Bibliothèque académique; ou, Choix fait par une Société de Gens-de-Lettres, Volume 7

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Popular passages

Page 168 - Article 44. - Déclarons les esclaves être meubles et comme tels entrer en la communauté, n'avoir point de suite par hypothèque, se partager également entre les cohéritiers sans préciput ni droit d'aînesse...
Page 153 - J'aime mon maître, ma femme et mes enfans, je ne sortirai point pour être libre ; 6 alors son maître le fera venir devant les juges, et le fera approcher de la porte ou du poteau, et son maître lui percera l'oreille avec une alêne, et il le servira à toujours.
Page 168 - N'entendons, toutefois, priver nos sujets de la faculté de les stipuler propres à leurs personnes, et aux leurs de leur côté et ligne ainsi qu'il se pratique pour les sommes de deniers et autres mobilières.
Page 286 - la nature, mère des choses, maîtresse des élémens, «le commencement des siècles, la souveraine des « dieux, la reine des mânes, la première des natures « célestes, la face uniforme des dieux et des déesses ; « c'est moi qui gouverne la sublimité lumineuse des «cieux, les vents salutaires des mers, le silence « lugubre des enfers: ma divinité unique est honorée (i) Gruter, page 83.
Page 157 - Voulons que si le mari esclave a épousé une femme libre les enfante tant mâles que filles, suivent la condition de leur mère et soient libres comme elle nonobstant la servitude de leur père, et que si le père est libre et la...
Page 169 - Ne pourront être saisis et vendus séparément le mari et la femme et leurs enfants impubères, s'ils sont tous sous la puissance du même maître...
Page 146 - Sichern dit aussi au père et aux frères de la fille : Que je trouve grâce devant vous, et je donnerai tout ce que vous me direz. 12 Demandez-moi telle dot et tel présent que vous voudrez, et je les donnerai comme vous me direz ; et donnez-moi la jeune fille pour femme.
Page 157 - Voulons, si le mari esclave a épousé une femme libre, que les enfans, tant mâles que filles, suivent la condition de leur mere, et soient libres comme elle, nonobstant la servitude de leur pere; et que si le pere est libre et la mere esclave, les enfans soient esclaves pareillement.
Page 256 - Le plus authentique de tous les vœux des chevaliers, était celui que l'on appelait le vœu du paon ou du faisan. Ces nobles oiseaux, car on les qualifiait ainsi, représentaient parfaitement, par l'éclat et la variété de leurs couleurs, la majesté des rois et les superbes habillemens dont ces. monarques étaient parés pour tenir ce que l'on nommait tint!
Page 129 - Adonias, afin qu'il l'épouse. 22 Le roi Salomon répondit à sa mère, et lui dit : Pourquoi demandez-vous Abisag de Sunam pour Adonias? Demandez donc aussi pour lui le royaume : car il est mon frère aîné; et il a déjà pour lui Abiathar.

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