 | Pierre Corneille - 1797 - 484 pages
...sur la théâtre grec. Les Romains les imitèrent : il me semble que c'était l'enfance de Tart. Il était bien plus aisé d'insérer ces inutiles déclamations...soutenir une longue intrigue toujours intéressante. Redoublez puissamment votre mortel effroi " Et joignez à mes maux une^ si vive atteinte, Que mon ame... | |
 | Jacques Lacombe - Drama - 1808 - 296 pages
...le théâtre •grec. Les Romains les imitèrent. Il me semble que C'était l'enfance de l'art : il était bien plus aisé d'insérer ces inutiles déclamations...que de trouver dans son sujet même de quoi animer sans cesse le théâtre, et de soutenir une longue intrigue toujours intéressante. pîreï encore'... | |
 | Babault - Theater - 1811 - 440 pages
...théâtre Grec , et que les Romains imitèrent. Il nous semble que c'était l'enfance de l'art. Il était bien plus aisé d'insérer ces inutiles- déclamations...composaient une tragédie , que de trouver dans son sujet de quoi animer toujours la scène et soutenir une longue intiigue, toujours intéressante. Lorsque... | |
 | ] [Babault - Theater - 1811 - 462 pages
...théâtre grec , et que les Romains imitèrent. Jl nous semble que c'était l'enfance de l'art. Il était bien plus aisé d'insérer ces inutiles déclamations...ou dix scènes qui composaient une tragédie , que do trouver dans son sujet de quoi animer toujours la scène et soutenir une longue intrigue, toujours... | |
 | Pierre Corneille - Drama - 1817 - 574 pages
...prison suit ton entreprise. que c'était l'enfance de l'art : il élait bien plus aisé (l'insérer ces inutiles déclamations entre neuf ou dix scènes...l'asservissement aux usages anciens, pire encore que la barbarie, ou substitua à ces odes des chœurs qu'on voit dans Garnier , dans Jodelle et dans Baïf , des stances... | |
 | Pierre Corneille - 1824 - 456 pages
...l'art : il était bien plus aisè d'insérer ces inutiles déclamations entre nenf on dix scènes qni composaient une tragédie, que de trouver dans son...encore que la barbarie, on substitua à ces odes des cho'urs qu'on voit dans Garnier, dans Jodelle et dans Baïf, des stances que les personnages récitaient.... | |
 | François Noel, L. J. M. Carpentier - Encyclopedias and dictionaries, French - 1827 - 888 pages
...sur le ihéâtre grec. LesRomaias les imitèrent. Il me semble que c'était l'enfance de l'art. Il était bien plus aisé d'insérer ces inutiles déclamations entre neuf ou dix scènes qui composaient une trage'die, que de trouver dans son sujet même de quoi animer toujours le théâtre , et de soutenir... | |
 | Pierre Corneille - 1843 - 832 pages
...l'enfance de l'art : il était bien plus aisé d'insérer ces inutiles déclamations entre neuf ou di\ scènes qui composaient une tragédie , que de trouver...longue intrigue toujours intéressante. Lorsque notre l béatre commença à sortir de la barbarie, et de l'asscn issement aux usages anciens, pire encore... | |
 | Pierre Corneille - 1858 - 880 pages
...tyran des rois, longue intrigue toujours intéressante. Lorsque notre théâtre commença i sortir île la barbarie, et de l'asservissement aux usages anciens, pire encore que la barbarie, on »ub»titua i cesod» s des chœurs qu'où voit dans Ga: nier, dans Jodelle et dans It.nt . des tUnces... | |
 | Voltaire - 1860 - 670 pages
...sur le théâtre grec. Les Romains les imitèrent : il me semble que c'était l'enfance de l'art. Il était bien plus aisé d'insérer ces inutiles déclamations...anciens, pire encore que la barbarie, on substitua aces odes des chœurs qu'on voit dans Garnier, dans Jodelle et dans Baïf, des stances que les personnages... | |
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Romains les imitèrent : il me semble que c'était l'enfance de l'art. Il était bien plus aisé d'insérer ces inutiles déclamations entre neuf ou dix scènes qui composaient une tragédie, que de trouver dans son sujet même de quoi animer toujours... 
