A cette vue, l'homme qui travaillait sentit son âme plus troublée qu'auparavant : car, pensait-il, la mort de la mère, c'est la mort des enfants. Les miens n'ont que moi non plus. Que deviendront-ils si je leur manque ? Et tout le jour il fut sombre... Second year in French - Page 145by Louis Charles Syms - 1896 - 287 pagesFull view - About this book
| Félicité Robert de Lamennais - 1834 - 348 pages
...vainement sous sa serre , jetait des cris pe rçans. A cette vue , l'homme qui travaillait sentit son ame plus troublée qu'auparavant : car , pensait-il , la mort de la mère , c'est la mort des enfans. Les miens n'ont que moi non plus. Que deviendront-ils si je leur manque? Et tous les jours... | |
| Félicité Robert de Lamennais - Christian socialism - 1834 - 214 pages
...cette vue, l'homme qui travailloit sentit son âme plus troublée qu'auparavant : car, pensoit-il, la mort de la mère, c'est la mort des enfants. Les miens n'ont que moi non plus. Que deviendropt-ils si je leur manque ? Et tout le jour il fiit sombre et triste,... | |
| Félicité Robert de Lamennais - Charity - 1834 - 250 pages
...cette vue l'homme qui travailloit sentit son âme plus troublée qu'auparavant : car , pensoit-il, la mort de la mère, c'est la mort des enfants. Les miens n'ont que moi non plus. ' Que deviendront-ils si je leur manque ? Et tout le jour il fut sombre et... | |
| Alain Auguste Victor de Fivas - 1838 - 150 pages
...l'enlève, et la pauvre mère, se débattant vainement sous sa serre, jetait des cris perçants. IL A cette vue, l'homme qui travaillait sentit son âme...de la mère, c'est la mort des enfants. Les miens n'ont que moi non plus. Que deviendront-ils si je leur manque ? Et tout le jour il fut sombre et triste,... | |
| Félicité Robert de Lamennais - 1839 - 726 pages
...débattant vainement sous sa serre , jetait des cris perçants. A cette vue , l'homme qui travaillail sentit son âme plus troublée qu'auparavant : car,...de la mère , c'est la mort des enfants. Les miens n'ont que moi non plus. Que deviendront-ils si je leur manque? Et tout le jour il fut sombre et triste,... | |
| Chapsal (M., Charles Pierre) - Authors, French - 1845 - 372 pages
...becquée, un vautour la saisit, l'enlève ; et la pauvre mère, se débattant vainement sous sa serre, jetait des cris perçants. A cette vue, l'homme qui...de la mère, c'est la mort des enfants. Les miens n'ont que moi non plus. Que deviendront-ils si je leur manque ? Et tout le jour il fut sombre et triste,... | |
| Chapsal (M., Charles Pierre) - 1848 - 406 pages
...becquée, un vautour la saisit, l'enlève ; et la pauvre mère, se débattant vainement sous sa serre, jetait des cris perçants. A cette vue, l'homme qui...de la mère, c'est la mort des enfants. Les miens n'ont que moi non plus. Que deviendront-ils si je leur manque ? Et tout le jour il fut sombre et triste,... | |
| Saucié - 1850 - 272 pages
...tableau gracieux qui contraste avec l'état de cet homme « triste, abattu à cause de sa crainte. » A cette vue, l'homme qui travaillait sentit son âme...pensait-il, la mort de la mère, c'est la mort des enfantsi. Les miens n'ont que moi non plus. Que deviendront-ils si je leur manque? Et tout le jour... | |
| M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - French language - 1851 - 162 pages
...l'enlève, < i pauvre mère, se débattant vainement sous sa serre, jc.uj; des cris perçants. II. A cette vue, l'homme qui travaillait sentit son âme...de la mère, c'est la mort des enfants. Les miens n'ont que moi non plus. Que deviendront-ils si je leur manque ? Et tout le jour il fut sombre et triste,... | |
| A. A. V. de Fivas - 1852 - 166 pages
...serre, jetait des cris perçants. II. A cette vue, l'homme qui travaillait sentit son âme plus troubl'e qu'auparavant : car, pensait-il, la mort de la mère, c'est la mort des enfants. Les miens n'ont que moi non plus. Que deviendront-ils si je leur manque ï Et tout le jour il fut sombre et triste,... | |
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