Histoire de France, Volume 1Delagrave, 1867 |
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Anglais Aquitains armée armes Austrasiens avaient barbares barons bataille Burgondes c'était campagnes Carloman Charlemagne Charles le Chauve Charles VII chef chevaliers Childebert Chilpéric chrétiens clergé Clotaire Clovis comte de Flandre connétable couronne croisade d'Angleterre d'Anjou d'Orléans Dagobert dauphin devant Dieu duc de Bourgogne duché Ébroïn Édouard Édouard III ennemis envoya épousé États évêques expédition femme féodalité fille fils Franks frère Gaule Gaulois Germanie gouvernement guerre Guillaume Guyenne habitants Henri Hugues Jean Jean sans Peur Jeanne jeune l'Aquitaine l'armée l'Église l'empereur l'empire laissa leudes Loire Lothaire Louis VII Louis XI massacre mort mourut n'avait Navarre Neustrie nord Normandie paix pape passa pays pendant Pepin père peuple Philippe le Bel Poitiers prince prit provinces ravages règne Reims reine résolut reste Rhin Rhône Richard Robert rois Romains royal royaume s'était saint Louis secours seigneurs siége Sigebert Soissons soldats terre tête Théodoric tion trône Valois vassaux victoire villes voulut Wisigoths
Popular passages
Page 82 - D'autres maisons de moindre apparence étaient occupées par un grand nombre de familles qui exerçaient, hommes et femmes, toutes sortes de métiers, depuis l'orfèvrerie et la fabrique des armes, jusqu'à l'état de tisserand et de corroyeur, depuis la broderie en soie et en or jusqu'à la plus grossière préparation de la laine et du lin.
Page 308 - Et il va me dire : Ha ! fou musart, musart, vous y êtes déçu ; car vous savez qu'il n'est lèpre si laide que d'être en péché mortel. Et vous prie que, pour l'amour de Dieu premier, et pour l'amour de moi, vous reteniez ce dit en votre cœur.
Page 62 - Clotilde un premier fils. La reine , voulant qu'il reçût le baptême , adressait sans cesse de pieux conseils au roi, disant : « Les dieux
Page 418 - Jehanne, nous vous condamnons par grâce et modération à passer le reste de vos jours en prison, au pain de douleur et à l'eau d'angoisse, pour y pleurer vos péchés.
Page 70 - Richaire, les mains liées derrière le dos, en présence de Clovis. Celui-ci lui dit : » Pourquoi as-tu fait honte à notre famille en te laissant enchaîner? il te valait mieux mourir; » et ayant levé sa hache, il la lui abattit sur la tête.
Page 414 - Quelle était la pensée des gens qui vous baisaient les pieds, les mains et les vêtements? — Les pauvres gens venaient volontiers à moi, parce que je ne leur faisais point de déplaisir; je les soutenais et défendais selon mon pouvoir (1).
Page 224 - cause de ces maux; lui, qui ne mérite pas le nom de « roi, mais de tyran; qui, entraîné par le démon, passe • « toute sa vie dans le crime et dans l'infamie ; qui, por...
Page 462 - Quand le monarque lui marquait quelque mécontentement de son extrême avidité, l'insolent docteur lui disait : « Je sais bien qu'un matin vous m'enverrez comme vous faites tant d'autres, mais je jure que vous ne vivrez pas huit jours après; » et le valétudinaire effrayé lui accordait tout ce qu'il demandait.
Page 205 - Constance, princesse d'Aquitaine, la faveur de la reine ouvrit l'entrée de la France et de la Bourgogne aux naturels de l'Auvergne et de l'Aquitaine. Ces hommes vains et légers étaient aussi affectés dans leurs mœurs que dans leur costume. Leurs armes et les harnais de leurs chevaux étaient également négligés. Leurs cheveux ne descendaient qu'à mi-tête : ils se rasaient la barbe comme des histrions, portaient des bottes et des chaussures indécentes; enfin il n'en fallait attendre ni foi...
Page 70 - ... en présence de Clovis. Celui-ci lui dit : « Pourquoi as-tu fait honte à notre famille en .« te laissant enchaîner? il te valait mieux mourir; » et ayant levé sa hache, il la lui rabattit sur la tête.