172, Une grande fortune sert au mérite, II, 158, 2. Usage qu'en fait le parvenu, II, 163, 21. - Réflexions sur les fortunes récentes et rapides, II, 164165, 22-24. Triste destinée de celui qui a fait la fortune de plusieurs, II, 168, 33. — Faire fortune, belle phrase, partout répandue, II, 169, 36.-Quelle sorte d'esprit faut-il pour faire fortune? II, 170, 38. A quel âge on y songe, II, 171, 40. -Quel en est le fruit, II, 171, 41. Le plus court et le meilleur moyen de la faire, II, 172, 45. La dévotion ne vient qu'après fortune faite, II, 46. Avantage d'une fortune médiocre, II, 173, 49.- L'ambition de faire fortune suspend les autres passions, II, 174, 50. La mine désigne les biens de fortune, II, 174, 53. A quel prix on a un peu de fortune, II, 178, 68. fortune du dé, II, 180, 73. Peines qu'on prend pour sa fortune ou se repent de n'avoir pas prises, II, 184, 82. Envie que la fortune excite, II, 219, 26. Sa fortune une fois faite, on ne songe plus qu'à soi, II, 220, 28. On tombe d'une haute fortune de la même manière qu'on y était monté, II, 223, 34. Moyens de faire fortune, d'après un vieil auteur, II, 231, 54. Portrait d'un homme qui veut sa fortune, II, 235, 62. Peines qui accompagnent une grande fortune, II, 248, 98.-Qu'importe à l'État la fortune du particulier ? II, 278, 8. D'où vient que celui-ci fait sa fortune et que cet autre la manque, III, 79, 14. Voyez DEVOTION. La FOURRIERS qui ont l'air de cour, II, 212, 14. FRAGMENT, III, 91-93, 28. FRANÇAIS (les), I, 26; II, 61, 65; 176, 56; 289, 13; III, 490. FRANÇAISE (langue), III, 85, 19. FRANCE (la), II, 19; 32, 21; 66, 12; 131, 9; 153, 74; III, 138, 2; 169, 14; 216, 73; 248, 29; 445; 467; 501; 504; 506. FRANCE (la maison de), II, 153, 74; III, 481; 496. FRANCHSIES, privilège du noble, III, 168, 13. Francine (Pierre), maître d'hôtel du Roi, II, 403. Francine, gendre de Lulli, II, 334. Francine de Grand-MaiVoyez Grand son. Maison. FRANÇOIS Ier, roi de France, III, 481; 494; 499; 500; 505. Frémont, II, 389-390; III, 399; IV, 151. FRIPONNERIE, II, 172, 44. FRIPONS. Nécessaires à la cour, II, 230, 53. Frontin, III, 50, 107. FRUITERIE (chefs de), II, 212, 14. FRUITS (l'amateur de), III, 136, 2. Fulvie et Mélanie, qui ont condamné Hermodore sans l'avoir lu, II, 34, 23. Ames éprises du gain, II, 176, 58. GALANTERIE, II, 87-88, 20-22; 96, 43-44. Anciens et nouveaux galants, II, 87, 19. Maris et galants, II, 105, 74-75. Celui que les femmes veulent avoir pour galant, II, 202, 14. GALLES (le prince de), fils de Jacques III. Voyez JACQUESEDOUARD, prince de Galles. Gallois (l'abbé), académicien, III, 465, note 4. GANYMEDE (le) de Carrache, III, 170, 17. Garnier, seigneur de Montereau, II, 429. GAULES (les), III, 114, 93. GAULTIER, marchand d'étoffes, II, 205, 18. GAZETTE DE HOLLANDE (la), II, 196, 12 et note 3. GENDRE. -Est aimé de son beau père et de sa belle-mère, II, 144, 45. GENES (la république de), III, 493, 526. Genest (l'abbé). Sa Pénélope, II, 46 et note 2. Georges, marquis d'Entragues, II, 397. Géronte, vieux mari intestat, III, 49, 105. GESTE affecté, II, 128, 6; III, 69, 146. Gesvres (duc de). III, 291. précédent, président de la chambre des comptes, II, 428. Girardin (le marquis de Lévy), III, 310. Giton, qui est riche, II, 184, 83. Préférée à la vie, III, 117, 98. Fausse gloire, II, 98, 48; III, 32, 66. GLORIEUX (le). Il aime à se montrer aux grands, II, 67, 14. Glycère, qui est inaccessible, II, 103, 73. Gnathon, l'égoïste, III, 55, 121. Godard, conseiller au Parlement, II, 412. GODEAU (Antoine), évêque de Grasse et de Vence, III, 446, Ressemblance de goût entre amis sur ce qui regarde les mœurs, 11, 147-148, 61.—La cour, centre du bon goût, II, 151, 71. Voyez PEUPLE, SENS (bon). GOUVERNEMENT. Quel est le meilleur, II, 275, 1. Gouvernement despotique, II, 276, 3. Science des détails, condition essentielle d'un bon gouvernement, II, 294, 24. Parfait gouvernement, chefd'œuvre de l'esprit, II, 299, 32. GOUVERNER. Une femme est aisée à gouverner, quand c'est un homme qui s'en donne la Compeine, II, 96, 45. ment on arrive à gouverner un homme, II, 123, 71. Gens qui se croient capables de gouverner, II, 169, 37. Quel est l'homme peu facile à gouverner, III, 51, 109. Par quoi se gouverne l'homme, qui est esprit, III, 70, 154. Voyez GRANDS. Gouverney (le marquis de), II, 3go. GRÂCES. Distribution des grâ - ces, III, 114, 91. GRAMONT (Philibert, comte de), II, 445; III, 525. Grand-Maison (Francine de), prévôt général des connétables et maréchaux de France, III, 402; IV, 158. GRANDEUR. La véritable et la fausse, II, 80, 42. Grandeur artificielle et grandeur naturelle chez les femmes, II, 82, 2. Les grands se défendent par leur grandeur, II, 146, 52. Grandeur et discernement sont deux choses différentes, II, 253, 13. Voyez VERTU. GRANDS (des), II, 65, 11; 250274. Ce qui est magni ficence dans les grands est ineptie dans le particulier, II, 209, 22. - Par quels motifs on les recherche, II, 239, 72. On n'ose aller contre leurs appréciations, II, 241, 78. Prévention du peuple en leur faveur, II, 250, 1. Leur avantage sur les autres hommes, II, 250, 3. Ne recherchent pas la jouissance de faire le bien, II, 251, 4. Comparés aux petits, II, 251, 5. Peuvent user de belles promesses, II, 252, 6. Leur ingratitude, II, 252, 7.- N'apprécient pas l'homme de mérite qui les sert, II, 252,8. Il est plus utile de les quitter que de s'en plaindre, II, 252, 9. Ils perdent sans regrets leurs serviteurs, II, 252, 11. Dédaignent les gens d'esprit, II, 253, 12. Admettent près d'eux les intrigants, éloignent de bien, II, 253, 13. La règle de voir de plus grands que soi, II, 253, 14. Manie de gouverner les grands, II, 254, 15.-Effet d'une froideur ou d'un salut des grands, II, 254, 16. Leur mépris pour le peuple, le peu d'estime des princes pour eux, II, 255, 18. Croient être seuls parfaits, II, 255, 19. Comparés à leurs subalternes, II, 256, 21. Par quoi ils sont odieux aux petits, II, 257, 22. Leur ignorance; ils sont heureux de devenir les gendres de citoyens qu'ils dédaignaient, II, 258-259, 24. Les grands et le peuple comparés, II, 259, 25. Leur malignité force l'homme d'esprit à ne pas se livrer à eux, II, 259, 26. - De la crapule des grands, II, 260, 28. Que les gens degré de bonheur un grand peut avoir sur les autres hommes, II, 261,31. — On souffre d'eux et de ce qui leur appartient, II, 262, 33. Leur maxime est de laisser parler, II, 262-263, 34. - Incapables de bien traiter le mérite, II, 263, 35. Doivent se faire estimer pour donner du prix à leurs bonnes grâces, II, 263, 36. Manège de ceux qui veulent paraître bien avec eux, II, 263, 37. Danger d'être leur complice, II, 264, 38. Ce qui les encourage à la