PoésieHachette et Cie., 1848 - Authors, French |
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Page 22
... fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc , si vous me croyez , Mignonne , Tandis que votre âge fleuronne3 En sa plus verte nouveauté , Cueillez , cueillez votre jeunesse❝ : Comme à cette fleur , la vieillesse Fera ternir votre ...
... fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc , si vous me croyez , Mignonne , Tandis que votre âge fleuronne3 En sa plus verte nouveauté , Cueillez , cueillez votre jeunesse❝ : Comme à cette fleur , la vieillesse Fera ternir votre ...
Page 39
... fleurs . Dans les palais enflés de vaine pompe , L'ambition , la faveur qui nous trompe , Et les soucis logent communément : Dedans nos champs se retirent les fées , Reines des bois , à tresses décoiffées 5 , Les jeux , l'amour , et le ...
... fleurs . Dans les palais enflés de vaine pompe , L'ambition , la faveur qui nous trompe , Et les soucis logent communément : Dedans nos champs se retirent les fées , Reines des bois , à tresses décoiffées 5 , Les jeux , l'amour , et le ...
Page 46
... fleurs . 1. Belle inversion . 2. Notre tranquillité . Méta- phore tirée du calme de la mer , que signifie proprement le mot bonace . 3. Ces sujets de désolation . Nos prières sont ouïes , Tout est réconcilié ; Nos 46 VERS .
... fleurs . 1. Belle inversion . 2. Notre tranquillité . Méta- phore tirée du calme de la mer , que signifie proprement le mot bonace . 3. Ces sujets de désolation . Nos prières sont ouïes , Tout est réconcilié ; Nos 46 VERS .
Page 70
... fleurs naturelles , Qu'en ces riches lambris on ne voit qu'en portraits . Agréables déserts , séjour de l'innocence , Où , loin des vanités de la magnificence , Commence mon repos et finit mon tourinent ; Vallons , fleuves , rochers ...
... fleurs naturelles , Qu'en ces riches lambris on ne voit qu'en portraits . Agréables déserts , séjour de l'innocence , Où , loin des vanités de la magnificence , Commence mon repos et finit mon tourinent ; Vallons , fleuves , rochers ...
Page 114
... fleurs en tout temps sa demeure est semée ; Il a presque toujours la paupière fermée . Je le trouvai dormant sur un lit de pavots ; Les Songes l'entouraient sans troubler son repos ; De fantômes divers une cour mensongère , Vains et ...
... fleurs en tout temps sa demeure est semée ; Il a presque toujours la paupière fermée . Je le trouvai dormant sur un lit de pavots ; Les Songes l'entouraient sans troubler son repos ; De fantômes divers une cour mensongère , Vains et ...
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Common terms and phrases
AGAMEMNON airs âme amour astre Atrée beau Beaune beauté belle bords bouts-rimés brillant bruit CASSANDRE chants charme cher ciel cieux Cléon CLYTEMNESTRE cœur cruel Dieu dieux discours douleur doux éclat enfants enfin ennemis Épigramme esprit éternel Fables feux fils fleurs flots François Ier front fureur gens gloire Hélas heureux Homère homme honneur immortelle j'ai jamais jeune jour l'Académie française l'amour l'homme l'onde l'univers laisse loin Louis Racine Louis XIV lyre main maître malheureux MELLIN DE SAINT-GELAIS mère Métromanie Molière monde mort mortels mourir mourut naquit neuf sœurs nuit Odes ombre ouvrage pâle parle passer peine pensée père peuple pieds plaisir plaisirs pleurs poëme poésie poëte qu'un raison rien rois Rome ruisseau sacré sage sainte alliance sais sang satire Saül Seigneur seul siècle soleil Sophocle sort temple terre Thyeste tombe tombeau tragédie trembler TRISSOTIN triste trône VADIUS vainqueur veux Voilà vois voix Voltaire yeux
Popular passages
Page 416 - Est-ce à moi de mourir? Tranquille je m'endors, Et tranquille je veille, et ma veille aux remords Ni mon sommeil ne sont en proie. Ma bienvenue au jour me rit dans tous les yeux; Sur des fronts abattus, mon aspect dans ces lieux Ranime presque de la joie.
Page 172 - Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi; « Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi.
Page 173 - Ma fille." En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser ; Et moi, je lui tendais les mains pour l'embrasser ; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris, et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux, Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Page 416 - S'il est des jours amers, il en est de si doux! Hélas! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts? Quelle mer n'a point de tempête? L'illusion féconde habite dans mon sein. D'une prison sur moi les murs pèsent en vain, J'ai les ailes de l'Espérance.
Page 100 - M'ôter, pour faire bien , du grenier de céans Cette longue lunette à faire peur aux gens, Et cent brimborions dont l'aspect importune ; Ne point aller chercher ce qu'on fait dans la lune , Et vous mêler un peu de ce qu'on fait chez vous , Où nous voyons aller tout sens dessus dessous.
Page 69 - Roi de ses passions, il a ce qu'il désire; Son fertile domaine est son petit empire, Sa cabane est son Louvre et son Fontainebleau...
Page 99 - Qui, brûlants et priants, demandent chaque jour, Et prêchent la retraite au milieu de la cour; Qui savent ajuster leur zèle avec leurs vices, Sont prompts, vindicatifs, sans foi, pleins d'artifices, Et, pour perdre quelqu'un, couvrent insolemment De l'intérêt du ciel leur fier ressentiment...
Page 102 - Dès qu'on voit qu'on nous mêle avec tout l'univers. Sur quelque préférence une estime se fonde ; | Et c'est n'estimer rien qu'estimer tout le monde.
Page 169 - Un effroyable cri , sorti du fond des flots , Des airs en ce moment a troublé le repos ; Et du sein de la terre une voix formidable Répond en gémissant à ce cri redoutable.
Page 417 - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin ! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé, Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine...