Élémens d'idéologie, Volumes 4-5Mme. Levi, 1826 - Philosophy |
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actions agens animaux assez avantages avons besoins bles breux c'est-à-dire cause cessaire CHAPITRE choses classe commerce conséquent consommation contraire culture d'autres denrées dépenses désirs devoir différentes diminue dire doit donner économie politique économique effets élémens employer entrepreneurs espèce existe fabrication faculté de vouloir fonds font forces forces physiques galité général genre gouvernement hommes industrieux idées impôts individus indus industrie intérêts jamais jouissances l'agriculture l'argent l'effet l'état l'impôt l'industrie l'inégalité l'utilité lods et vente luxe manière marchandise masse mateurs ment métal monnaie Montesquieu morale mouvemens moyens d'existence n'en nation nature nécessaire pauvre payer pays personne morale personnelle peuvent population portes des villes première pressans procurer producteur produit profits propriétaires propriété qu'une quantité quelconque raison réellement rence rente reste revenu richesses rien s'il salaires salariés sensibilité sentimens serait seule société sommes souf source souvent subsister suite tence terres tion totale toyen travail trieux utile vail valeur vérité volonté vrai
Popular passages
Page 320 - ... des tributs; et, ce qui prévient tous les remèdes à venir, on ne compte plus sur les revenus, mais on fait la guerre avec son capital. Il n'est pas inouï de voir des états hypothéquer leurs fonds pendant la paix même, et employer pour se ruiner des moyens qu'ils appellent extraordinaires, et qui le sont si fort, que le fils de famille le plus dérangé les imagine à peine.
Page 310 - De tout cela , je conclus que la totalité des dépenses publiques doit être rangée dans la classe des dépenses justement nommées stériles et improductives; et que par conséquent tout ce qu'on paie à l'état , soit à titre d'impôt , soit même à titre...
Page 4 - Besoins et moyens, droits et devoirs dérivent donc de la faculté de vouloir. Si l'homme ne voulait rien, il n'aurait rien de tout cela. Mais avoir des besoins et des moyens, des droits et des devoirs, c'est avoir, c'est posséder quelque chose. Ce sont là autant d'espèces de propriétés, à prendre ce mot dans sa plus grande généralité; ce sont des choses qui nous appartiennent.
Page 396 - La preuve en est que la jouissance forcée est très-imparfaite; elle est même physiquement pénible ; et la jouissance trop partagée ou trop facile est sans saveur , parce qu'elle ne prouve pas le sentiment. Le consentement est donc un de 'ses charmes; la sympathie un de ses plus grands plaisirs. Chacun sait que tout cela est d'autant plus vrai que les idées sont plus multipliées et plus étendues, et les sentimens plus délicats et plus fins.
Page 195 - II me semble qu'on n'a pas tiré de là une conséquence qui était pourtant bien naturelle; c'est que rien ne peut accroître la population que ce qui favorise la production , et que rien ne la peut diminuer, au moins d'une manière permanente, que ce qui attaque les sources de la production.
Page 17 - Il fallait bien qu'il y eût ainsi une propriété naturelle et nécessaire , puisqu'il en existe d'artificielles et conventionnelles ; car il ne peut jamais y avoir rien dans l'art qui n'ait pas son principe radical dans la nature : nous en avons déjà fait l'observation ailleurs (i).
Page 36 - Cependant , puisqu'il est certain que nos facultés physiques et morales sont notre seule richesse originaire , que l'emploi de ces facultés , le travail quelconque , est notre seul trésor primitif, et que c'est toujours de cet emploi que naissent toutes les choses que nous appelons des biens , depuis la plus...
Page 320 - La suite d'une telle situation est l'augmentation perpétuelle des tributs; et, ce qui prévient tous les remèdes à venir, on ne compte plus sur les revenus, mais on fait la guerre avec son capital. Il...