The Oxford Book of French Verse: XIIIth--XIXth Century |
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Page xvi
... rose has all the freshness and fragrance of a summer day at dawn ; it is impossible to contemplate it with intelligent interest as specimen of sixteenth - century poetry ; we might as well try to refuse to be thrilled by the coming of ...
... rose has all the freshness and fragrance of a summer day at dawn ; it is impossible to contemplate it with intelligent interest as specimen of sixteenth - century poetry ; we might as well try to refuse to be thrilled by the coming of ...
Page xvii
... rose . In the prolific nature of his genius and his passionate curiosity for new metres and old words Ronsard is a typical son of the Renaissance ; Du Bellay , with his melancholy , his petulance , his wayward gentleness , seems like a ...
... rose . In the prolific nature of his genius and his passionate curiosity for new metres and old words Ronsard is a typical son of the Renaissance ; Du Bellay , with his melancholy , his petulance , his wayward gentleness , seems like a ...
Page xxiii
... rose to icy heights of classic dignity ; the grand style was fixed , and the path was plain for the superb rhetoric of Corneille . The Cid was produced in 1637 . No man of genius was less of an innovator than Cor- neille , except ...
... rose to icy heights of classic dignity ; the grand style was fixed , and the path was plain for the superb rhetoric of Corneille . The Cid was produced in 1637 . No man of genius was less of an innovator than Cor- neille , except ...
Page xxxi
... rose to the occasion with an honourable surrender , the conquerors began to set their house in order , and to define , though not to contract , the bounds of their own domain . There was a recrudescence of that spirit of orderliness ...
... rose to the occasion with an honourable surrender , the conquerors began to set their house in order , and to define , though not to contract , the bounds of their own domain . There was a recrudescence of that spirit of orderliness ...
Page 2
... rose en mai . De cuer gai Chantant la trovai Ceste chansonnete : ' En non Deu , j'ai bel ami , Cointe et joli , Tant soie je brunete . ' Vers la pastoure tornai , Quant la vi en son destour , Hautement la saluai , Et dis ' Deus vos ...
... rose en mai . De cuer gai Chantant la trovai Ceste chansonnete : ' En non Deu , j'ai bel ami , Cointe et joli , Tant soie je brunete . ' Vers la pastoure tornai , Quant la vi en son destour , Hautement la saluai , Et dis ' Deus vos ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 454 - Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Page xvi - She dwells with Beauty — Beauty that must die; And Joy, whose hand is ever at his lips Bidding adieu...
Page 129 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs ; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Page 456 - Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit Chante sa plainte.
Page 171 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 127 - La Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles. On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois. De murmurer contre elle et perdre patience, II est mal à propos; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 257 - O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir...
Page 206 - Rendez-moi l'âge des amours; &.U crépuscule de mes jours Rejoignez, s'il se peut, l'aurore. /Des beaux lieux où le dieu du vin Avec l'Amour tient son empire, Le Temps, qui me prend par la main, M'avertit que je me retire. "De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage. Qui n'a pas l'esprit de son âge De son âge a tout le malheur.
Page 248 - LES SOUVENIRS DU PEUPLE On parlera de sa gloire Sous le chaume bien longtemps. L'humble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d'autre histoire. Là viendront les villageois Dire alors à quelque vieille : Par des récits d'autrefois. Mère, abrégez notre veille. Bien, dit-on, qu'il nous ait nui, Le peuple encor le révère, Oui, le révère ; Parlez-nous de lui, grand'mère. Parlez-nous de lui.
Page 346 - Seigneur ! a quitté ma couche pour la vôtre ; Et nous sommes encor tout mêlés l'un à l'autre, Elle à demi vivante et moi mort à demi. < Une race naîtrait de moi ! Comment le croire ? Comment se pourrait-il que j'eusse des enfants ? Quand on est jeune, on a des matins triomphants, Le jour sort de la nuit comme d'une victoire ; « Mais, vieux, on tremble ainsi qu'à l'hiver le bouleau. Je suis veuf, je suis seul, et sur moi le soir tombe, Et je courbe, ô mon Dieu ! mon âme vers la tombe,...