Nouveaux essais de critique et d'histoire |
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... devant leur esprit . Ils subissent l'ascendant invincible du Dieu qui leur parle . Ils montrent aux hommes le ciel où ils ont été ravis . Ils répètent les paroles divines qu'ils ont entendues , et de cette vision primitive , pu- bliée ...
... devant leur esprit . Ils subissent l'ascendant invincible du Dieu qui leur parle . Ils montrent aux hommes le ciel où ils ont été ravis . Ils répètent les paroles divines qu'ils ont entendues , et de cette vision primitive , pu- bliée ...
Page 26
... Puisque Dieu est juste et qu'il approprie les conditions aux fautes , mesurons l'énormité du crime à l'énormité du châtiment , et con- cluons que nous avons devant nous l'auteur d'une trahison noire 26 PHILOSOPHIE RELIGIEUSE.
... Puisque Dieu est juste et qu'il approprie les conditions aux fautes , mesurons l'énormité du crime à l'énormité du châtiment , et con- cluons que nous avons devant nous l'auteur d'une trahison noire 26 PHILOSOPHIE RELIGIEUSE.
Page 27
Hippolyte Taine. cluons que nous avons devant nous l'auteur d'une trahison noire , d'un parricide ou de quelque action , s'il en est , plus odieuse encore . Nous étions prêts à donner notre argent et nos soins ; notre compassion tarit ...
Hippolyte Taine. cluons que nous avons devant nous l'auteur d'une trahison noire , d'un parricide ou de quelque action , s'il en est , plus odieuse encore . Nous étions prêts à donner notre argent et nos soins ; notre compassion tarit ...
Page 31
... devant ses absurdités . M. Jean Reynaud n'est pas le seul qui se soit laissé emporter par ce raisonnement si étrange et par ces tendances si naturelles . Nos plus grands maîtres , qu'ils le sachent ou qu'ils l'ignorent , ont été ...
... devant ses absurdités . M. Jean Reynaud n'est pas le seul qui se soit laissé emporter par ce raisonnement si étrange et par ces tendances si naturelles . Nos plus grands maîtres , qu'ils le sachent ou qu'ils l'ignorent , ont été ...
Page 55
... devant l'idée du but et des rivaux ; le coureur sent leur ha- leine sur ses épaules ; toutes ses forces se tendent ; dans cet accès de volonté , il double son élan et contracte la fièvre qui l'use et le soutient . De là des prodiges de ...
... devant l'idée du but et des rivaux ; le coureur sent leur ha- leine sur ses épaules ; toutes ses forces se tendent ; dans cet accès de volonté , il double son élan et contracte la fièvre qui l'use et le soutient . De là des prodiges de ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 38 - On me l'a dépeint, dit l'abbé d'Olivet, comme « un philosophe qui ne songeait qu'à vivre tran<• quille avec des amis et des livres-; faisant un bon <> choix des uns et des autres; ne cherchant ni ne « fuyant le plaisir; toujours disposé à une joie « modeste, et ingénieux à la faire naître; poli dans « ses manières, et sage dans ses discours ; craignant « toute sorte d'ambition , même celle de montrer de « l'esprit '. » (Histoire de l'académie française).
Page 40 - Il ya quelquefois dans le cours de la vie de si chers plaisirs et de si tendres engagements que l'on nous défend , qu'il est naturel de désirer du moins qu'ils fussent permis : de si grands charmes ne peuvent être surpassés que par celui de savoir y renoncer par vertu.
Page 40 - Quelque désintéressement qu'on ait à l'égard de ceux qu'on aime, il faut quelquefois se contraindre pour eux. et avoir la générosité de recevoir. Celui-là peut prendre, qui goûte un plaisir aussi délicat à recevoir que son ami en sent à lui donner.
Page 44 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 211 - Qui me charme toujours et jamais ne me lasse. De l'aimable vertu doux et puissants attraits ! Tout respire en Esther l'innocence et la paix. Du chagrin le plus noir elle écarte les ombres, Et fait des jours sereins de mes jours les plus sombres ; Que dis-je?
Page 138 - Le plaisir de nager dans un lac d'eau pure, au milieu des rochers, des bois et des fleurs, seul et caressé par une brise tiède, donnerait aux ignorants une bien faible image du bonheur que j'éprouvais quand mon âme se baignait dans les lueurs de je ne sais quelle lumière, quand j'écoutais les voix terribles et confuses de l'inspiration, quand d'une source inconnue les images ruisselaient dans mon cerveau palpitant.
Page 47 - Il ya des âmes sales, pétries de boue et d'ordure, éprises du gain et de l'intérêt, comme les belles âmes le sont de la gloire et de la vertu ; capables d'une seule volupté, qui est celle d'acquérir ou de ;ne point perdre ; curieuses et avides du...
Page 134 - Corps Religieux est donc le grand principe d'existence pour les peuples, le seul moyen de diminuer la somme du mal et d'augmenter la somme du bien dans toute Société. La pensée, principe des maux et des biens, ne peut être préparée, domptée, dirigée que par la religion.
Page 97 - ... enfant la retienne au bord de l'abîme. Que donne-t-on à Dieu? des parfums, de la lumière et des chants, les expressions les plus épurées de notre nature. Eh bien, tout ce qu'on offre à Dieu n'était-il pas offert à l'amour dans ce poème de fleurs lumineuses...
Page 120 - Il faut laisser passer la première averse, dit Grandet en rentrant dans la salle où Eugénie et sa mère avaient brusquement repris leurs places, et travaillaient d'une main tremblante après s'être essuyé les yeux. Mais ce jeune homme n'est bon à rien, il s'occupe plus des morts que de l'argent.