The Oxford Book of French Verse: XIIIth--XIXth Century |
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Page xiii
... natural sights and sounds , and the ever - haunting conscious- ness of the brevity of life and earthly love . In Ronsard , however , the love of learning for its own sake soon changed into a desire to use all his knowledge in glorifying ...
... natural sights and sounds , and the ever - haunting conscious- ness of the brevity of life and earthly love . In Ronsard , however , the love of learning for its own sake soon changed into a desire to use all his knowledge in glorifying ...
Page xvii
... nature of his genius and his passionate curiosity for new metres and old words Ronsard is a typical son of the Renaissance ; Du Bellay , with his melancholy , his petulance , his wayward gentleness , seems like a poet of our own time ...
... nature of his genius and his passionate curiosity for new metres and old words Ronsard is a typical son of the Renaissance ; Du Bellay , with his melancholy , his petulance , his wayward gentleness , seems like a poet of our own time ...
Page xix
... their limits , are usually those who are designed by nature to be pedants and not poets . To Ronsard and the Pléiade , besides a high dignity of style and a lyric sweetness never before approached , we b 2 xix INTRODUCTION.
... their limits , are usually those who are designed by nature to be pedants and not poets . To Ronsard and the Pléiade , besides a high dignity of style and a lyric sweetness never before approached , we b 2 xix INTRODUCTION.
Page xxiii
... nature . The Stances de Don Rodrigue are immortal speci- mens of eloquence ; but as examples of what a man should say when confronted with hideous dilemma they are less satisfactory . Rodrigue , in fact , is a Superman , though he would ...
... nature . The Stances de Don Rodrigue are immortal speci- mens of eloquence ; but as examples of what a man should say when confronted with hideous dilemma they are less satisfactory . Rodrigue , in fact , is a Superman , though he would ...
Page xxiv
... nature and nature only ; but this advice implies no liberty , it is qualified by restrictions which result in the study of nature becoming the study of certain moral types . No one can help admiring the good sense and powerful , if ...
... nature and nature only ; but this advice implies no liberty , it is qualified by restrictions which result in the study of nature becoming the study of certain moral types . No one can help admiring the good sense and powerful , if ...
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Common terms and phrases
Adieu aime âme amour André Chénier Ballade beau beauté belle blanche bois Born bras bruit century ceste chansons chante charmant cher chose ciel cieux Clément Marot cœur cueur deuil Dieu dieux divine dormir douce douleur doux enfant estre Euvres first flamme fleurs flots François Ier François Villon French front gloire grant great Guillaume de Machault Hélas j'ai j'ay jamais Jean Passerat jeune jour joyeux l'âme l'amour l'ombre laisse lauriers sont coupés Louise Labé lyre lyric main Malherbe mère monde mort mourir murmure muse noir nuit oiseaux ombre pâle passé pauvre pensée père pieds plaine pleurs poems poet poetry Pontus de Tyard Priez qu'un regard rêve rien Roger Bontemps Ronsard roses saint sais sanglots seul soir soleil sombre sommeil Sonnet souffrir soupirs soussi terre Téthys thym tombe tousjours tremble triste vallon vent verse Vierge Marie vieux vois voix vols Voulzie work wrote yeux
Popular passages
Page 454 - Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Page xvi - She dwells with Beauty — Beauty that must die; And Joy, whose hand is ever at his lips Bidding adieu...
Page 129 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs ; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Page 456 - Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit Chante sa plainte.
Page 171 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 127 - La Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles. On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois. De murmurer contre elle et perdre patience, II est mal à propos; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 257 - O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir...
Page 206 - Rendez-moi l'âge des amours; &.U crépuscule de mes jours Rejoignez, s'il se peut, l'aurore. /Des beaux lieux où le dieu du vin Avec l'Amour tient son empire, Le Temps, qui me prend par la main, M'avertit que je me retire. "De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage. Qui n'a pas l'esprit de son âge De son âge a tout le malheur.
Page 248 - LES SOUVENIRS DU PEUPLE On parlera de sa gloire Sous le chaume bien longtemps. L'humble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d'autre histoire. Là viendront les villageois Dire alors à quelque vieille : Par des récits d'autrefois. Mère, abrégez notre veille. Bien, dit-on, qu'il nous ait nui, Le peuple encor le révère, Oui, le révère ; Parlez-nous de lui, grand'mère. Parlez-nous de lui.
Page 346 - Seigneur ! a quitté ma couche pour la vôtre ; Et nous sommes encor tout mêlés l'un à l'autre, Elle à demi vivante et moi mort à demi. < Une race naîtrait de moi ! Comment le croire ? Comment se pourrait-il que j'eusse des enfants ? Quand on est jeune, on a des matins triomphants, Le jour sort de la nuit comme d'une victoire ; « Mais, vieux, on tremble ainsi qu'à l'hiver le bouleau. Je suis veuf, je suis seul, et sur moi le soir tombe, Et je courbe, ô mon Dieu ! mon âme vers la tombe,...