... que le jour ne pouvait être loin, j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer ; et prêtant l'oreille par la cheminée qui communiquait avec celle d'en bas, je distinguai parfaitement ces propres mots du mari : Eh bien... First Readings from Modern French Writers - Page 41by Gustave Chouquet - 1855 - 254 pagesFull view - About this book
| French periodicals - 1828 - 688 pages
...qui communiquait avec celle d'en bas , je distinguai parfaitement ces propres mots du mari : Eh bien enfin voyons , faut-il les tuer tous deux ? A quoi...comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'élnis mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore!.... Nous deux presque sons armes , contre eux... | |
| French periodicals - 1828 - 686 pages
...qui communiquait avec celle d'en bas, je distinguai parfaitement ces propres mots du mari : Eh bien enfin voyons , faut-il les tuer tous deux ? A quoi...répondit: Oui. Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai— je? je restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez... | |
| French authors - 1839 - 512 pages
...parfaitement ces propres mots du mari : " Eh bien ! enfin voyons, faut-il les tuer tous deux ?" à quoi la femme répondit : " Oui," et je n'entendis...voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Ciel! quand j'y pense encore!. . . Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en... | |
| Ghewond Hovnanean - French language - 1844 - 472 pages
...bas , je distinguai ces propres mots du mari: Eh bien enfin, voyons, faut-il les tuer tous deux? à quoi la femme répondit: Oui; et je n'entendis plus rien. Que vous dirai -je? je restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1845 - 482 pages
...communiquait avec celle d'en bas , je distinguai parfaitement ces propres mots du mari : Eh bien ! enfin voyons, faut-il les tuer tous deux? A quoi la...vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu 1 quand j'y pense encore I._. Nous deux presque sans armes , contre eux douze ou quinze qui en avaient... | |
| Edouard Salvador - Authors, French - 1845 - 320 pages
...communiquait avec celle » d'en bas, je distinguai parfaitement ces pro» près mots du mari : Eh bien ! Enfin voyons , » faut-il les tuer tous deux? A quoi...Que vous dirai-je ? Je restai respirant à » peine, lout mon corps froid comme un mar» bre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais B mort ou vivant.... | |
| Casimir Ladreyt - French literature - 1846 - 378 pages
...qui communiquait avec celle d'en bas, je distinguai parfaitement ces propres mots du mari : Eh bien ! enfin voyons, faut-il les tuer tous deux ? A quoi...voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant Ah ! quand j'y pense encore !... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient... | |
| Écrivains français - 1848 - 364 pages
...qui communiquait avec celle d'en bas, je distinguai parfaitement ces propres mots du mari : Eh bien enfin voyons, faut-il les tuer tous deux ? A quoi...voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Ciel ! quand j'y pense encore ! Nous deux presque sans armes, contre eux, douze ou quinze, qui en avaient... | |
| André Sears - 1850 - 426 pages
...parfaitement ces propres mots du mari : " Eh bien ! enfin voyons, faut-il les tuer tous deux ?" à quoi la femme répondit : " Oui," et je n'entendis...plus rien. Que vous dirai-je ? je restai respirant 25 à peine, tout mon corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou... | |
| Jean Roemer - French language - 1851 - 490 pages
...qui communiquait avec celle d'en bas, je distinguai parfaitement ces propres mots du mari : Eh bien ! enfin voyons, faut-il les tuer tous deux ? A quoi...voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Ah ! quand j'y pense encore ! . . Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient... | |
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