Politique d'Aristote |
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Aristote Athènes avant J. C. blique Carthage causes CHAPITRE chiavel choses Cicéron cité citoyens classe constitution Cousin Crète d'abord d'Aristote d'autres démagogie démocratie despotisme dire diverses doit doivent Dorier également éléments enfants Éphores esclaves espèces Esprit des Lois États évidemment femmes fonctions forme fortune garchie général gouvernement Grèce guerre haut Hérodote Hobbes hommes libres individus jamais justice l'âme l'aristocratie l'éducation l'égalité l'esclavage l'esclave l'Esprit des Lois l'État l'histoire l'homme d'État l'individu l'oligarchie Lacédémone législateur livre lois Lycurgue Machiavel magistrats magistratures maître ment mérite méthode monarchie Montesquieu morale Müller musique nature nécessairement objet oligarchies parfaite Pausanias pensée Périandre peuple peuvent philosophe Platon Polybe pouvoir premier principe puisse qu'Aristote question raison république reste révolutions riches Rousseau royauté sage science politique septième sera seul siècle social société Socrate souvent souveraineté Sparte spéciale suiv sujet surtout système théorie tion tique toyens trad traité tyrannie vertu VIII vrai
Popular passages
Page iv - Assemblée nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'homme, afin que cette déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs...
Page xxi - La garantie des droits de l'homme et du citoyen nécessite une force publique; cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.
Page xciv - Platon parle d'une république fondée sur la vertu , et nous parlons d'une monarchie. Or , dans une monarchie où , quand les charges ne se vendraient pas par un règlement public , l'indigence et l'avidité des courtisans les vendraient tout de même, le hasard donnera de meilleurs sujets que le choix du prince.
Page 210 - ... ils sont politiquement indisciplinables, et n'ont jamais pu conquérir leurs voisins. En Asie, au contraire, les peuples ont plus d'intelligence, d'aptitude pour les arts ; mais ils manquent de cœur, et ils restent sous le joug d'un esclavage perpétuel. La race grecque, qui topograpbiquement est intermédiaire, réunit toutes les qualités des deux autres.
Page lxxviii - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses ; et, dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.
Page 10 - le veut , puisqu'elle fait les corps des hommes libres « différents de ceux des esclaves, donnant à ceux-ci « la vigueur nécessaire dans les gros ouvrages de la « société, rendant au contraire ceux-là incapables de « courber leur droite stature à ces rudes labeurs , et « les destinant seulement aux fonctions de la vie civile, « qui se partage pour eux entre les occupations de « la guerre et celles de la paix...
Page 24 - On convint de donner et de recevoir dans les échanges une matière qui , utile par elle-même , fût aisément maniable dans les usages habituels de la vie ; ce fut du fer, par exemple, de l'argent, ou telle autre substance...
Page 8 - Quand on est inférieur à ses semblables autant que le corps l'est à l'âme, la brute à l'homme, et c'est la condition de tous ceux chez qui l'emploi des forces corporelles est le meilleur parti à espérer de leur être, on est esclave par nature...
Page xxxii - Dieu, dit-il , est le commencement , le' milieu et la fin de tous les êtres; il marche toujours en ligne droite, conformément à sa nature, en même temps qu'il embrasse le monde; la justice le suit, vengeresse des infractions faites à la loi divine. Quiconque veut être heureux, doit s'attacher à la justice, marchant humblement et modestement sur ses pas (2).
Page lxxviii - C'est en cherchant à instruire les hommes que l'on peut pratiquer cette vertu générale qui comprend l'amour de tous. L'homme, cet être flexible, se pliant dans la société aux pensées et aux impressions des autres, est également capable de connaître sa propre nature lorsqu'on la lui montre, et d'en perdre jusqu'au sentiment lorsqu'on la lui dérobe.