bravoure, II, 264-265, 41. N'aiment point les premiers temps, II, 268, 47. On a pour eux une haine impuissante, II, 271, 51. — On doit les honorer, II, 272, 52. Sont peuple comme les petits, II, 272-273, 53. Se vernent par sentiment, II, 273, 54. On doit se taire sur eux, II, 274, 56. — Il y a des gens qui parviennent en les amusant, III, 44, 96. Du grand qu'on dit mourir de faim, III, 113, 82. La réussite aveugle sur la conduite des grands, III, 123, 113. Préfèrent un Tigillin à un homme de bien, III, 143-144, --- -- gou 6. - De ceux qui se font leurs esclaves, III, 240, 9. Non athées, mais indifférents, III, 242, 16. Voyez FAVEUR, GRANDEUR, HUMANITÉ, PHILOSOPHIE, SENTIMENT. GRATTER à la porte du Roi, II, 213, 15 et note I. GRAVITÉ. Trop étudiée, elle devient comique, III, 93, 29. GRÈCE (la), I, 17; 19; 33; 78; 87; II, 29; 15; 175, 56. GRECQUE (langue), III, 85, 19. GRECS (les), I, 10; 13; 22; 31; 33; 34; 60; 63; 65; 67; 87; II, 52; III, 79; 83; 106; 107. GROSSIÈRETÉ, III, 238, 3. Grossièreté des femmes du peuple, II, 204, 16. Chez un homme d'esprit, III, 98, 48. Guénégaud (M. de), II, 398. GUERRE, II, 279-280, 9-10. Voyez PAROLE. GUESCLIN (Bertrand du), connétable de France, III, 205, 73. Guide spirituelle (la), de Molinos. Voyez Molinos. GUILLAUME III, roi d'Angleterre (allusions à), III, 123-134, 113-119; 352-353. GUYNES, nom de lieu, III, 500. Guyon (Mme), III, 545, 546, etc. 191; et note 2. Handburg, II, 61, 66, et note 2. HARLAY, III, 81, 18. Harlay (Achille de), premier président, II, 350; 380; 381; 424; 456-458; III, 338. Harlay (Achille de), fils du précédent, avocat général au Parlement, II, 350. Harlay (Mlle de), sœur du précédent, II, 351, IV; 148. Harlay (François de), archevêque de Paris, II, 353-355; 371; 461; III, 81 et note 3; 300-303; 464, note 1. HARMONIE. La plus douce est le son de voix de celle qu'on aime, II, 86, 10. Harouys (M. d'), III, 187, note I. HASARD. On ne le fait pas, on s'en sert, III, 110, 74. — N'a pu produire l'harmonie universelle, III, 257-271, 43-45. Hautefeuille (Frère Etienne Texier de), ambassadeur de Malte, II, 440. Hautefort (Jean-François marquis d'), III, 307; 311. HAUTEUR. Hauteur de certaines gens jusqu'à ce que l'arrivée d'un grand les remette à leur place, II, 214, 17. Air de hauteur, II, 255, 20. HÉBREUX (les), I, 22. * Voyez ci-dessus, p. 222, note 1. HECTOR, nom de baptême, II, 257, 23. Hégion, fondeur, II, 153, 75. Helvétius, III, 411; 412. HÉMERY. Voyez ESMERY. Hennequin, procureur général au grand conseil, III, 406407; IV, 159. HENRI II, roi de France, III, 506. HENRI III, roi de France, II, 152, 74. HENRI IV, roi de France, II, 152, 74. HENRI VIII, roi d'Angleterre, III, 500; 501. Héraclite, jugeant ses contemporains, III, 126-128, 118. HERACLIUS, III, 101, 56. Herbelot (d'), II, 267, note 2. HERCULE, 1, 73, note 1. Nom de baptême, II, 257, 23. HÉRIGEBAL*, roi de Babylone, II, 153, 74. Hérille, le citateur III, 105, 64. HÉRITIER. Qui n'en a pas, peut vivre à ses aises, II, 178, 63. — L'héritier dévore l'épargne du mort, II, 178, 64. Dépense plus en dix mois qu'un avare en toute sa vie, II, 178, 65. Frustré par le prodigue, II, 178, 66. Le titre d'héritier nuit à l'affection entre pères et enfants II, 178, 67. Le caractère de l'héritier rentre dans celui du complaisant, II, 179, 69. - Tous les hommes héritiers les uns des |