The Oxford Book of French Verse: XIIIth--XIXth Century |
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... cieux et du monde maistresse , Faites prier , par vostre courtoisie , Saints et saintes , et prenez vostre adresse Vers vostre fils , requérant sa hautesse Qu'il lui plaise son peuple regarder Que de son sang a voulu racheter , En ...
... cieux et du monde maistresse , Faites prier , par vostre courtoisie , Saints et saintes , et prenez vostre adresse Vers vostre fils , requérant sa hautesse Qu'il lui plaise son peuple regarder Que de son sang a voulu racheter , En ...
Page 53
... cieux . ' Ainsi disoit la Nymphe qui m'affolle , Lorsque le ciel , tesmoin de sa parolle , D'un dextre éclair fut presage à mes yeux . so 23 I JE ii E vous envoie un bouquet que ma main Vient de trier de ces fleurs epanies : Qui ne les ...
... cieux . ' Ainsi disoit la Nymphe qui m'affolle , Lorsque le ciel , tesmoin de sa parolle , D'un dextre éclair fut presage à mes yeux . so 23 I JE ii E vous envoie un bouquet que ma main Vient de trier de ces fleurs epanies : Qui ne les ...
Page 72
... cieux : Et garder que le peuple imprime en sa cervelle Le curieux discours d'une secte nouvelle . Apres il faut apprendre à bien imaginer , Autrement la raison ne pourroit gouverner : Car tout le mal qui vient à l'homme prend naissance ...
... cieux : Et garder que le peuple imprime en sa cervelle Le curieux discours d'une secte nouvelle . Apres il faut apprendre à bien imaginer , Autrement la raison ne pourroit gouverner : Car tout le mal qui vient à l'homme prend naissance ...
Page 89
... cieux De voz tumbeaux le tour devotieux , A haulte voix trois fois je vous appelle : J'invoque icy vostre antique fureur , En ce pendant que d'une saincte horreur Je vays chantant vostre gloire plus belle . 90 ii LE Babylonien ses ...
... cieux De voz tumbeaux le tour devotieux , A haulte voix trois fois je vous appelle : J'invoque icy vostre antique fureur , En ce pendant que d'une saincte horreur Je vays chantant vostre gloire plus belle . 90 ii LE Babylonien ses ...
Page 91
... permis l'ordonnance fatale , Q'autre pouvoir humain , tant fust audacieux , Se vantast d'égaler celle qui fit égale Sa puissance à la terre , et son courage aux cieux . 95 vii TELZ que lon vid jadis les enfans de 91 JOACHIM DU BELLAY.
... permis l'ordonnance fatale , Q'autre pouvoir humain , tant fust audacieux , Se vantast d'égaler celle qui fit égale Sa puissance à la terre , et son courage aux cieux . 95 vii TELZ que lon vid jadis les enfans de 91 JOACHIM DU BELLAY.
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 454 - Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Page xvi - She dwells with Beauty — Beauty that must die; And Joy, whose hand is ever at his lips Bidding adieu...
Page 129 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs ; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Page 456 - Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit Chante sa plainte.
Page 171 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 127 - La Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles. On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois. De murmurer contre elle et perdre patience, II est mal à propos; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 257 - O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir...
Page 206 - Rendez-moi l'âge des amours; &.U crépuscule de mes jours Rejoignez, s'il se peut, l'aurore. /Des beaux lieux où le dieu du vin Avec l'Amour tient son empire, Le Temps, qui me prend par la main, M'avertit que je me retire. "De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage. Qui n'a pas l'esprit de son âge De son âge a tout le malheur.
Page 248 - LES SOUVENIRS DU PEUPLE On parlera de sa gloire Sous le chaume bien longtemps. L'humble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d'autre histoire. Là viendront les villageois Dire alors à quelque vieille : Par des récits d'autrefois. Mère, abrégez notre veille. Bien, dit-on, qu'il nous ait nui, Le peuple encor le révère, Oui, le révère ; Parlez-nous de lui, grand'mère. Parlez-nous de lui.
Page 346 - Seigneur ! a quitté ma couche pour la vôtre ; Et nous sommes encor tout mêlés l'un à l'autre, Elle à demi vivante et moi mort à demi. < Une race naîtrait de moi ! Comment le croire ? Comment se pourrait-il que j'eusse des enfants ? Quand on est jeune, on a des matins triomphants, Le jour sort de la nuit comme d'une victoire ; « Mais, vieux, on tremble ainsi qu'à l'hiver le bouleau. Je suis veuf, je suis seul, et sur moi le soir tombe, Et je courbe, ô mon Dieu ! mon âme vers la tombe,...