Souvenirs de chasse |
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Page vii
... quotidiennes , à heures fixes et à heures comptées , où l'on prend un fusil au lieu de canne , et un chien au lieu de livre ? Je m'y amuse fort , tant qu'elles durent ; mais quand j'ai fait , par - dessus , un PRÉFACE . VIL.
... quotidiennes , à heures fixes et à heures comptées , où l'on prend un fusil au lieu de canne , et un chien au lieu de livre ? Je m'y amuse fort , tant qu'elles durent ; mais quand j'ai fait , par - dessus , un PRÉFACE . VIL.
Page viii
... fort simples et fort ordinaires au fond . Mais du moins ils se passeront sur un autre théâtre que notre pays , au milieu de personnages autrement ha- billés que nos compatriotes ; et , avec l'aide d'une na- lure variée à décrire , de ...
... fort simples et fort ordinaires au fond . Mais du moins ils se passeront sur un autre théâtre que notre pays , au milieu de personnages autrement ha- billés que nos compatriotes ; et , avec l'aide d'une na- lure variée à décrire , de ...
Page 8
... fort grand de ces enfants du Cantal , qui , venus en Espagne éta- mer les cuillers d'étain , s'y fixent et prospèrent , parce qu'ils sont , comme dit Voltaire des Moris- ques , laborieux dans le pays de la paresse . On ser- vit aussitôt ...
... fort grand de ces enfants du Cantal , qui , venus en Espagne éta- mer les cuillers d'étain , s'y fixent et prospèrent , parce qu'ils sont , comme dit Voltaire des Moris- ques , laborieux dans le pays de la paresse . On ser- vit aussitôt ...
Page 10
... fort grand de ces enfants du Cantal , qui , venus en Espagne éta- mer les cuillers d'étain , s'y fixent et prospèrent , parce qu'ils sont , comme dit Voltaire des Moris- ques , laborieux dans le pays de la paresse . On ser- vit aussitôt ...
... fort grand de ces enfants du Cantal , qui , venus en Espagne éta- mer les cuillers d'étain , s'y fixent et prospèrent , parce qu'ils sont , comme dit Voltaire des Moris- ques , laborieux dans le pays de la paresse . On ser- vit aussitôt ...
Page 13
... fort et terrible . Bientôt je sens trembler la terre sous mes pieds , je vois s'en- tr'ouvrir en craquant les tiges serrées du maïs , et à dix pas de moi paraît un taureau furieux que , sans le voir , j'ai blessé de mon petit plomb . Il ...
... fort et terrible . Bientôt je sens trembler la terre sous mes pieds , je vois s'en- tr'ouvrir en craquant les tiges serrées du maïs , et à dix pas de moi paraît un taureau furieux que , sans le voir , j'ai blessé de mon petit plomb . Il ...
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Common terms and phrases
1er septembre anglais arbres arrivâmes assez avions balle batteurs battue bécassines belle Berlin bêtes bientôt bois bout bras bruit bruyère C'était cailles CALIFORNIA canards cent cerf chas chasse chasse en battue chasseurs château chevaux chevreuils chiens chiens d'arrêt choléra chose comté d'Hereford coqs de bruyère côté coup devant diable Dresde Dunkeld Écosse Édimbourg édition enfin Espagne espèce étions eût faisans Falstaff Finlande flanc forêts fusil garde gibier grouses Hambourg heures hommes hôte j'ai j'avais j'étais jambes jour jusqu'à l'autorisation de l'auteur l'autre l'Écosse l'ours l'un lapins lièvres loin Madrid main maison matin ment montagnes neige noir nord nuit Pàn Twardowski passer pauvre pays paysans perdreaux perdrix petit petite pieds plaine plaisir porte presque Prusse qu'un quatre race renard reste route Russie Saint-Pétersbourg Saint-Suaire Sandoval sanglier seul soleil sorte terre tête tirer traduit de l'anglais traîneau traqueurs travers trouve tuer verstes village voilà voyage
Popular passages
Page 6 - L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône. Le financier, riant de sa naïveté, Lui dit : je vous veux mettre aujourd'hui sur le trône Prenez ces cent écus ; gardez-les avec soin, Pour vous en servir au besoin.
Page 295 - Curiosité n'est que vanité. Le plus souvent on ne veut savoir que pour en parler. Autrement on ne voyagerait pas sur la mer, pour ne jamais en rien dire , et pour le seul plaisir de voir , sans espérance d'en jamais communiquer.
Page 507 - La musique mise à la portée de tout le monde ; exposé succinct de tout ce qui est nécessaire pour juger de cet art, et pour en parler sans en avoir fait une étude approfondie.
Page 396 - A l'heure de l'affût , soit lorsque la lumière Précipite ses traits dans l'humide séjour , Soit lorsque le soleil rentre dans sa carrière , Et que n'étant plus nuit , il n'est pas encor jour...
Page 441 - ... soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 441 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page viii - ... encore le seul amusement qui fasse diversion entière aux affaires, le seul délassement sans mollesse, le seul qui donne un plaisir vif sans langueur, sans mélange et sans satiété.