French classics, ed. with Engl. notes, by G. Masson, Volume 11867 |
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... Mort de Pompée ; Le Menteur . 1643 La Suite du Menteur ; Polyeucte inscribed to Anne of Austria . 1644 Rodogune . 1645 Théodore . 1646 Corneille received a member of the Académie Française . 1647 Heraclius ; Thomas Corneille begins to ...
... Mort de Pompée ; Le Menteur . 1643 La Suite du Menteur ; Polyeucte inscribed to Anne of Austria . 1644 Rodogune . 1645 Théodore . 1646 Corneille received a member of the Académie Française . 1647 Heraclius ; Thomas Corneille begins to ...
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... mort . Ses forces diminuèrent toujours de plus en plus , et , la dernière année de sa vie , son esprit se ressentit beaucoup d'avoir tant produit et si longtemps . Il mourut le 1er octobre 1684 . Il était doyen de l'Académie française ...
... mort . Ses forces diminuèrent toujours de plus en plus , et , la dernière année de sa vie , son esprit se ressentit beaucoup d'avoir tant produit et si longtemps . Il mourut le 1er octobre 1684 . Il était doyen de l'Académie française ...
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... mort de mon père a formé la naissance , Enfants impétueux de mon ressentiment , Que ma douleur séduite embrasse aveuglément , Vous prenez sur mon âme un trop puissant empire : Durant quelques moments souffrez que je respire , 5 Et que ...
... mort de mon père a formé la naissance , Enfants impétueux de mon ressentiment , Que ma douleur séduite embrasse aveuglément , Vous prenez sur mon âme un trop puissant empire : Durant quelques moments souffrez que je respire , 5 Et que ...
Page 26
... mort , lui devoir mille morts . Au milieu toutefois d'une fureur si juste , J'aime encor plus Cinna que je ne hais Auguste , Et je sens refroidir ce bouillant mouvement , Quand il faut , pour le suivre , exposer mon amant . Oui , Cinna ...
... mort , lui devoir mille morts . Au milieu toutefois d'une fureur si juste , J'aime encor plus Cinna que je ne hais Auguste , Et je sens refroidir ce bouillant mouvement , Quand il faut , pour le suivre , exposer mon amant . Oui , Cinna ...
Page 29
... mort est visible . Emilie . Ah ! tu sais me frapper par où je suis sensible . Quand je songe aux dangers que je lui fais courir , La crainte de sa mort me fait déjà mourir ; Mon esprit en désordre à soi - même s'oppose ; Je veux et ne ...
... mort est visible . Emilie . Ah ! tu sais me frapper par où je suis sensible . Quand je songe aux dangers que je lui fais courir , La crainte de sa mort me fait déjà mourir ; Mon esprit en désordre à soi - même s'oppose ; Je veux et ne ...
Common terms and phrases
Académie Française ACTE Æmilie aimer amant âme amour ardeur Ariste Armande assez Auguste avecque avez beau beautés Bélise belle César charmes chose Chrysale ciel Cinna Clitandre cœur comédie conjurés Corneille Cotin courroux crime d'Auguste Death dessein dieux digne dire discours donner doux edition Emilie esprit Euphorbe eût Évandre faveur Femmes Savantes fille French Fulvie gens gloire goût haine Henriette homme Horace j'ai J'aime j'en jamais juste l'amour l'esprit laisser Livie Lucan m'en madame Madame de Sévigné main Martine Maxime mérite Molière monsieur Trissotin mort mourir noble Notaire Oliver Cromwell parle pensée père Pertharite Philaminte pièce PIERRE CORNEILLE poëte Polyclète Polyeucte prendre punir qu'Auguste quum Racine raison remords rien Rodogune Romains Rome s'il sais sang satire says seigneur Seneca sentiments seul sœur soin sort souffrir théâtre Thomas Corneille tibi trahir trépas tyran used Vadius Vaugelas venger vertu veut veux vœux vois Voltaire voulez yeux δὲ
Popular passages
Page 84 - Je suis maître de moi comme de l'univers ; Je le suis, je veux l'être. O siècles ! ô mémoire ! Conservez à jamais ma dernière victoire : Je triomphe aujourd'hui du plus juste courroux De qui le souvenir puisse aller jusqu'à vous. Soyons amis, Cinna; c'est moi qui t'en convie...
Page 136 - Je consens qu'une femme ait des clartés de tout : Mais je ne lui veux point la passion choquante De se rendre savante afin d'être savante; Et j'aime que souvent, aux questions qu'on fait, Elle sache ignorer les choses qu'elle sait : De son étude enfin je veux qu'elle se cache, Et qu'elle ait du savoir sans vouloir qu'on le sache, Sans citer les auteurs, sans dire de grands mots, Et clouer de l'esprit à ses moindres propos.
Page 81 - Tous ces crimes d'État qu'on fait pour la couronne, Le ciel nous en absout alors qu'il nous la donne, Et, dans le sacré rang où sa faveur l'a mis, Le passé devient juste et l'avenir permis. Qui peut y parvenir ne peut être coupable; Quoi qu'il ait fait ou fasse, il est inviolable...
Page 76 - Et tu sais que depuis à chaque occasion Je suis tombé pour toi dans la profusion. Toutes les dignités que tu m'as demandées, Je te les ai sur l'heure et sans peine accordées ; Je t'ai préféré même à ceux dont les parents Ont jadis dans mon camp tenu les premiers rangs, A ceux qui de leur sang m'ont acheté l'empire, Et qui m'ont conservé le jour que je respire : De la façon enfin qu'avec toi j'ai vécu, Les vainqueurs sont jaloux du bonheur du vaincu.
Page 41 - N'est pour Rome, seigneur, qu'un bien imaginaire, Plus nuisible qu'utile, et qui n'approche pas De celui qu'un bon prince apporte à ses États.
Page 75 - Prends un siège, Cinna, prends, et sur toute chose Observe exactement la loi que je t'impose : Prête, sans me troubler, l'oreille à mes discours; D'aucun mot, d'aucun cri, n'en interromps le cours; Tiens ta langue captive; et si ce grand silence A ton émotion fait quelque violence, Tu pourras me répondre après tout à loisir : Sur ce point seulement contente mon désir.
Page 76 - Ce sang qui t'avait fait du contraire parti : Autant que tu l'as pu, les effets l'ont suivie. Je ne m'en suis vengé qu'en te donnant la vie...
Page 130 - Quand sur une personne on prétend se régler, C'est par les beaux côtés qu'il lui faut ressembler, Et ce n'est point du tout la prendre pour modèle, Ma sœur, que de tousser et de cracher comme elle.
Page 152 - Quand on se fait entendre, on parle toujours bien, Et tous vos biaux dictons ne servent pas de rien.
Page 32 - Toutes ces cruautés, La perte de nos biens et de nos libertés, Le ravage des champs, le pillage des villes, Et les proscriptions, et les guerres civiles, Sont les degrés sanglants dont Auguste a fait choix Pour monter sur le trône et nous donner des lois.