Cours complet de philosophie: PsychologieGaume Frères, 1843 - Philosophy |
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actes actions affections albumineuse âme avons beau beauté besoin Bossuet c'est-à-dire caractère cause cerveau choroïde chose cœur condition connaissance connaître conscience conséquent corps vitré croyance détermine devoir Dieu distinction divine doit douleur effet elle-même existe existence extérieure externe facultés force fosses nasales hommes idées impressions inductive infinie intelli intelligence jouissance jugements l'action l'âme l'amour l'autre l'espace l'esprit humain l'étendue l'existence l'homme l'humanité l'induction l'infini l'objet l'ordre l'organe Leibnitz logique lois lui-même lumière manière matérielle membrane ment modifications monde morale mouvement moyen nature naturelle nécessaire nerf optique nerfs notion nous-mêmes objets organes panthéisme passé passions pensée perception phénomènes philosophie physique plaisir Platon présente principe principe de causalité produit propre psychologie puissance qu'un raison rapport réalité renfer rétine rien science sclérotique semblables sens sensation sensibilité sentiment serait seul sion sociale société sorte souvenir sublime substance suppose syllogisme système tence tion trompes d'Eustache universelle vérité vertu vice volition volonté vrai
Popular passages
Page 241 - maux dans les maux d'autrui. C'est une habile prévoyance des malheurs où nous pouvons tomber. Nous donnons du secours aux autres, pour les engager à nous en donner en de semblables occasions; et ces services que nous leur rendons sont, à proprement parler, un bien que nous nous faisons à nous-mêmes par avance.
Page 406 - prodigieux objet de la nature : car il ne peut concevoir ce que c'est qu'un corps, et moins encore ce que c'est qu'un esprit, et, moins encore qu'aucune chose , comment un corps peut être uni à un esprit ; et cependant, c'est son propre être.
Page 68 - les étroites limites de son intelligence. Ne sent-il pas à chaque instant, quand il veut avancer trop avant, ses yeux s'obscurcir et son flambeau s'éteindre? C'est là qu'il faut s'arrêter. La foi lui laisse tout ce qu'il peut comprendre ; elle ne lui ôte que les mystères et les objets impénétrables. Ce partage doit-il irriter
Page 436 - est néanmoins constant que j'ai une idée précise de l'infini ; je discerne très-nettement ce qui lui convient et ce qui ne lui convient pas. Je n'hésite jamais à en exclure toutes les propriétés des nombres et des quantités finies. L'idée même que j'ai de l'infini n'est ni confuse, ni négative, car ce n'est point en excluant
Page 302 - lorsque les maux des siècles barbares se sont évanouis, la société, si habile à tourmenter les âmes et si ingénieuse en douleur, a bien su faire naître mille autres raisons d'adversité qui nous jettent dans la solitude! Que de passions trompées, que de sentiments trahis, que de dégoûts amers, nous entraînent chaque jour hors du monde
Page 95 - à nous-mêmes, et c'est dans cette lumière supérieure que nous voyons aussi si nous faisons bien ou mal, c'est-à-dire si nous agissons ou non selon ces principes constitutifs de notre être. Là donc nous voyons avec toutes les autres vérités les règles
Page 437 - borné, je réponds que cet indéfini ne peut signifier rien, à moins qu'il ne signifie quelque chose de véritablement fini, dont les bornes échappent à l'imagination , sans échapper à l'esprit. Mais enfin, tout ce qui n'est point précisément l'infini, de quelque grandeur énorme qu'il soit, est infiniment éloigné de lui ressembler.
Page 484 - de ce principe : ne faites pas à autrui ce que vous ne voudriez pas qu'on vous fit à
Page 175 - imaginons le plaisir et la douleur, nous sommes attirés ou rebutés. C'est ce qui nous donne de l'appétit pour une viande agréable, et de la répugnance pour une viande dégoûtante. Et tous les autres plaisirs aussi bien que toutes les autres douleurs causent en nous des appétits ou des répugnances de même nature, où la raison n'a aucune part.
Page 608 - fausse sur la toile ? Ces maximes pernicieuses ne sont propagées que par la médiocrité, qui se meta la solde du vice pour s'enrichir. Le beau religieux est au-dessus du beau idéal, puisqu'il est l'idéal de l'idéal ; mais peu de gens pouvant s'élever à cette hauteur, l'artiste vulgaire quitte ce qui est beau pour ce qui plaît.