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... n'était pas jusqu'à la médecine où il n'eût acquis des con- naissances assez étendues . Mais ce qui inspira un goût plus vif à Mellin , ce fut la langue , ce fut la littérature du pays . On conçoit aisément que le génie italien ait ...
... n'était pas jusqu'à la médecine où il n'eût acquis des con- naissances assez étendues . Mais ce qui inspira un goût plus vif à Mellin , ce fut la langue , ce fut la littérature du pays . On conçoit aisément que le génie italien ait ...
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... n'était pas encore imbu des idées de la réforme , et bien d'autres écrivains fameux alors et in- connus aujourd'hui , célébrèrent à l'envi , et de cent façons différentes , cette union qui paraissait destinée à assurer la paix de la ...
... n'était pas encore imbu des idées de la réforme , et bien d'autres écrivains fameux alors et in- connus aujourd'hui , célébrèrent à l'envi , et de cent façons différentes , cette union qui paraissait destinée à assurer la paix de la ...
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... n'était jamais sorti des rangs les plus infimes de la basse littérature se joignit à ses adversaires . Mellin de Saint - Gelais ne fut pas le dernier à descendre dans cette lice , pour y défendre l'honneur de son ami malheureux , absent ...
... n'était jamais sorti des rangs les plus infimes de la basse littérature se joignit à ses adversaires . Mellin de Saint - Gelais ne fut pas le dernier à descendre dans cette lice , pour y défendre l'honneur de son ami malheureux , absent ...
Page 30
... n'était pas encore fort considérable . François Ier avait seul travaillé à la rendre riche et précieuse . Depuis Louis XII , elle était établie à Blois , et elle s'était accrue des livres conquis pendant les expéditions d'Italie ...
... n'était pas encore fort considérable . François Ier avait seul travaillé à la rendre riche et précieuse . Depuis Louis XII , elle était établie à Blois , et elle s'était accrue des livres conquis pendant les expéditions d'Italie ...
Page 31
... n'était pas de ceux à qui la mort de François Ier allait être funeste et interdire le séjour de la Cour : il ne paraît pas avoir été jamais fort attaché à la duchesse d'Etam- pes et à son parti . La reine Catherine de 31 -
... n'était pas de ceux à qui la mort de François Ier allait être funeste et interdire le séjour de la Cour : il ne paraît pas avoir été jamais fort attaché à la duchesse d'Etam- pes et à son parti . La reine Catherine de 31 -
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Common terms and phrases
7 heures actionnaires ambassadeur années avaient avoit Bas-Poitou Biographie Brancas Bretagne Bureau Ceineray Chaillou charge choses cœur Communauté Conseil construction Cour Delafond dépense desjeuné devait dévonien Dieu disné docteur don Pedro duc d'Aiguillon Duchaffault économique emplacements époque estre Esveillé Feydeau fille Flesselles fossiles François Ier Graslin homme intérests Jean-Baptiste Ceineray jours jusqu'à l'Académie l'Ile-Feydeau l'Infante l'Intendant général laisser ledit sieur lettres Lisbonne Loire Loire-Inférieure Louis XIV Maire maison Majesté mariage Marot Mathurin Crucy médecin Melay Mellin Mellin de Saint-Gelais mémoire ment mesme Messieurs ministre Montaigu mort Mouchamps municipalité Nantes Neubourg notice physiocrates place place Graslin plan poésie poète Poissonnerie pont Portugal Pouillé premier présent prince princesse projet qu'un quai quartier rapport Reine Renoul reste Reyne richesse rien Roche-Saint-André Roche-sur-Yon Saint-Fulgent Saint-Gelais Saint-Nicolas Saulzaie science secrétaire Section seigneur serait service seul siècle sieur Amelot sieur de Saint-Romain silurienne Société Académique terrain tion travaux trouve vestu
Popular passages
Page 349 - ... car tel est notre plaisir, et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, Nous avons fait mettre notre scel à ces dites présentes.
Page 304 - L'autre avoit tout l'esprit, tout le sens et toutes les sortes de vues qu'il est possible ; élevée à cela par sa mère , et conduite par le chevalier de Lorraine , avec lequel elle étoit si anciennement et si étroitement unie qu'on les croyoit secrètement mariés. On a vu en plus d'un endroit de ces Mémoires quel homme c' étoit que ce Lorrain, qui, du temps des Guise, eût tenu un grand coin parmi eux.
Page 301 - Il fut aussi les constantes délices du monde, de la cour, des armées, la divinité du peuple, l'idole des soldats, le héros des officiers, l'espérance de ce qu'il y avait de plus distingué, l'amour du parlement, l'ami avec discernement des savants, et souvent l'admiration de la Sorbonne, des jurisconsultes, des astronomes et des mathématiciens les plus profonds.
Page 498 - Contenant : 1° l'indication des Ouvrages relatifs à la Normandie, depuis l'origine de l'imprimerie jusqu'à nos jours; 2°...
Page 302 - ... leurs chimères et leurs réalités, qui savait où il avait appris chaque chose et chaque fait, qui en discernait les sources, et qui retenait et jugeait de même ce que la conversation lui avait appris, sans confusion, sans mélange, sans méprise, avec une singulière netteté M.
Page 375 - Dieu qu'il vous ait, très haut, très excellent et très puissant Prince, notre très cher et très aimé bon Frère et Cousin, en sa sainte et digne garde.
Page 47 - II leur desploie, et leur dit : Gens de bien, Ouvrez vos yeux, voyez, y at-il rien? — Non, dit quelqu'un des plus près regardans.
Page 349 - Si DONNONS EN MANDEMENT à nos amis et féaux conseillers, les gens tenant notre cour de Parlement à Paris...
Page 350 - Henry d'Aguesseau , chevalier , conseiller du roy en ses conseils , maistre des requestes ordinaires de son hostel, président au grand conseil, intendant de justice, police et finances de la province de Languedoc.
Page 333 - J'ai déjà eu l'honneur de vous écrire , Madame , que cet ambassadeur mérite quelques grâces du roi qui le soutiennent, car j'ai peur à la fin qu'il ne résiste pas à tant de fatigues; vous auriez peine à le remplacer s'il manquoit, très certainement, et il faut, s'il vous plaît, le conserver. Je n'ai pas laissé ignorer à M. le maréchal de...