The Oxford Book of French Verse: XIIIth--XIXth Century |
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Page 20
... est vive la souris . ENVOI Nul ne porte pour moy le noir , On vent meillieur marché drap gris ; Or , tiengne chascun , pour tout voir , Qu'encore est vive la souris . M 22 iii PRIEZ pour paix , douce Vierge Marie , 20 CHARLES D'ORLEANS.
... est vive la souris . ENVOI Nul ne porte pour moy le noir , On vent meillieur marché drap gris ; Or , tiengne chascun , pour tout voir , Qu'encore est vive la souris . M 22 iii PRIEZ pour paix , douce Vierge Marie , 20 CHARLES D'ORLEANS.
Page 23
... vent , de froidure et de pluye , Et s'est vestu de brouderie , De soleil luyant , cler et beau . Il n'y a beste , ne oyseau , Qu'en son jargon ne chant ou crie : Le temps a laissié son manteau De vent , de froidure et de pluye . 25 ...
... vent , de froidure et de pluye , Et s'est vestu de brouderie , De soleil luyant , cler et beau . Il n'y a beste , ne oyseau , Qu'en son jargon ne chant ou crie : Le temps a laissié son manteau De vent , de froidure et de pluye . 25 ...
Page 29
... et bourrelez , Mort saisit sans exception . Et meure Paris et Helaine , Quiconques meurt , meurt à douleur Telle qu'il pert vent et alaine ; Son fiel se creve sur son cuer , • 32 Puis sue , Dieu scet quelle sueur ! Et 29 FRANÇOIS VILLON.
... et bourrelez , Mort saisit sans exception . Et meure Paris et Helaine , Quiconques meurt , meurt à douleur Telle qu'il pert vent et alaine ; Son fiel se creve sur son cuer , • 32 Puis sue , Dieu scet quelle sueur ! Et 29 FRANÇOIS VILLON.
Page 38
... sourcilz . Jamais , nul temps , nous ne sommes assis ; Puis çà , puis là , comme le vent varie , A son plaisir sans cesser nous charie , rant TEM Et ancre , Plus becquetez d'oiseaulx que dez à couldre . Ne soiez 38 FRANÇOIS VILLON.
... sourcilz . Jamais , nul temps , nous ne sommes assis ; Puis çà , puis là , comme le vent varie , A son plaisir sans cesser nous charie , rant TEM Et ancre , Plus becquetez d'oiseaulx que dez à couldre . Ne soiez 38 FRANÇOIS VILLON.
Page 52
... vents leur cime est toute pleine . Mille troupeaux s'y promènent et paissent ; Autant d'amours se couvent et ... Vent de ine les eps sa terr TOUS SOL Tos beaut de te PIERRE DE RONSARD 24 55 ' A I Sonnets i ps s'e tem seron 1524 ...
... vents leur cime est toute pleine . Mille troupeaux s'y promènent et paissent ; Autant d'amours se couvent et ... Vent de ine les eps sa terr TOUS SOL Tos beaut de te PIERRE DE RONSARD 24 55 ' A I Sonnets i ps s'e tem seron 1524 ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 454 - Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Page xvi - She dwells with Beauty — Beauty that must die; And Joy, whose hand is ever at his lips Bidding adieu...
Page 129 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs ; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Page 456 - Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit Chante sa plainte.
Page 171 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 127 - La Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles. On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois. De murmurer contre elle et perdre patience, II est mal à propos; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 257 - O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir...
Page 206 - Rendez-moi l'âge des amours; &.U crépuscule de mes jours Rejoignez, s'il se peut, l'aurore. /Des beaux lieux où le dieu du vin Avec l'Amour tient son empire, Le Temps, qui me prend par la main, M'avertit que je me retire. "De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage. Qui n'a pas l'esprit de son âge De son âge a tout le malheur.
Page 248 - LES SOUVENIRS DU PEUPLE On parlera de sa gloire Sous le chaume bien longtemps. L'humble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d'autre histoire. Là viendront les villageois Dire alors à quelque vieille : Par des récits d'autrefois. Mère, abrégez notre veille. Bien, dit-on, qu'il nous ait nui, Le peuple encor le révère, Oui, le révère ; Parlez-nous de lui, grand'mère. Parlez-nous de lui.
Page 346 - Seigneur ! a quitté ma couche pour la vôtre ; Et nous sommes encor tout mêlés l'un à l'autre, Elle à demi vivante et moi mort à demi. < Une race naîtrait de moi ! Comment le croire ? Comment se pourrait-il que j'eusse des enfants ? Quand on est jeune, on a des matins triomphants, Le jour sort de la nuit comme d'une victoire ; « Mais, vieux, on tremble ainsi qu'à l'hiver le bouleau. Je suis veuf, je suis seul, et sur moi le soir tombe, Et je courbe, ô mon Dieu ! mon âme vers la tombe,...