L'économie politique avant les physiocrates |
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Page 31
... DISSERTATION notamment , à l'argent - métal ; pas as- sez de l'autre en pensant aux excès auxquels la monarchie de Louis XIV avait poussé l'abus du papier - monnaie , ou seulement en regardant bien ce qui se passait autour de lui au ...
... DISSERTATION notamment , à l'argent - métal ; pas as- sez de l'autre en pensant aux excès auxquels la monarchie de Louis XIV avait poussé l'abus du papier - monnaie , ou seulement en regardant bien ce qui se passait autour de lui au ...
Page 77
... DISSERTATION SUR LA NATURE DES RICHESSES , DE L'ARGENT ET DES TRIBUTS , où l'on découvre la fausse idée qui règne dans le monde à l'égard de ces trois articles . C'est un plai- doyer où les idées vraies et les erreurs s'entrecho- quent ...
... DISSERTATION SUR LA NATURE DES RICHESSES , DE L'ARGENT ET DES TRIBUTS , où l'on découvre la fausse idée qui règne dans le monde à l'égard de ces trois articles . C'est un plai- doyer où les idées vraies et les erreurs s'entrecho- quent ...
Page 78
... DISSERTATION se placerait ainsi entre celle du TRAITÉ et celle du FACTUM , soit en l'année 1705 . Nous ne connaissons , ni du TRAITÉ ni de la DISSERTATION , aucune édition spéciale ; ils sont réimprimés dans les deux éditions de 1707 ...
... DISSERTATION se placerait ainsi entre celle du TRAITÉ et celle du FACTUM , soit en l'année 1705 . Nous ne connaissons , ni du TRAITÉ ni de la DISSERTATION , aucune édition spéciale ; ils sont réimprimés dans les deux éditions de 1707 ...
Page 79
... DISSERTATION . Elles prennent encore une large place dans les autres écrits . On voit que Boisguille- bert y revient toujours avec plaisir ; on sent que c'est là son réel point de départ , tantôt visible , tantôt occulte . C'est comme ...
... DISSERTATION . Elles prennent encore une large place dans les autres écrits . On voit que Boisguille- bert y revient toujours avec plaisir ; on sent que c'est là son réel point de départ , tantôt visible , tantôt occulte . C'est comme ...
Page 83
... DISSERTATION , il dé- montre , sur un ton non moins apodictique , que la suresti- mation du métal précieux est l'unique cause des malheurs de la France et qu'il suffirait de décréter la déchéance de cet esclave usurpateur du trône du ...
... DISSERTATION , il dé- montre , sur un ton non moins apodictique , que la suresti- mation du métal précieux est l'unique cause des malheurs de la France et qu'il suffirait de décréter la déchéance de cet esclave usurpateur du trône du ...
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Common terms and phrases
années asséeurs bailliage besoins blé Boisguille cause cent ceuls Chamillard chap charges choses Colbert collecteurs commerce conseiller consommation contribuables Daire début du dix-huitième deniers denrée Depputez dessusdittes Détail dîme Dime royale Dissertation dix-huitième siècle dix-septième siècle doctrine douanes économique écrits de Boisguillebert édit Estat esté euls exemptés Factum fermiers finances François Ier Froumenteau gabelle Genz guère guerre guillebert Haillan hectolitre Henri III Henri IV Ibid impositions impôts iniquités Intendants Item Jean Bodin jour justice l'agriculture l'argent l'économie politique l'impôt l'industrie lesdites liberté lieutenant général livres Louis XIV Maistres marchandise maréchal Vauban ment métaux précieux MICHIGAN mille millions ministres misère monnaie monnoye muids offices paroisse payer pays personne peuple physiocrates Pinterville premier présidial presque Prince produit raison réforme régime rente république batave revenu richesse rien Rouen royaume ruine senz sera seront setier seulement sorte souverain Sully surtout taillables taille terres tion Traité des grains traiz
Popular passages
Page 19 - certains animaux farouches , des mâles et des femelles : répandus par la campagne , noirs , livides , et tout brûlés du soleil , attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée , et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine...
Page 5 - Etat de la France, dans lequel on voit tout ce qui regarde le gouvernement ecclésiastique, le militaire, la Justice, les finances, le commerce, les manufactures, le nombre des habitants et en général tout ce qui peut faire connaître à fond cette monarchie.
Page 34 - J'ai trop aimé la guerre : ne m'imitez pas en cela, non plus que dans les trop grandes dépenses que j'ai faites. Prenez conseil en toutes choses, et cherchez à connaître le meilleur pour le suivre toujours. Soulagez vos peuples le plus tôt que vous le pourrez, et faites ce que j'ai eu le malheur de ne pouvoir faire moi-même, etc.
Page 353 - La liberté, quel que fût son langage, nous plaisait par son courage ; l'égalité, par sa commodité. On trouve du plaisir à descendre tant qu'on croit pouvoir remonter dès qu'on le veut ; et, sans prévoyance, nous goûtions tout à la fois les avantages du patriciat et les douceurs d'une philosophie plébéienne.
Page 301 - LES revenus de l'État sont une portion que chaque citoyen donne de son bien pour avoir la sûreté de l'autre, ou pour en jouir agréablement.
Page 40 - ... c'est une vieille machine délabrée qui va encore de l'ancien branle qu'on lui a donné , et qui achèvera de se briser au premier choc.
Page 105 - On convint de donner et de recevoir dans les échanges une matière qui , utile par elle-même , fût aisément maniable dans les usages habituels de la vie ; ce fut du fer, par exemple, de l'argent, ou telle autre substance analogue, dont on détermina d'abord la dimension et le poids , et qu'enfin , pour se délivrer des embarras de continuels mesurages, on marqua d'une empreinte particulière, signe de sa valeur.
Page 17 - État, pour faire et pour défendre de vaines conquêtes au dehors. Au lieu de tirer de l'argent de ce pauvre peuple , il faudrait lui faire l'aumône et le nourrir.
Page 350 - II est certain que cet assujettissement, qui met le souverain dans la nécessité de prendre la loi de ses peuples, est la dernière calamité où puisse tomber un homme de notre rang...
Page 18 - Ainsi on paie ceux qu'il faudrait punir. Vous êtes réduit à la honteuse et déplorable extrémité ou de laisser la sédition impunie et de l'accroître par cette impunité, ou de faire massacrer avec inhumanité des peuples que Vous mettez au désespoir, en leur arrachant par Vos impôts pour cette guerre, le pain qu'ils tâchent de gagner à la sueur de leur visage. Mais pendant qu'ils manquent de pain, Vous manquez Vousmême d'argent, et Vous ne voulez pas voir l'extrémité où Vous êtes...