Les Ennéades, Volume 3L. Hachette et C°, 1861 |
Contents
3 | |
26 | |
30 | |
64 | |
67 | |
68 | |
70 | |
75 | |
420 | |
421 | |
422 | |
424 | |
428 | |
429 | |
439 | |
444 | |
80 | |
82 | |
93 | |
94 | |
96 | |
102 | |
103 | |
115 | |
117 | |
118 | |
123 | |
126 | |
129 | |
131 | |
150 | |
166 | |
169 | |
176 | |
177 | |
179 | |
182 | |
184 | |
193 | |
208 | |
219 | |
221 | |
227 | |
231 | |
246 | |
248 | |
254 | |
255 | |
261 | |
264 | |
272 | |
283 | |
290 | |
294 | |
300 | |
301 | |
318 | |
336 | |
341 | |
354 | |
355 | |
358 | |
362 | |
370 | |
373 | |
384 | |
398 | |
401 | |
407 | |
410 | |
412 | |
417 | |
455 | |
458 | |
460 | |
462 | |
470 | |
472 | |
476 | |
479 | |
487 | |
491 | |
503 | |
512 | |
520 | |
524 | |
535 | |
544 | |
547 | |
552 | |
554 | |
557 | |
559 | |
570 | |
572 | |
579 | |
588 | |
595 | |
596 | |
599 | |
607 | |
608 | |
610 | |
613 | |
617 | |
621 | |
623 | |
625 | |
627 | |
630 | |
631 | |
632 | |
638 | |
640 | |
645 | |
646 | |
649 | |
654 | |
655 | |
656 | |
663 | |
665 | |
675 | |
681 | |
691 | |
692 | |
693 | |
699 | |
Other editions - View all
Common terms and phrases
absolument acte âme animaux Aristote beauté choses sensibles ci-après ci-dessus cité Commentaire des Catégories composé conséquent constitue contemple contraire corps Creuzer d'Aristote d'elle d'être Dieu différence divine diviser Dogmata theologica doit dyade effet elle-même engendré enim ENNÉADE espèces essence existe existence Ficin forme gence genres premiers gible grandeur hypostases ici-bas identique image intelli ipsum Jamblique l'acte l'âme l'Ame universelle l'Ennéade l'essence l'être l'existence l'homme l'intelli l'Intelligence l'objet l'Un l'unité lieu lui-même lumière manière matière ment Métaphysique monde intelligible monde sensible mouvement multiple nature nombre objets Olympiodore omnia Parménide participe passage passion pensée Péripatéticiens Phédon Philèbe philosophie juive Platon Plotin Porphyre possède principe Proclus puissance puissance physique qu'une quæ qualité quantité quod quum raison discursive raison séminale rapport reste rien s'il saurait science sence sens séparé serait seulement simple Simplicius Socrate stabilité Stoïciens substance sujet supérieur telligence tence trad ubique unité unum véritable καὶ
Popular passages
Page 473 - Je le demande, quelle ne serait pas la destinée d'un mortel à qui il serait donné de contempler le beau sans mélange, dans sa pureté et sa simplicité, non plus revêtu de chairs et de couleurs humaines, et de tous ces vains agréments condamnés à périr ; à qui il serait donné de voir face à face sous sa forme unique, la beauté divine...
Page 552 - Quand je pense, Seigneur, que tout l'être est en vous, vous épuisez et vous engloutissez , ô abîme de vérité , toute ma pensée ; je ne sais ce que je deviens : tout ce qui n'est point vous disparaît, et à peine me reste-t-il de quoi me trouver encore moi-même. Qui ne vous voit point n'a rien vu ; qui ne vous goûte point n'a jamais rien senti : il est comme s'il n'était pas; sa vie entière n'est qu'un songe.
Page 116 - Dans2 ce trajet, (l'âme) contemple la justice, elle contemple la sagesse, elle contemple la science, non point celle où entre le changement, ni celle qui se montre différente dans les différents objets qu'il nous plaît d'appeler des êtres, mais la science telle qu'elle existe dans ce qui est l'être par excellence...
Page 357 - C'est elle qui fait que les hommes pensent encore aujourd'hui sur divers points comme on pensait il ya quatre mille ans. C'est elle qui donne des pensées uniformes aux hommes les plus jaloux et les plus irréconciliables entre eux : c'est elle par qui les hommes de tous les siècles et de tous les pays sont...
Page 473 - ... en cherchant à se fondre en un seul être. Dans cet état, l'âme ne sent plus son corps ; elle ne sent plus si elle vit, si elle est homme, si elle est essence, être universel ou quoi que ce soit au monde ; car ce serait déchoir 1.
Page 557 - ... connaissons plus. Nous n'avons pas notre regard toujours fixé sur l'Un ; mais quand nous le contemplons, nous atteignons le but de nos vœux, et nous jouissons du repos1; nous ne sommes plus en désaccord et nous formons véritablement autour de lui un chœur divin. IX. Dans ce chœur, l'âme voit la source de la Vie, la source de l'Intelligence, le principe de l'Être, la cause du Bien, la racine de l'Ame. Toutes ces choses découlent de l'Un sans le diminuer. Il n'est point en effet une masse...
Page 420 - L'homme étant formé par un tel dessein , nous pouvons définir l'âme raisonnable , substance intelligente née pour vivre dans un corps , et lui être intimement unie. L'homme tout entier est compris dans cette...
Page 500 - II faut que l'homme s'immortalise autant que possible ; il faut qu'il fasse tout pour vivre selon le principe le plus noble de tous ceux qui le composent. Si ce principe n'est rien par la place étroite qu'il occupe, il n'en est pas moins infiniment supérieur à tout le reste en puissance et en dignité. C'est lui qui, à mon sens, constitue chacun de nous et en fait un individu, puisqu'il en est la partie dominante et supérieure ; et ce serait une absurdité à l'homme de ne pas adopter sa propre...
Page 503 - La vertu n'a point de maître : elle s'attache à qui l'honore, » et abandonne qui la néglige. On est responsable de son choix.
Page 475 - L'intelligence a deux puissances : par l'une, qui est la puissance propre de penser, elle voit ce qui est en elle; par l'autre, elle aperçoit ce qui est au-dessus d'elle, à l'aide d'une sorte d'intuition et de perception. Par cette intuition, elle voyait d'abord simplement; puis, en voyant, elle a recu l'intellection et elle s'est identiflée à l'Un.