| Voltaire - Philosophy - 1775 - 446 pages
...à toute penfée qui furprenait par des images nouvelles qu'on appellait efprit. On reçut trèsbien ces vers de la tragédie de Pyrame : Ah ! voici le poignard qui du fang de fon maître , Eft encor tout fanglant, il en rougit , le traître. .On trouvait un grand art... | |
| Voltaire - 1784 - 588 pages
...à toute penfée qui furprenait par des images nouvelles qu'on appelait ejprit. On reçut très-bien ces vers de la tragédie de Pyrame. Ah ! voici le poignard qui du fang de fon maître S'eft fouillé lâchement ; il en rougit , le traître. On trouvait un grand art... | |
| Encyclopedias and dictionaries, French - 1784 - 774 pages
...toute penfée qui furprcnoit par des images nouvelles qu'on appcloi; Efprit. £)n reçut très-bien ces vers de la tragédie de Pyrame: Ah ! voici le poignard qui du fang de fon maître EU encor tout fanglaat; ilçn rougit, le traître, • On trouvoit un grand art... | |
| Voltaire - 1785 - 544 pages
...Corneille, on applaudiflait à toute penfée quifurprenait par des images nouvelles, qu'on appelait efprit. On reçut très -bien ces vers de la tragédie de Pyrame. Ah ! voici le poignard qui du fang de fon maître S'eft fouillé lâchement ; il en rougit , le traître. On trouvait un grand art... | |
| Voltaire - 1785 - 590 pages
...à toute penfée qui furprenait par des images nouvelles qu'on appelait ejprit. On reçut très-bien ces vers de la tragédie de Pyrame. Ah ! voici le poignard qui du fang de fon maître S'eft fouillé lâchement; il en rougit, le traître. On trouvait un grand art... | |
| Voltaire - 1792 - 558 pages
...à toute penfée qui furprenait par des images nouvelles qu'on appelait efprit. On reçut très-bien ces vers de la tragédie de Pyrame. Ah ! voici le poignard qui , du fang de fon maître , S'eft fouillé lâchement ; il en rougit , le traîire. On trouvait un grand... | |
| Voltaire - 1792 - 346 pages
...toute penfée qui furprenait par des images nouvelles qu'on appelait efprit.. On reçut très-bien ces vers de la tragédie de Pyrame. Ah ! voici le poignard qui du fang de Ton maître Ç'efl fouillé lâclirmenr ; il en longit , le traîlre. On trouvait un grand... | |
| tome premier - 1800 - 354 pages
...le poignard encore tont sanglant dont Pyrame s'étoit tué, elle querelle ainsi ce poignard : Ali ! voici le poignard qui du sang de son maître S'est souillé lâchement. Il en rougit, le traître. Tontes les glaces du nord ensemble ne sont pas,a mon sens, plus froides que cette pensée. Quelle ex»... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1800 - 358 pages
...ramassé le poignard encore tont sanglant dont Pyrame s'étoit tné , elle querelle ainsi ce poignard : ,, Ah! voici le poignard qui du sang de son maître S'est souillé lâchement. Il en rongit, le traître. Tontes les glaces du nord ensemble ne sont pas, à mon sens , plns froides que... | |
| Nicolas Boileau-Despréaux - 1800 - 354 pages
...ramassé le poignard encore tont sanglant dont Pyrame s'étoit tué, elle querelle ainsi ce poignard : Ah ! voici le poignard qui du sang de son maître S'est souillé lâchement. II en rongit, le traître. Tontes les glaces du nord ensemble ne sont pas,à mon sens, plus froides... | |
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