Fables et oeuvres diverses de J. La FontaineFirmin Didot Frères, 1859 - 555 pages |
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... eût commencé sa réputation , elle l'avait attaché à sa personne , en le nommant son gen- tilhomme servant . Diverses pièces de vers , que l'on trouve dans ses œuvres , démontrent assez l'intimité qui existait entre Jui et les jeunes ...
... eût commencé sa réputation , elle l'avait attaché à sa personne , en le nommant son gen- tilhomme servant . Diverses pièces de vers , que l'on trouve dans ses œuvres , démontrent assez l'intimité qui existait entre Jui et les jeunes ...
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... eût la peine d'y songer . Les seigneurs les plus aimables et les plus spirituels de la cour , les étrangers illustres , les gens de lettres , les artistes , se réunissaient chez madame de la Sablière . Elle s'était rendue célèbre non ...
... eût la peine d'y songer . Les seigneurs les plus aimables et les plus spirituels de la cour , les étrangers illustres , les gens de lettres , les artistes , se réunissaient chez madame de la Sablière . Elle s'était rendue célèbre non ...
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... eût re- noncé à en composer . Femme d'un maître d'hôtel du comte d'Auvergne , frère du duc de Bouillon , chez lequel la Fon- taine allait souvent dîner , elle avait eu occasion de voir ce poëte et de le connaître . Elle prit la ...
... eût re- noncé à en composer . Femme d'un maître d'hôtel du comte d'Auvergne , frère du duc de Bouillon , chez lequel la Fon- taine allait souvent dîner , elle avait eu occasion de voir ce poëte et de le connaître . Elle prit la ...
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... eût du mystère là - dessous , d'autant plus que les dieux ne se lassaient point de lui envoyer la même inspiration . Elle lui était encore venue une de ces fêtes . Si bien qu'en songeant aux choses que le ciel pou- vait exiger de lui ...
... eût du mystère là - dessous , d'autant plus que les dieux ne se lassaient point de lui envoyer la même inspiration . Elle lui était encore venue une de ces fêtes . Si bien qu'en songeant aux choses que le ciel pou- vait exiger de lui ...
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... eût la direction , ainsi qu'à la poésie et à l'éloquence . Ce que je dis n'est pas tout à fait sans fondement , puisque , s'il m'est permis de mê- ler ce que nous avons de plus sacré parmi les erreurs du paganisme , nous voyons que la ...
... eût la direction , ainsi qu'à la poésie et à l'éloquence . Ce que je dis n'est pas tout à fait sans fondement , puisque , s'il m'est permis de mê- ler ce que nous avons de plus sacré parmi les erreurs du paganisme , nous voyons que la ...
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Common terms and phrases
amant âme amours animaux assez beau belette belle berger bête bois bruit C'était cent cerf charmes chasseur chat Château-Thierry chère chien Chloris chose ciel cieux cœur conte corbeau coup Crésus crut d'Ésope dictionnaire dieu dieux dire dit-il donne doux éditions modernes enfants enfin Ésope esprit fable fais femme fille Fontaine fortune Fouquet François de Maucroix Furetière gens gloire goût Grenouilles héros homme j'ai J'en jour Jupiter l'aigle l'amour l'autre l'homme L'un l'univers laisse licence poétique lion logis Louis XIV loup Lycérus madame madame de Montespan maint maître malheureux Maucroix mieux Molière monarque mort n'en neuf Sœurs Nicot Oronte ouvrages parler passer peine peuple Phrygien plaisir pleurs poëte prince qu'un Rabelais raison Renard rien s'en sage savant seigneur serait seul singe sœur soins sort souris Styx sujet Télamon Térence trésor trouve veux vient vieux VIII voilà Voyez Xantus yeux zéphyrs
Popular passages
Page 232 - J'attrape le bout de l'année : Chaque jour amène son pain. Eh bien ! que gagnez-vous, dites-moi, par journée ? Tantôt plus, tantôt moins : le mal est que toujours, (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes,) Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes : L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Page 54 - Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. 'Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'août, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 32 - L'apologue est composé de deux parties, dont on peut appeler l'une le corps , l'autre l'âme. Le corps est la fable ; l'âme , la moralité.
Page 57 - Que me faudra-t-il faire? — Presque rien, dit le Chien : donner la chasse aux gens Portant bâtons et mendiants; Flatter ceux du logis, à son maître complaire : Moyennant quoi votre salaire Sera force reliefs de toutes les façons, Os de poulets, os de pigeons; Sans parler de mainte caresse.
Page 181 - L'autre animal, tout au contraire, Bien éloigné de nous mal faire, Servira quelque jour peut-être à nos repas. Quant au chat, c'est sur nous qu'il fonde sa cuisine. Garde-toi, tant que tu vivras, De juger des gens sur la mine.
Page 206 - Un an se passe , et deux , avec inquiétude : Le chagrin vient ensuite ; elle sent chaque jour Déloger quelques Ris , quelques Jeux , puis l'Amour; Puis ses traits choquer et déplaire ; Puis cent sortes de fards. Ses soins ne purent faire Qu'elle échappât au Temps , cet insigne larron. Les ruines d'une maison Se peuvent réparer : que n'est cet avantage Pour les ruines du visage ! Sa préciosité changea lors de langage. Son miroir lui disoit : Prenez vite un mari.
Page 201 - Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. Un loup quelque peu clerc, prouva par sa harangue Qu'il fallait dévouer ce maudit animal, Ce pelé, ce galeux, d'où venait tout leur mal.
Page 175 - Fables ne sont pas ce qu'elles semblent être ; Le plus simple animal nous y tient lieu de maître. Une morale nue apporte de l'ennui : Le conte fait passer le précepte avec lui. En ces sortes de feinte il faut instruire et plaire ; Et conter pour conter me semble peu d'affaire.
Page 259 - La République a bien affaire De gens qui ne dépensent rien! Je ne sais d'homme nécessaire Que celui dont le luxe épand beaucoup de bien. Nous en usons, Dieu sait! notre plaisir occupe L'artisan, le vendeur, celui qui fait la jupe, Et celle qui la porte, et vous, qui dédiez A Messieurs les gens de finance De méchants livres bien payés.
Page 223 - Jean lapin allégua la coutume et l'usage. Ce sont, dit-il, leurs lois qui m'ont de ce logis Rendu maître et seigneur, et qui, de père en fils, L'ont de Pierre à Simon, puis à moi Jean, transmis. Le premier occupant, est-ce une loi plus sage? . Or bien, sans crier davantage, Rapportons-nous, dit-elle, à Raminagrobis.