Œuvres de J. de La Fontaine: Notice biographique sur La Fontaine, par P. Mesnard. Pièces justificatives. Fables, livre 1.-5Hachette & cie, 1883 |
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... mort de l'auteur , lorsqu'il nous a paru qu'il y avait quelque intérêt à les signaler . On sait quelles sont les règles d'orthographe suivies dans la Collection . Nous nous bornerons à dire un mot de notre emploi des majuscules dans les ...
... mort de l'auteur , lorsqu'il nous a paru qu'il y avait quelque intérêt à les signaler . On sait quelles sont les règles d'orthographe suivies dans la Collection . Nous nous bornerons à dire un mot de notre emploi des majuscules dans les ...
Page xv
... mort de Henri IV . On ne refusera pas de croire , avec d'Olivet , que cette lecture le transporta d'admiration , qu'il voulut étudier l'excellent poëte , « et s'y attacha de telle sorte qu'après avoir passé les nuits à l'apprendre par ...
... mort de Henri IV . On ne refusera pas de croire , avec d'Olivet , que cette lecture le transporta d'admiration , qu'il voulut étudier l'excellent poëte , « et s'y attacha de telle sorte qu'après avoir passé les nuits à l'apprendre par ...
Page xxii
... mort , par la Fontaine , était habile latiniste . Admettons cependant le bon avis donné par Pintrel . Il en faudrait connaître la date . Rien n'autorise à la faire re- monter très - haut , beaucoup avant cette année 1654 , où la ...
... mort , par la Fontaine , était habile latiniste . Admettons cependant le bon avis donné par Pintrel . Il en faudrait connaître la date . Rien n'autorise à la faire re- monter très - haut , beaucoup avant cette année 1654 , où la ...
Page xxviii
... mort du fiancé . Mau- croix eut le chagrin de la voir mariée , le 24 juin 1646 , au mar- quis de Brosses . Quoique la profondeur de son désespoir ait , par quelques bonnes raisons , été jugée douteuse1 , il put entrer un peu de dépit ...
... mort du fiancé . Mau- croix eut le chagrin de la voir mariée , le 24 juin 1646 , au mar- quis de Brosses . Quoique la profondeur de son désespoir ait , par quelques bonnes raisons , été jugée douteuse1 , il put entrer un peu de dépit ...
Page l
... 2. Le brevet de Charles de la Fontaine en cette qualité , daté du 4 décembre 1714 et scellé du grand sceau , appartient à M. le vicomte Héricart de Thury . mort de leur père , une rente viagère de onze L NOTICE BIOGRAPHIQUE.
... 2. Le brevet de Charles de la Fontaine en cette qualité , daté du 4 décembre 1714 et scellé du grand sceau , appartient à M. le vicomte Héricart de Thury . mort de leur père , une rente viagère de onze L NOTICE BIOGRAPHIQUE.
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Common terms and phrases
amis apologue assez avoit avons Babrius Benserade Boileau c'étoit Chamfort Champmeslé chapitre Charles charmants Château-Thierry chose cite contes Coray Corrozet d'Ésope d'Olivet date dire dit-il donne doute duchesse de Bouillon écrit édition épître Ésope étoit eût fable fable ésopique fable grecque fabuliste Faërne femme Ferté-Milon Fontaine Foucquet François François de Maucroix François de Troy Fréron Furetière goût Haudent Héricart de Thury Histoire de l'Académie homme Ibidem Jannart Jean Jean Racine jeune l'abbé l'édition de 1678 l'épître laissé leçon lettre Lion livre Louis Racine Loup maison maître Malherbe manuscrit Maucroix Mlle Mme d'Hervart Mme de Sévigné Molière morale Mythologia sopica Neveleti n'était Noble note notice OEuvres diverses parle Phèdre Pidoux plaisir poëme poésie poëte poétique portrait première prince Rabelais récit recueil Renard Richelet rien Sablière Saint-Évremond Saint-Marc Girardin satire seulement taine trouve Voyez ci-dessus Voyez le Lexique Walckenaer Xantus Ysopet καὶ
Popular passages
Page 162 - C'est assez qu'on ait vu par là qu'il ne faut point. Agir chacun de même sorte. J'en voulais venir à ce point. FABLE XI LE LION ET LE RAT II faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
Page 118 - LE COQ ET LA PERLE. UN jour un coq détourna Une perle , qu'il donna Au beau premier lapidaire. Je la crois fine, dit-il ; Mais le moindre grain de mil Serait bien mieux mon affaire.
Page 414 - Ceci s'adresse à vous, esprits du dernier ordre, Qui, n'étant bons à rien, cherchez sur tout à mordre. Vous vous tourmentez vainement. Croyez-vous que vos dents impriment leurs outrages Sur tant de beaux ouvrages ? Ils sont pour vous d'airain, d'acier, de diamant.
Page 171 - Un Lièvre en son gîte songeait (Car que faire en un gîte, à moins que l'on ne songe ?) ; Dans un profond ennui ce Lièvre se plongeait : Cet animal est triste, et la crainte le ronge.
Page 126 - Le chêne un jour dit au roseau : « Vous avez bien sujet d'accuser la nature ; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau ; Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau. Vous oblige à baisser la tête ; Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
Page cxlvii - Que les vers ne soient pas votre éternel emploi. Cultivez vos amis, soyez homme de foi : C'est peu d'être agréable et charmant dans un livre, II faut savoir encore et converser et vivre.
Page 201 - L'un vieillard, l'autre enfant, non pas des plus petits, Mais garçon de quinze ans, si j'ai bonne mémoire, Allaient vendre leur âne, un certain jour de foire. Afin qu'il fût plus frais et de meilleur débit, On lui lia les pieds, on vous le suspendit ; Puis cet homme et son fils le portent comme un lustre.
Page 394 - Travaillez, prenez de la peine. C'est le fonds qui manque le moins. Un riche laboureur, sentant sa mort prochaine, Fit venir ses enfants, leur parla sans témoins. Gardez-vous, leur dit-il, de vendre l'héritage Que nous ont laissé nos parents : Un trésor est caché dedans. Je ne sais pas l'endroit ; mais un peu de courage Vous le fera trouver : vous en viendrez à bout. Remuez votre champ dès qu'on aura fait l'ont : Creusez, fouillez, bêchez ; ne laissez nulle place Où la main ne passe et repasse.
Page cxiii - Sous ce tombeau gisent Plaute et Térence, Et cependant le seul Molière y gît. Leurs trois talents ne formaient qu'un esprit Dont le bel art réjouissait la France. Ils sont partis, et j'ai peu d'espérance De les revoir. Malgré tous nos efforts, Pour un long temps, selon toute apparence, Térence, et Plaute, et Molière sont morts.
Page ci - Papillon du Parnasse, et semblable aux abeilles A qui le bon Platon compare nos merveilles : Je suis chose légère, et vole à tout sujet; Je vais de fleur en fleur, et d'objet en objet; A beaucoup de plaisirs je mêle un peu de gloire.