Revue de Paris, Volume 21835 |
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Common terms and phrases
Abbotsford admirable Angelo Annibal artiste assez aujourd'hui Auzou avaient beau belle Bouchard Bristol c'était casaquin Catarina chambre chant Chantilly château château d'Écouen Chatel Chatterton cheval chose coup d'Écouen demander Dieu dire dis-je donner drame Écouen enfans Ernest famille femme fille française François Ier Gaspard gens George Sand idées Jacquet jamais jeune homme Johnny Bower Joseph jour l'abbé Cœur l'abbé du Guerry l'abbé Lacordaire l'abbé Lejeune laisse Laurot Léopold Robert lieutenant Liret littéraire long-temps Louis XIV main Marianne Marie Tudor ment mille Mme Campan Mme de Lancey Mme Dutocq Mme Tastu monde monsieur Montfillon Montmorency mort musique n'avait noble notaire passé passions pauvre paysans peintre pensée père personnages pièce poésie poète porte premier qu'un raison reste rien Rossini s'est s'il saint Saint-Denis sais salle salon scène Scott semble serait seul siècle soldats sorte style talent tête théâtre tion trouve vaudeville vélites Victor Hugo vieux voilà voix
Popular passages
Page 120 - ... de l'élève en défaut. La correction avait l'attrait d'une récompense. Il voyait tout à la fois le progrès des pensionnaires par les cahiers ouverts devant lui, leur santé à leurs visages solides et roses, un peu...
Page 167 - Meireval, qui fut l'ami de l'Empereur. A chaque instant, les visiteurs arrivaient de Florence ; le bruit des roues, le piétinement des chevaux sur les dalles de la cour, les annonces pompeuses des grands noms de l'aristocratie toscane, rien, n'interrompait la note, rien ne calmait la furie de l'exécution musicale. La maîtresse de la maison était Norma ou...
Page 119 - Rien ne peut se comparer a la joie des pensionnaires quand elles avaient au milieu d'elles leur père, ainsi qu'elles appelaient Napoléon. Ni récréation, ni fête, ni distribution des prix ne faisait battre leur cœur comme ce mot, qui volait plus vite que le son de la cloche d'un bout du château...
Page 171 - Sur l'île où toute langue est encore inconnue , Où l'Océan du Sud murmure de doux sons : Les peuples endormis sous les ombres du pôle Ont buriné ce nom sur l'immense coupole Arrondie avec des glaçons. Allez à Tombouctou , la ville fabuleuse Où le Niger étend son onde nébuleuse, Prononcez de grands noms, des noms grecs et romains Aucun ne touchera le stupide sauvage ; Demandez Bonaparte à l'écho du rivage , Le rivage battra des mains.
Page 161 - Longchamps hebdomadaire ; deux longues files de calèches courent sur la grande allée ; les cavalcades s'y entremêlent; les piétons circulent dans les nefs latérales du bois. Ce tableau est calme , élégant et gracieux comme tout ce qui est florentin ; il ne sort aucun cri de cette foule si décente ; l'italien fluide et argenté de la molle Toscane circule harmonieusement de bouche en bouche , sur des notes à l'unisson qui font plaisir à l'oreille. Point de lutte, de querelles, de grossiers...
Page 118 - Campan avait une figure distinguée, mais je doute qu'elle ait jamais été belle ; elle était toujours mise en noir ; son organe était fort doux, fort calme ; elle s'écoutait parler comme une personne qui "se sent sur son terrain, surtout quand elle racontait Elle aimait la flatterie, qui même n'avait pas besoin d'être délicatement exprimée pour lui plaire.
Page 120 - ... du corps. Il les questionnait plus souvent, afin d'avoir plus souvent l'occasion d'applaudir leurs réponses. Avant de quitter ces enfants, dont toutes les petites âmes rayonnaient autour de la sienne, il avait l'habitude de leur donner le sujet de la composition du jour. Une pensionnaire allait prendre ce mot d'ordre classique, et l'inscrivait au tableau. Presque toujours le sujet était un...
Page 171 - Bonaparte ! ce nom , quand la main le crayonne Sur le grossier vélin , comme un astre rayonne. Jamais nom de mortel n'eut des destins si beaux. Si la France perdait l'éclat qui la décore , Ce nom étincelant l'embraserait encore , Comme un soleil sur des tombeaux. Ce nom ! le grenadier dans les sables numides L'incrustait en veillant auprès des Pyramides.
Page 118 - M me la comtesse d'Haut» poul, femme d'esprit, rimant de jolis vers, et rêvant encore des » romans en donnant des leçons de littérature ; elle est l'auteur » d'un cours de littérature, à l'usage des jeunes élèves d'Ecouen, » écrit avec la plus parfaite décence et sans que le mot amour y » soit prononcé. L'empereur exigea qu'il n'y fût pas parlé de » César. M. le baron de Pommereuil effaça lui-même les pas
Page 40 - ... préférer l'ignorance à la culture. Les deux pièces de Hugo qu'il analyse ne lui paraissent pas non plus convenir au public. La même année que la Nonne sanglante, en 1835, le 28 avril, le Théâtre Français avait donné Angelo Malipieri. Granier de Cassagnac avait écrit dans la Revue de Paris : « Peu de pièces ont produit sur le public une sensation plus profonde et plus soutenue ». Angelo est le premier drame de Victor Hugo joué au Chili. Représenté le 20 septembre 1841, il fut...