Théatre de P. Corneille: avec des commentaires, et autres morceaux intéressans, Volume 1Cramer, 1774 - French literature |
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... devait faire plus d'effet fur les peuples qui mettaient le foleil au rang des dieux , que fur , nous qui n'admettons pas cette mythologie . 1 ) S'il ceffe de m'aimer , qu'il commense N'en as - tu rien apris ? N'as - tu 26 MÉDÉ E ,
... devait faire plus d'effet fur les peuples qui mettaient le foleil au rang des dieux , que fur , nous qui n'admettons pas cette mythologie . 1 ) S'il ceffe de m'aimer , qu'il commense N'en as - tu rien apris ? N'as - tu 26 MÉDÉ E ,
Page 42
... devait un fceptre au fang dont vous naiffez , Et fans lui vos vertus le méritaient affez . L'amour qui n'a pû voir une telle injustice , Suplée à fon défaut , ou punit fa malice , Et vous donne au plus fort de vos adverfités Le fceptre ...
... devait un fceptre au fang dont vous naiffez , Et fans lui vos vertus le méritaient affez . L'amour qui n'a pû voir une telle injustice , Suplée à fon défaut , ou punit fa malice , Et vous donne au plus fort de vos adverfités Le fceptre ...
Page 50
... devait dire aux Ménendres , aux Aristophanes , aux Plautes . Surmontez la difficulté ; inftrui- fez - nous du fait fans avoir l'air de nous inftruire : amencz fur le théatre des per- fonnages néceffaires , qui ayent des rai- fons de fe ...
... devait dire aux Ménendres , aux Aristophanes , aux Plautes . Surmontez la difficulté ; inftrui- fez - nous du fait fans avoir l'air de nous inftruire : amencz fur le théatre des per- fonnages néceffaires , qui ayent des rai- fons de fe ...
Page 110
... devait être l'agreffeur , elle m'a commandé de lui ,, remontrer le tort qu'il fe faifait , & de lui défendre de fa ,, part de ne plus faire de réponse , s'il ne voulait lui déplaire ; mais d'ailleurs , craignant que des tacites menaces ...
... devait être l'agreffeur , elle m'a commandé de lui ,, remontrer le tort qu'il fe faifait , & de lui défendre de fa ,, part de ne plus faire de réponse , s'il ne voulait lui déplaire ; mais d'ailleurs , craignant que des tacites menaces ...
Page 130
... devait retran- cher ; c'étaient les fautes dans le détail - qu'il eût falu corriger . g ) Propofer l'affaire eft encor du ftile comique ; mais obfervons que le Cid fut donné d'abord fous le titre de tragi- comédie . b ) Ces ...
... devait retran- cher ; c'étaient les fautes dans le détail - qu'il eût falu corriger . g ) Propofer l'affaire eft encor du ftile comique ; mais obfervons que le Cid fut donné d'abord fous le titre de tragi- comédie . b ) Ces ...
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Common terms and phrases
affez affure ainfi amant amour auffi Augufte beautés Brutus c'eft c'eſt Caffius CASCA CASSIUS caufe Céfar ceffe Chimène chofe Cinna CLÉONE cœur combat comte confeil conferver confidérer Corneille couroux Créon Créüfe crime deffein deftin déja dieux difcours efprit Elvire Emilie enfans eſt EUPHORBE eût faibleffe faifait falait dire fang fans favoir fcène fecond fecret feigneur femble fens fentiment ferait fert fervir feul foient foit fon père font fouffrir fouhaite fous fouvent fuccès fuis fuivante fuivre fujet fuplice fur le théatre gloire grace hymen j'ai Jafon JASON jufte l'amour l'efprit L'INFANTE l'obfervateur laiffe loix main maîtreffe Maxime MÉ DÉ Médée monfieur mort mourir n'eft n'eſt néceffaire obfervations paffe paffion parler penfer perfonnage perfonne piéce plaifir plufieurs poëme poëte préfent prefque puiffe puifque punir qu'un raifon refte remors rien Rodrigue Rome s'eft Sanche SCENE Scudéri Sénèque tems toûjours tragédie trépas vengeance venger veux
Popular passages
Page 380 - Du succès qu'on obtient contre la tyrannie Dépend ou notre gloire ou notre ignominie; Et le peuple, inégal à l'endroit des tyrans...
Page 474 - Apprends sur mon exemple à vaincre ta colère : Te rendant un époux, je te rends plus qu'un père. EMILIE Et je me rends, seigneur, à ces hautes bontés; Je recouvre la vue auprès de leurs clartés...
Page 461 - Et ce sont, malgré lui, les tiens que j'ai suivis. Bien plus , ce même jour, je te donne Emilie Le digne objet des vœux de toute l'Italie, Et qu'ont mise si haut mon amour et mes soins, Qu'en te couronnant roi je t'aurais donné moins.
Page 462 - Pendant le sacrifice, et ta main pour signal Me doit au lieu d'encens, donner le coup fatal; La moitié de tes gens doit occuper la porte, L'autre moitié te suivre et te prêter main-forte.
Page 468 - Tous ces crimes d'État qu'on fait pour la couronne. Le ciel nous en absout alors qu'il nous la donne, Et dans le sacré rang où sa faveur l'a mis Le passé devient juste et l'avenir permis.
Page 203 - Avant qu'aucun résiste ou reprenne son rang. Mais bientôt, malgré nous, leurs princes les rallient; Leur courage renaît et leurs terreurs s'oublient : La honte de mourir sans avoir combattu Arrête leur désordre et leur rend leur vertu. Contre nous...
Page 352 - Je sais ce que je vaux, et crois ce qu'on m'en dit. Pour me faire admirer je ne fais point de ligue : J'ai peu de voix pour moi, mais je les ai sans brigue ; Et mon ambition pour faire plus de bruit, Ne les va point quêter de réduit en réduit : Mon travail sans appui monte sur le théâtre ; Chacun en liberté l'y blâme ou l'idolâtre. Là, sans que mes amis prêchent leurs sentiments, J'arrache quelquefois trop d'applaudissements...
Page 474 - Commençons un combat qui montre par l'issue Qui l'aura mieux de nous ou donnée ou reçue. Tu trahis mes bienfaits, je les veux redoubler; Je t'en avais comblé , je t'en veux accabler : Avec cette beauté que je t'avais donnée, Reçois le consulat pour la prochaine année. Aime Cinna, ma fille, en cet illustre rang; Préfère-s-en...
Page 227 - S'il ne m'avoit aimée , il ne serait pas mort. CH i M È N E. Relève-toi , Rodrigue. II faut l'avouer, sire , Mon amour a paru , je ne m'en puis dédire. •Rodrigue a des vertus que je ne puis haïr ; Et vous êtes mon roi, je vous dois obéir. Mais, à quoi que déjà vous m'ayez condamnée.
Page 203 - Et quelque peu des leurs, tous percés de nos coups, Disputent vaillamment et vendent bien leur vie. A se rendre moi-même en vain je les convie: Le cimeterre au poing ils ne m'écoutent pas; Mais voyant à leurs pieds tomber tous leurs soldats, Et que seuls désormais en vain ils se défendent, Ils demandent le chef: je me nomme, ils se rendent.