L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ce temps, Volumes 3-41777 - French literature |
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abfolue affez affure ainfi Ajax Antigone auffi auroit auteurs avoient avoit befoin c'eft c'eſt caufe Caveirac Céphale chofes Cléon Clerval cœur comédie confidération connoiffance connoître Couci Créon defirs difcours effentielle efprit eſt étoient étoit fages faifant falloit fans doute Fayel fçais fecond fecret fein femble fens fent feroit fervir feul fiècle fieur fimple fituation foit fon amant fon père font fous fouvent fpectacle fpectateurs François ftyle fuccès fuffit fuffrage fuis fuivant fujet fur la fcène fur-tout Gabrielle genre goût hiftoire homme inftruit intéreffant jeuneffe jufqu'à jufte Jugurtha l'Abbé Saury l'Aurore l'auteur l'efprit l'hiftoire laiffe lettres loix Majefté Makin Marmontel ment Monfieur Monlac Monvel Moreau n'eft n'eſt néceffaire obfervations ouvrage paffé paffions Paliffot paroît penfer perfonnages perfonne philofophie pièce plaifir plufieurs poëfie Poëme Poëte pofer Polynice préfente Prince Procris propofe puiffance raifon refte s'eft Sallufte Sardanapale Sophocle Suin Taffe talens théâtre théâtre Italien tion tragédie ufages
Popular passages
Page 54 - Des nuages monter dans les airs embrasés ; On les voit s'épaissir, s'élever et s'étendre. D'un tonnerre éloigné le bruit s'est fait entendre : Les flots en ont frémi, l'air en est ébranlé, Et le long du vallon le feuillage a tremblé. Les monts ont prolongé le lugubre murmure Dont le son lent et sourd attriste la nature.
Page 111 - Il ordonna que l'on écrivît fur fon tombeau , que jamais perfonne ne l'avoit égalé à faire du bien à fes amis & du mal à fes ennemis.
Page 340 - Quant à Voltaire, il a trop d'esprit pour m'entendre ; tous les livres qu'il lit, il les fait, après quoi il approuve ou critique ce qu'il a fait.
Page 54 - Mais des traits enflammés ont sillonné la nue, Et la foudre, en grondant, roule dans l'étendue : Elle redouble, vole, éclate dans les airs ; Leur nuit est plus profonde ; et de vastes éclairs En font sortir sans cesse un jour pâle et livide. Du couchant ténébreux s'élance un vent rapide, Qui tourne sur la plaine, et, rasant les sillons, Enlève un sable noir qu'il roule en tourbillons.
Page 241 - At-on jamais oui parler d'aventures fi merveilleufes ? Le fils d'Ulyfle le furpafle déja en éloquence , en fagefle & en valeur. Quelle mine ! quelle beauté ! quelle douceur ! quelle modeftie ! mais quelle noblefle...
Page 121 - ... veut parler : un retentissement sépulcral comme l'écho d'une longue caverne lui rapporte ses accents... Quelques heures se passent dans cette situation inconcevable. Aurions-nous perdu la vie, s'écrie-t-il ? Et serions-nous descendus dans ces lieux de désolation éternelle ? Il poursuivait son chemin, toujours plus agité, plus égaré, plus rempli d'une terreur funèbre ; un pâle rayon de la lune a répandu tout à coup assez de clarté pour laisser entrevoir les objets : il aperçoit un...
Page 318 - que vos noms sont ' ici mêlés et confondus avec ceux du peuple ; cela doit ' vous apprendre que les distinctions dont vous jouissez ' ne viennent pas de la nature, qui a fait tous les ' hommes égaux ; il n'ya que la vertu qui met entre eux ' une véritable différence ; et peut-être que l'enfant d'un ' pauvre, dont le nom précède le vôtre, sera plus grand ' aux yeux de Dieu que vous ne le serez jamais aux 'yeux des peuples.
Page 258 - ... fatigué d'une inspiration trop suivie, et pour le lecteur, souffrant de le voir sans relâche lutter avec le dieu qui l'agite et l'opprime. Autant de fois que vous ne prendrez pas pour guides ces principes invariables, autant de fois vous ferez, au lieu d'une ode raisonnable, une déclamation puérile et semblable à celle que M. de La Harpe a rimée sur la navigation. « II est inutile de vous citer tous les ouvrages couronnés qui sont des monstres académiques, sans forme et sans nom.
Page 13 - Consacrer tous mes jours à des vertus tranquilles , Sur un plus grand théâtre en triomphe porté , Oracle de la France et de l'humanité, Présentez aux mortels le flambeau du génie ; En éclairant le monde honorez la patrie : Ami de votre maître, allez devant ses pas Être «-il cor son égide au milieu des combats; Et , de vos grand...
Page 346 - Comédie paftorale , en deux actes , en vers , mêlée d'ariettes } repréfentée pour la première fois par les Comédiens Italiens ordinaires du Roi, le jeudi 5 mars 1767.