The Oxford Book of French Verse: XIIIth--XIXth Century |
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Page 8
... mort a sa fin ne le chace , Et , se viel est , qu'il ne soit diffamé : Viellesce est fin et jeunesce est en grace . La flour en may et son odour delecte Aux odorans , non pas jour et demi ; En un moment vient li vens qui la guette ...
... mort a sa fin ne le chace , Et , se viel est , qu'il ne soit diffamé : Viellesce est fin et jeunesce est en grace . La flour en may et son odour delecte Aux odorans , non pas jour et demi ; En un moment vient li vens qui la guette ...
Page 9
... mort de Bertrand du Guesclin ) ESTOC d'oneur et arbres de vaillance , Cuer de lyon esprins de hardement , La flour des preux et la gloire de France , Victorieux et hardi combatant , Saige en vos fais et bien entreprenant , Souverain ...
... mort de Bertrand du Guesclin ) ESTOC d'oneur et arbres de vaillance , Cuer de lyon esprins de hardement , La flour des preux et la gloire de France , Victorieux et hardi combatant , Saige en vos fais et bien entreprenant , Souverain ...
Page 20
... mort ; Dont avoient peu de desplaisance Aucuns qui me hayent à tort . Autres en ont eu desconfort , Qui m'ayment de loyal vouloir , Comme mes bons et vrais amis . Si fais à toutes gens sçavoir Qu'encore est vive la souris . Je n'ay éu ...
... mort ; Dont avoient peu de desplaisance Aucuns qui me hayent à tort . Autres en ont eu desconfort , Qui m'ayment de loyal vouloir , Comme mes bons et vrais amis . Si fais à toutes gens sçavoir Qu'encore est vive la souris . Je n'ay éu ...
Page 22
... Mort qui t'a fait si hardie De prendre la noble Princesse Qui estoit mon confort , ma vie , Mon bien , mon plaisir , ma richesse ! Puis que tu as prins ma maistresse , Prens moy aussi son serviteur , Car j'ayme mieulx prouchainement ...
... Mort qui t'a fait si hardie De prendre la noble Princesse Qui estoit mon confort , ma vie , Mon bien , mon plaisir , ma richesse ! Puis que tu as prins ma maistresse , Prens moy aussi son serviteur , Car j'ayme mieulx prouchainement ...
Page 28
... mort et destains ; Menton froncé , levres peaussues : ' C'est d'umaine beaulté l'yssue ! Les bras cours et les mains contraites , Les espaulles toutes bossues ; Mamelles , quoy ! toutes retraites ; Telles les hanches que les tetes . Du ...
... mort et destains ; Menton froncé , levres peaussues : ' C'est d'umaine beaulté l'yssue ! Les bras cours et les mains contraites , Les espaulles toutes bossues ; Mamelles , quoy ! toutes retraites ; Telles les hanches que les tetes . Du ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 454 - Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Page xvi - She dwells with Beauty — Beauty that must die; And Joy, whose hand is ever at his lips Bidding adieu...
Page 129 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs ; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Page 456 - Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit Chante sa plainte.
Page 171 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 127 - La Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles. On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois. De murmurer contre elle et perdre patience, II est mal à propos; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 257 - O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir...
Page 206 - Rendez-moi l'âge des amours; &.U crépuscule de mes jours Rejoignez, s'il se peut, l'aurore. /Des beaux lieux où le dieu du vin Avec l'Amour tient son empire, Le Temps, qui me prend par la main, M'avertit que je me retire. "De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage. Qui n'a pas l'esprit de son âge De son âge a tout le malheur.
Page 248 - LES SOUVENIRS DU PEUPLE On parlera de sa gloire Sous le chaume bien longtemps. L'humble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d'autre histoire. Là viendront les villageois Dire alors à quelque vieille : Par des récits d'autrefois. Mère, abrégez notre veille. Bien, dit-on, qu'il nous ait nui, Le peuple encor le révère, Oui, le révère ; Parlez-nous de lui, grand'mère. Parlez-nous de lui.
Page 346 - Seigneur ! a quitté ma couche pour la vôtre ; Et nous sommes encor tout mêlés l'un à l'autre, Elle à demi vivante et moi mort à demi. < Une race naîtrait de moi ! Comment le croire ? Comment se pourrait-il que j'eusse des enfants ? Quand on est jeune, on a des matins triomphants, Le jour sort de la nuit comme d'une victoire ; « Mais, vieux, on tremble ainsi qu'à l'hiver le bouleau. Je suis veuf, je suis seul, et sur moi le soir tombe, Et je courbe, ô mon Dieu ! mon âme vers la tombe,...