins ménager de ne pas aller... | |
| French language - 1788 - 450 pages
...Madame de GRIGN^Nifà fille.' ( Aux Rochers , mercredi 30 novembre 1689. IL me femble , ma chere enfant, que j'ai été traînée malgré moi à ce point fatal où il faut fouffrir la vieilleffe : je la vois, m'y voilai & i'e voudrois bien au moins ne pas aller plus oin... | |
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - 1801 - 522 pages
...faire souvent des reflexions et des supputations, et je trouve les conditions de la vie assez dures. Il me semble que j'ai été traînée, malgré moi,...où il faut souffrir la vieillesse; je la vois, m'y voilà, et je voudrois bien, au moins, ménager de ne pas aller plus loin, de ne point avancer dans... | |
| Jean Baptiste Antoine Suard - French essays - 1803 - 426 pages
...« par les épines qui s'y rencontrent. <f Je trouve les conditions de la vie assez •«. dures : il me semble que j'ai été traînée « malgré moi à ce point fatal où il fau£, « souffrir la vieillesse : je la vois ; m'y voilà, « et je voudrais bien au moins ménager... | |
| Jean Baptiste Antoine Suard - 1806 - 408 pages
..., que « par les épines qui s'y rencontrent. « Je trouve les conditions de la vie assez « dures: il me semble que j'ai été traînée « malgré moi...il faut « souffrir la vieillesse : je la vois; m'y voilà , « et je voudrais bien au moins ménager de « n'aller pas plus loin, de ne point avancer... | |
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - 1806 - 540 pages
...souvent des réflexions et des supputations, et je trouve les conditions de la vie assez dures. ll me semble que j'ai été traînée, malgré moi, à...où il faut souffrir la vieillesse; je la vois, m'y voilà, et je voudrois bien , au moins, ménager de ne pas aller plus loin, de ne point avancer dans... | |
| Marie de Rabutin-Chantal Sévigné (marq. de.) - 1820 - 600 pages
...que par les épines qui s'y rencon« trent. » « Je trouve les conditions de la vie assez dures : il me « semble que j'ai été traînée malgré moi...il faut souffrir la vieillesse : je la vois ; m'y voilà , et je vou«drois bien au moins ménager de n'aller pas plus loin, de « ne point avancer dans... | |
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