Readings from French historyOvando Byron Super |
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Common terms and phrases
Anglais armée Austerlitz avaient Bastille battle c'était called canons cause chefs chose citoyens combat comités comte comte de Warwick Convention nationale coup Couthon croisades croyait Danton décret décret de Berlin demande députés devant died Dieu disait dit-il électeurs enfin English ennemis envoya esprits faisait first force foule French garde général gens Girondists gouvernement gouverneur guerre Guillaume Harold Henriot history hommes invalides Jacobins Jeanne jour jugement king Kremlin l'Angleterre l'armée l'Assemblée l'Église l'empereur l'Europe l'Hôtel laisser latter Launey liberté Louis Louis XVI ment mille mort Moscou n'avait n'était Napoléon nation nobles Normandie Norvégiens order paix d'Amiens paroles passer patrie patriotes pays Pétion peuple Pierre Cauchon porter pouvait prisonniers Prusse république reste Révolution rien Robespierre royaume Russia Russie s'était Saint Saint-Just sauver seigneurs sentiments serait seul sire société soldats sorte Thuriot Tilsit tion Tostig tribune trouvait tyran used Vaucouleurs venait Vergniaud vint voix voulait work XIIIe siècle ΙΟ
Popular passages
Page 155 - La loi donne pour défenseurs aux patriotes calomniés des jurés patriotes; elle n'en accorde point aux conspirateurs.
Page 165 - Comité de salut public, et constitué ainsi deux gouvernements; que des membres du Comité de salut public entrent dans ce complot; que la coalition ainsi formée cherche à perdre les patriotes et la patrie. Quel -est le remède à ce mal? Punir les traîtres, renouveler les bureaux du Comité de sûreté générale, épurer ce Comité...
Page 165 - Disons donc qu'il existe une conspiration contre la liberté publique ; qu'elle doit sa force à une coalition criminelle qui intrigue au sein même de la Convention; que cette coalition a des complices dans le Comité de sûreté générale et...
Page 25 - Il y eut un moment de terreur panique dans l'armée d'outremer ; le bruit courut que le duc avait été tué, et, à cette nouvelle, la fuite commença. Guillaume se jeta luimême au-devant des fuyards et leur barra le passage, les menaçant et les frappant de sa lance ; puis, se découvrant la tête : " Me voilà, leur cria-t-il, regardezmoi, je vis encore, et je vaincrai, avec l'aide de Dieu.
Page 26 - ... dont ils ne pouvaient se garantir, ayant les deux mains occupées à manier leurs grandes haches. Quand ils eurent perdu leurs rangs, les clôtures des redoutes furent enfoncées; cavaliers et fantassins y pénétrèrent; mais le combat fut encore vif, pêle-mêle et corps à corps. Guillaume eut son cheval tué sous lui; le roi Harold et ses deux frères tombèrent morts, au pied de leur étendard, qui fut arraché et remplacé par la bannière envoyée de Rome.
Page 34 - Car personne au monde, ni roi, ni ducs, ni fille du roi d'Ecosse, ne peuvent reprendre le royaume de France, et il n'ya pour lui de secours que moi-même, quoique j'aimasse mieux rester à filer près de ma pauvre mère; car ce n'est pas là mon ouvrage; mais il faut que j'aille et que je le fasse, parce que mon Seigneur le veut.
Page 25 - Dieu aide ! Mais les Normands furent repoussés, à l'une des portes du camp, jusqu'à un grand ravin recouvert de broussailles et d'herbes, où leurs chevaux trébuchèrent et où ils tombèrent pêle-mêle, et périrent en grand nombre.
Page 23 - Saxons se divertissaient avec grand bruit et chantaient de vieux chants nationaux, en vidant, autour de leurs feux, des cornes remplies de bière et de vin.
Page 155 - Le délai pour punir les ennemis de la patrie ne doit être que le temps de les reconnaître : il s'agit moins de les punir que de les anéantir.
Page 25 - Le duc alors fit avancer de nouveau tous ses archers, et leur ordonna de ne plus tirer droit devant eux, mais de lancer leurs traits en haut, pour qu'ils tombassent par-dessus le rempart du camp ennemi.