Pourquoi l'on ne croît pas ou des principales causes de l'incrédulité en matière de religionPeeters, 1866 - 276 pages |
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âge âme Augustin aujourd'hui avaient aveugle Biran catholique causes chercher choses chré chrétienne christianisme commencement connaissance contraire corps croire croyances croyants d'autres demande devant Dieu dire direction divine doctrine dogmes doit donner doute écoles écrits élevé enseignements esprit état évidentes fond force forme génie Grèce haute hommes humaine Ibid incrédules incroyants intellectuelle intelligence Jésus-Christ jeune jour juge l'âme l'autorité l'Eglise l'esprit l'histoire l'homme l'incrédulité l'ordre l'un liberté libre livre lui-même lumière Luther Maine maître ment monde montre morale mort moyen mystères n'était nature naturelle nécessaire négation nombre œuvres panthéisme parler parole passions pensée père peuples philosophie Platon portée préjugés premier principales progrès propre Protestantisme protestants puissance pure qu'à qu'un raison rappeler rationalisme regard religieux religion révélation rien ruine s'il sainte savants scepticisme science sens sentiment sera sérieux seule siècle société sophistique sorte souvent supérieure surnaturel tion tomber trouve vérité Voilà volonté Voyez vrai XVIIIe yeux
Popular passages
Page 211 - Cette négligence en une affaire où il s'agit d'euxmêmes, de leur éternité, de leur tout, m'irrite plus qu'elle ne m'attendrit; elle m'étonne et m'épouvante, c'est un monstre pour moi.
Page 140 - D'un côté, les incrédules, les panthéistes, les sceptiques de toute sorte, les purs rationalistes ; de l'autre, les chrétiens. « Parmi les premiers, les meilleurs laissent subsister, dans le monde et dans l'âme humaine, la statue de Dieu , s'il est permis de se servir d'une telle expression, mais la statue seulement, une image, un marbre. Dieu lui-même n'y est plus. Les chrétiens seuls ont le Dieu vivant.
Page 220 - ... de la lumière : il ne fera tout cela qu'avec des peines infinies; la lumière lui blessera les yeux, et l'éblouissement qu'elle lui causera l'empêchera de discerner les objets dont il voyait auparavant les ombres.
Page 182 - ... et les esprits et voit tout comme il est. Je m'appuyais sur moi-même, je comptais sur mes facultés, j'espérais qu'elles s'étendraient toujours, j'attendais de grands progrès du temps et du travail; et l'expérience m'apprend que je m'appuyais sur un faible roseau, agité par les vents, et rompu par la tempête. Nos facultés changent et trompent notre atlente; nous sommes tout aussi peu fondés à croire à leur force et à leur durée qu'a leur autorité.
Page 3 - Les aveugles voient, les boiteux marchent , les lépreux sont guéris, les sourds entendent, les morts ressuscitent, l'évangile est annoncé aux pauvres.
Page 184 - ... je suis plus enclin, depuis quelque temps, à chercher dans les notions de l'être absolu, infini, immuable, ce point d'appui fixe, qui est devenu le besoin de mon esprit et de mon âme. Les croyances religieuses et morales que la raison ne fait pas, mais qui sont pour elle une base...
Page 231 - ... ne dissimulait pas qu'on fût sceptique. .. "Toute la philosophie était dans un trou où l'on manquait d'air, et où mon âme récemment exilée du christianisme, étouffait... lu cependant, l'autorité des maîtres et la ferveur des disciples m'impesaient, et je n'osais montrer ni ma surprise ni mon désappointement...
Page 233 - ... tout ce qui m'entourait avait le même cœur, la même âme, le même espoir dans la foi. Moi seul l'avais perdue, moi seul étais dans la vie sans savoir ni comment ni pourquoi; moi seul, si savant, ne savais rien ; moi seul étais vide, agité, aveugle, inquiet.
Page 155 - ... l'impiété à la piété, il se montre contraire aux dogmes apostoliques, le bienheureux Paul disant : Nous avons confiance que celui qui a commencé en...
Page 12 - Pour détruire les bruits, Néron chercha des coupables, et lit souffrir les plus cruelles tortures à des malheureux, abhorrés pour leurs infamies , qu'on appelait vulgairement chrétiens. Le Christ, qui leur donna son nom, avait été condamné au supplice, sous Tibère, par le procurateur Ponce-Pilate , ce qui réprima pour un moment cette exécrable superstition.