Lestrange, vieil gentilhomme et de ses principaux conseillers, cheminant en même équipage et blessé, fit en un chemin large avancer sa litière au front de l'autre, et puis passant la tête à la portière, regarda fixement son chef , et se sépara... Histoire de France - Page 291by Jules Michelet - 1879Full view - About this book
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - France - 1835 - 582 pages
...l'autre , et puis passant « la tête à la portière , regarda fixement son << chef, et se sépara la larme à l'œil avec ces « paroles : Si est-ce que Dieu est très doux. Là« dessus , ils se dirent adieu , bien unis de pen« sées , sans pouvoir dire davantage.... | |
| Jean Charles L. Simonde de Sismondi - 1835 - 584 pages
...l'autre , et puis passant « la tête à la portière , regarda fixement son « chef, et se sépara la larme à l'œil avec ces « paroles : Si est-ce que Dieu est très -doux. Là« dessus , ils se dirent adieu , bien unis de pen« sées , sans pouvoir dire davantage.... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde de Sismondi - 1835 - 580 pages
...l'autre , et puis passant « la tête à la portière , regarda fixement son « chef, et se sépara la larme à l'œil avec ces « paroles : Si est-ce que Dieu est très doux. Là« dessus , ils se dirent adieu , bien unis de pen(( sées , sans pouvoir dire davantage.... | |
| Charles Lacretelle - France - 1844 - 948 pages
...au front de l'autre, » et puis , passant la tête à la portière , regarde . » fixement son chef, se sépare la larme à l'œil avec » ces paroles...est-ce que Dieu est très-doux. » Là-dessus , ils se dirent adieu , bien unis de pen» sée, sans en pouvoir dire davantage. Ce grand » capitaine a confessé... | |
| Guillaume Félice - France - 1851 - 682 pages
...front de l'autre, et puis passant la tête à la portière, regarda fixement son chef , et se sépara la larme à l'œil avec ces paroles : Si est-ce que Dieu est très-doux. Là-dessus ils se dirent adieu, bien unis de pensées, sans en pouvoir dire davantage. Ce grand capitaine a confessé... | |
| Jules Michelet - France - 1856 - 506 pages
...même équipage et blessé, fit avancer sa litière au front de l'autre, et puis, passant la tête à la portière, regarde fixement son chef, et se...retraite lente, imposante, qui montrait les dents, dit : « Il faut faire la paix. » Cette situation révéla en effet dans le malheureux capitaine, battu... | |
| Auguste-François Lièvre - Poitou - 1856 - 332 pages
...front de l'autre, et puis, passant la tête à la portière, regarda fixement son chef, s'en sépara la larme à l'œil avec ces paroles : — « Si est-ce que Dieu est très doux ! — Là dessus ils se disent adieu bien unis de pensées sans en pouvoir dire davantage.... | |
| Guillaume Adam Félice - France - 1861 - 718 pages
...puis, passant la tête à la portière , regarda fixement son chef, et se sépara la larme à l'oeil avec ces paroles : Si estce que Dieu est très-doux. Là-dessus ils se dirent adieu, bien unis de pensées, sans en pouvoir dire davantage. Ce grand capitaine a confessé... | |
| Théodore César Muret - 1862 - 484 pages
...front de l'autre, et puis passant la tête à la portière, regarda fixement son chef, et se sépara la larme à l'œil avec ces paroles : Si est-ce que Dieu est 1res doux. Là-dessus, ils se dirent adieu, bien unis de pensées, sans en pouvoir dire davantage.... | |
| Jules Michelet - France - 1874 - 356 pages
...même équipage et blessé, fit avancer sa litière au front de l'autre, et puis, passant la tête à la portière, regarde fixement son chef, et se...très-doux. Làdessus, ils se disent adieu, bien unis do pensée, sans pouvoir dire davantage. » Rien ne put briser Coligny. De sa litière, il mène la... | |
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