The Oxford Book of French Verse: XIIIth--XIXth Century |
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Page xvi
... the poets of the Renaissance , and lend to French poetry a new note of wistfulness . Si périssable est toute chose née , Que songes - tu , mon âme emprisonnée ? W Ronsard finds no answer to that question ; if he xvi INTRODUCTION.
... the poets of the Renaissance , and lend to French poetry a new note of wistfulness . Si périssable est toute chose née , Que songes - tu , mon âme emprisonnée ? W Ronsard finds no answer to that question ; if he xvi INTRODUCTION.
Page 107
... âme Tant de traicts amoureux , tant de larmes aux yeux , Que je seray le fleuve , et la barque et la rame . LOUISE ... ame amoureuse Ne doit avoir de bien en verité , Faites au moins qu'elle en ait en mensonge . 111 ii TANT que mes yeus ...
... âme Tant de traicts amoureux , tant de larmes aux yeux , Que je seray le fleuve , et la barque et la rame . LOUISE ... ame amoureuse Ne doit avoir de bien en verité , Faites au moins qu'elle en ait en mensonge . 111 ii TANT que mes yeus ...
Page 125
... âme du corps , L'âge s'évanouit au deçà de la barque , Et ne suit point les morts . Tithon n'a plus les ans qui le firent cigale ; Et Pluton aujourd'hui , Sans égard du passé , les mérites égale D'Archémore et de lui . Ne te lasse donc ...
... âme du corps , L'âge s'évanouit au deçà de la barque , Et ne suit point les morts . Tithon n'a plus les ans qui le firent cigale ; Et Pluton aujourd'hui , Sans égard du passé , les mérites égale D'Archémore et de lui . Ne te lasse donc ...
Page 128
... âme , aux promesses du monde ; Sa lumière est un verre , et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer . Quittons ces vanités , lassons - nous de les suivre ; C'est Dieu qui nous fait vivre , C'est Dieu qu'il faut ...
... âme , aux promesses du monde ; Sa lumière est un verre , et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer . Quittons ces vanités , lassons - nous de les suivre ; C'est Dieu qui nous fait vivre , C'est Dieu qu'il faut ...
Page 129
... âme étant sans guérison , Le vœu de la vengeance est un vœu légitime , Fais que de ton appui je sois fortifié ; Ta justice t'en prie , et les auteurs du crime Sont fils de ces bourreaux qui t'ont crucifié . 129 MATHURIN REGNIER Stances ...
... âme étant sans guérison , Le vœu de la vengeance est un vœu légitime , Fais que de ton appui je sois fortifié ; Ta justice t'en prie , et les auteurs du crime Sont fils de ces bourreaux qui t'ont crucifié . 129 MATHURIN REGNIER Stances ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 454 - Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Page xvi - She dwells with Beauty — Beauty that must die; And Joy, whose hand is ever at his lips Bidding adieu...
Page 129 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs ; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Page 456 - Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit Chante sa plainte.
Page 171 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 127 - La Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles. On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois. De murmurer contre elle et perdre patience, II est mal à propos; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 257 - O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir...
Page 206 - Rendez-moi l'âge des amours; &.U crépuscule de mes jours Rejoignez, s'il se peut, l'aurore. /Des beaux lieux où le dieu du vin Avec l'Amour tient son empire, Le Temps, qui me prend par la main, M'avertit que je me retire. "De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage. Qui n'a pas l'esprit de son âge De son âge a tout le malheur.
Page 248 - LES SOUVENIRS DU PEUPLE On parlera de sa gloire Sous le chaume bien longtemps. L'humble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d'autre histoire. Là viendront les villageois Dire alors à quelque vieille : Par des récits d'autrefois. Mère, abrégez notre veille. Bien, dit-on, qu'il nous ait nui, Le peuple encor le révère, Oui, le révère ; Parlez-nous de lui, grand'mère. Parlez-nous de lui.
Page 346 - Seigneur ! a quitté ma couche pour la vôtre ; Et nous sommes encor tout mêlés l'un à l'autre, Elle à demi vivante et moi mort à demi. < Une race naîtrait de moi ! Comment le croire ? Comment se pourrait-il que j'eusse des enfants ? Quand on est jeune, on a des matins triomphants, Le jour sort de la nuit comme d'une victoire ; « Mais, vieux, on tremble ainsi qu'à l'hiver le bouleau. Je suis veuf, je suis seul, et sur moi le soir tombe, Et je courbe, ô mon Dieu ! mon âme vers la tombe,...