Revue historique, Volume 1Librairie G. Bailleère, 1876 - History |
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affaires Archives avaient avoit Baudri Belcastel Besançon bibliothèque bibliothèque d'Alexandrie Brunswick chanoines chargé chartes cité citoyens clercs clergé collège Comité d'Agriculture comte comte de Flandre concile Condé Constituante Convention critique Custine d'Ancier décret décurions Délibérations municipales devait documents donner duc de Saint-Simon dudict duumvirs édition études évêque FASC Gauthiot général gouverneur Grégoire VII guerre Hadrien Henri Hist historiens historique hommes Ibid in-f inscriptions institutions jours jugement l'Assemblée l'auteur l'église l'empereur l'empire l'évêque l'histoire ladicte Lambelin Lanfrey légat Législative lettre lex Julia livre Magdebourg magistrats Martignac Mémoires ment Mgr Héfélé mort moyen-âge municipes n'avait Napoléon Ier nationale Orelli ouvrage pape passé peuple politique premier présent prince princesse provinces publié publique question rapport récit relations reste Révolution romaine Rome saint Saint-Simon savants séance Sénat serait Serapeum sesterces seulement siècle sieur Société suivant Sybel Table d'Héraclée Térouane texte tion travaux trouve Tudebode volume Warneton
Popular passages
Page 363 - Qu'allèguent donc ceux qui veulent faire passer les corporations romaines pour des sociétés de secours mutuels? Les uns se fondent sur l'analogie des collèges militaires de Lambèse : « Ces collèges, dit Duruy, avaient institué avec les cotisations de leurs membres de véritables caisses de secours, et il n'est pas téméraire de conclure de ce fait que des corporations civiles avaient imaginé de semblables institutions...
Page 157 - C'est le plus grand guerrier et le plus grand politique de l'Europe que le duc de Brunswick; il est très instruit, très aimable : il ne lui manque peut-être qu'une couronne, je ne dis pas pour être le plus grand roi de la terre, mais pour être le véritable restaurateur de la liberté de l'Europe. S'il arrive à Paris, je gage que sa première démarche sera de venir aux Jacobins et d'y mettre le bonnet rouge.
Page 274 - Avènement des Bourbons au trône d'Espagne. Correspondance inédite du marquis d'Harcourt, ambassadeur de France auprès des rois Charles II et Philippe V, tirée des archives du château d'Harcourt et des archives du ministère des affaires étrangères, publiée avec une introduction historique et des notes. T. II. In-8°, 580 p. et portr. Paris, imp. Viéville et Capiomont; lib. Didier et C«.
Page 345 - ... les ambitionnaient étaient tenus d'offrir au peuple des jeux et des spectacles, de lui distribuer des sportules, de construire ou de réparer des édifices publics. Il en était de même des magistratures municipales : le curator ludorum, par exemple, devait compléter la somme insuffisante inscrite à son budget pour la célébration d'une fête religieuse ou de jeux *. A côté des honores et munera, il y avait les simples munera publica, tels que le service militaire, les corvées (operae),...
Page 466 - Au décret des 31 janvier, 1 et 2 mars, concernant le tarif général des droits qui seront perçus à toutes les entrées et sorties du royaume.
Page 33 - On a senti que l'histoire doit être l'objet d'une investigation lente et méthodique où l'on avance graduellement du particulier au général, du détail à l'ensemble ; où l'on...
Page 345 - ... petits aux grands était volontaire, il ne blessait personne. Enfin, les riches des provinces suivaient l'exemple des empereurs qui couvraient Rome de somptueuses constructions. Les bons princes leur en donnaient le conseil : nous avons perdu un discours de Nerva les engageant à la munificence1; et, pour que les villes ne fussent pas trompées dans leurs espérances, comme l'étaient souvent les captateurs de testament, Trajan établit que toute promesse faite à une cité serait exécutoire...
Page 87 - Charles, l'aîné, obtint, en 1541, une bulle du pape Paul III qui l'autorisait, bien que né d'un sous-diacre de noble race, à posséder des bénéfices ecclésiastiques ; Thomas, le second, né quand son père était déjà prêtre, fut investi, par lettres patentes de l'empereur Rodolphe II (1578), du droit de relever les armes des Bonvalot.
Page 338 - ... nos grandes sociétés modernes ont détruit le patriotisme local. Dans le municipe des Flaviens et des Antonins, il conservait son ancienne énergie. On aimait sa ville; on la voulait heureuse et belle, et beaucoup pensaient, comme César, que mieux valait être le premier chez soi que le second ailleurs. Aussi ces charges qu'un siècle plus tard on fuira avec effroi, elles sont, à l'époque où nous nous tenons, recherchées avec ardeur. C'est le regret de les quitter qui afflige le plus l'exilé...
Page 46 - L'occasion s'offrira peut-être aussi de conduire une négociation avec une ville voisine ou avec un prince ; enfin, avec la maturité de l'âge, vous aurez le droit d'aspirer à une mission auprès de l'empereur et à la magistrature suprême de votre pays. Mais, à quelque rang que vous soyez élevé, ne l'oubliez pas, ce n'est plus le lieu de vous dire comme Périclès revêtant sa chlamyde : « Songes-y, Périclès, c'est à des hommes libres c que tu commandes, c'est à des Grecs, à des Athéniens.