Les doctrines romaines sur le libéralisme: envisagées dans leurs rapports avec le dogme chrétien et avec les besoins des sociétés modernes |
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absolue âmes apostasie autorité bonheur catholicisme catholiques libéraux césarisme choses chrétienne Christ christianisme ciétés civilisation complète concile conditions conséquent contraire Contrat social défendre Déisme Démocratie en Amérique démontrer despotisme devoir dignité divine DOCTRINES ROMAINES dogme Église enseignements essen essentielle éternels évidemment Fils de Dieu force garantie glise gouvernement hommes individus inévitable intel intelligences intérêts irrésistible Jésus jour l'anarchie l'égard l'Église l'erreur l'homme l'Homme-Dieu l'humanité l'ordre spirituel libertés modernes lois lumière matériel ment monde morale moyen n'y a qu'un nature nécessaire nécessité pable pacte panthéisme peuples Pie IX politique pouvoir civil prérogatives principe progrès puissance question raison religieuse religion renversé repousser Révolution rien rois royauté de Jésus-Christ royauté sociale saint saurait Sauveur serait servitude seul siècles sociale de Jésus-Christ société civile société humaine société spirituelle société temporelle sociétés démocratiques sociétés mo sociétés modernes sophisme souverain souveraineté tendances terre théorie tion Tocqueville torité toyens trières tyrannie vérité volonté vrai
Popular passages
Page 216 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 222 - ... la puissance souveraine n'a nul besoin de garant envers les sujets, parce qu'il est impossible que le corps veuille nuire à tous ses membres, et nous verrons ci-après qu'il ne peut nuire à aucun en particulier. Le souverain, par cela seul qu'il est , est toujours tout ce qu'il doit être.
Page 262 - Le christianisme est une religion toute spirituelle, occupée uniquement des choses du ciel : la patrie du chrétien n'est pas de ce monde. Il fait son devoir, il est vrai; mais il le fait avec une profonde indifférence sur le bon ou mauvais succès de ses soins. Pourvu qu'il n'ait rien à se reprocher, peu lui importe que tout aille bien ou mal ici-bas. Si...
Page 37 - Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
Page 200 - Veggio in Alagna entrar lo fiordaliso , E nel Vicario suo Cristo esser catto. Veggiolo un' altra volta esser deriso : Veggio rinnovellar l'aceto e '1 fele , E tra vivi ladroni essere anciso.
Page 14 - ... que la société humaine soit constituée et gouvernée sans plus tenir compte de la religion que si elle n'existait pas, ou du moins sans faire aucune différence entre la vraie religion et les fausses.
Page 221 - On convient que tout ce que chacun aliène, par le pacte social, de sa puissance, de ses biens, de sa liberté, c'est seulement la partie de tout cela dont l'usage importe à la communauté ; mais il faut convenir aussi que le souverain seul est juge de cette importance.
Page 265 - Le christianisme ne prêche que servitude et dépendance. Son esprit est trop favorable à la tyrannie pour qu'elle n'en profite pas toujours. Les vrais chrétiens sont faits pour être esclî ves, ils le savent et ne s'en émeuvent guère; cette courte vie a trop peu de prix à leurs yeux.
Page 181 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même et reste aussi libre .qu'auparavant.
Page 222 - Or , le souverain , n'étant formé que des particuliers qui le composent, n'a ni ne peut avoir d'intérêt contraire au leur; par conséquent la puissance souveraine n'a nul besoin de garant envers les sujets...