Fables et oeuvres diverses de J. La FontaineFirmin Didot Frères, 1859 - 555 pages |
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... enfin sur le vers remarquable par lequel il termine la peinture du bonheur de l'état conjugal , dans Philémon et Baucis : Ils s'aiment jusqu'au bout , malgré l'effort des ans . Ah ! si .... Mais autre part j'ai porté mes présents . - Il ...
... enfin sur le vers remarquable par lequel il termine la peinture du bonheur de l'état conjugal , dans Philémon et Baucis : Ils s'aiment jusqu'au bout , malgré l'effort des ans . Ah ! si .... Mais autre part j'ai porté mes présents . - Il ...
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... enfin il a versifié les paroles d'un ballet qui fut joué , chanté et dansé par la plus brillante société de Château - Thierry . Les magnifiques ballets représentés à cette époque à Paris et à Saint - Germain , où figuraient le roi et ...
... enfin il a versifié les paroles d'un ballet qui fut joué , chanté et dansé par la plus brillante société de Château - Thierry . Les magnifiques ballets représentés à cette époque à Paris et à Saint - Germain , où figuraient le roi et ...
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... enfin , tous deux et en même temps , académiciens . Dans l'épître à madame de la Sablière , que la Fontaine lut dans la séance publique le jour de sa réception , il fit en beaux vers une sorte d'amende honorable de sa vie passée , et il ...
... enfin , tous deux et en même temps , académiciens . Dans l'épître à madame de la Sablière , que la Fontaine lut dans la séance publique le jour de sa réception , il fit en beaux vers une sorte d'amende honorable de sa vie passée , et il ...
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... Enfin il Ces fables étaient connues depuis longtemps , lorsque Socrate vint au monde . Bayle ( article Esope , page 1112 , édit . de 1720 ) critique , à ce sujet , avec raison notre fabuliste , qui termine son récit par une phrase qui ...
... Enfin il Ces fables étaient connues depuis longtemps , lorsque Socrate vint au monde . Bayle ( article Esope , page 1112 , édit . de 1720 ) critique , à ce sujet , avec raison notre fabuliste , qui termine son récit par une phrase qui ...
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... Enfin les mo- dernes les ont suivis : nous en avons des exemples non- seulement chez les étrangers , mais chez nous . Il est vrai que , lorsque nos gens y ont travaillé , la langue était si différente de ce qu'elle est , qu'on ne les ...
... Enfin les mo- dernes les ont suivis : nous en avons des exemples non- seulement chez les étrangers , mais chez nous . Il est vrai que , lorsque nos gens y ont travaillé , la langue était si différente de ce qu'elle est , qu'on ne les ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 232 - J'attrape le bout de l'année : Chaque jour amène son pain. Eh bien ! que gagnez-vous, dites-moi, par journée ? Tantôt plus, tantôt moins : le mal est que toujours, (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes,) Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes : L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Page 54 - Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. 'Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'août, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 32 - L'apologue est composé de deux parties, dont on peut appeler l'une le corps , l'autre l'âme. Le corps est la fable ; l'âme , la moralité.
Page 57 - Que me faudra-t-il faire? — Presque rien, dit le Chien : donner la chasse aux gens Portant bâtons et mendiants; Flatter ceux du logis, à son maître complaire : Moyennant quoi votre salaire Sera force reliefs de toutes les façons, Os de poulets, os de pigeons; Sans parler de mainte caresse.
Page 181 - L'autre animal, tout au contraire, Bien éloigné de nous mal faire, Servira quelque jour peut-être à nos repas. Quant au chat, c'est sur nous qu'il fonde sa cuisine. Garde-toi, tant que tu vivras, De juger des gens sur la mine.
Page 206 - Un an se passe , et deux , avec inquiétude : Le chagrin vient ensuite ; elle sent chaque jour Déloger quelques Ris , quelques Jeux , puis l'Amour; Puis ses traits choquer et déplaire ; Puis cent sortes de fards. Ses soins ne purent faire Qu'elle échappât au Temps , cet insigne larron. Les ruines d'une maison Se peuvent réparer : que n'est cet avantage Pour les ruines du visage ! Sa préciosité changea lors de langage. Son miroir lui disoit : Prenez vite un mari.
Page 201 - Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. Un loup quelque peu clerc, prouva par sa harangue Qu'il fallait dévouer ce maudit animal, Ce pelé, ce galeux, d'où venait tout leur mal.
Page 175 - Fables ne sont pas ce qu'elles semblent être ; Le plus simple animal nous y tient lieu de maître. Une morale nue apporte de l'ennui : Le conte fait passer le précepte avec lui. En ces sortes de feinte il faut instruire et plaire ; Et conter pour conter me semble peu d'affaire.
Page 259 - La République a bien affaire De gens qui ne dépensent rien! Je ne sais d'homme nécessaire Que celui dont le luxe épand beaucoup de bien. Nous en usons, Dieu sait! notre plaisir occupe L'artisan, le vendeur, celui qui fait la jupe, Et celle qui la porte, et vous, qui dédiez A Messieurs les gens de finance De méchants livres bien payés.
Page 223 - Jean lapin allégua la coutume et l'usage. Ce sont, dit-il, leurs lois qui m'ont de ce logis Rendu maître et seigneur, et qui, de père en fils, L'ont de Pierre à Simon, puis à moi Jean, transmis. Le premier occupant, est-ce une loi plus sage? . Or bien, sans crier davantage, Rapportons-nous, dit-elle, à Raminagrobis.