Le Correspondant, Volume 2; Volume 38Charles Douniol, 1856 |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 15
... n'était éloigné ni de M. de Lamartine , ni de M. Jules Favre dont le nom fut plusieurs fois prononcé . Ce n'est pas que le futur président de la République voulût accepter indistinctement des méthodes de gouverne- ment , des doctrines ...
... n'était éloigné ni de M. de Lamartine , ni de M. Jules Favre dont le nom fut plusieurs fois prononcé . Ce n'est pas que le futur président de la République voulût accepter indistinctement des méthodes de gouverne- ment , des doctrines ...
Page 18
... n'était plus qu'un mot ; la France venait de porter contre elle un verdict de mort ; son intégrité ressemblait à celle de l'empire ottoman , prolongeant une vie fictive par l'impossibi- lité de régler à l'amiable son héritage . C'était ...
... n'était plus qu'un mot ; la France venait de porter contre elle un verdict de mort ; son intégrité ressemblait à celle de l'empire ottoman , prolongeant une vie fictive par l'impossibi- lité de régler à l'amiable son héritage . C'était ...
Page 25
... n'était pas seulement la préoccupation du vote , c'était la force des choses qui nous avait tracé ces limites . Sub- stituer brusquement un clergé déshabitué d'enseigner , garrotté d'é- troits liens , à une université largement ...
... n'était pas seulement la préoccupation du vote , c'était la force des choses qui nous avait tracé ces limites . Sub- stituer brusquement un clergé déshabitué d'enseigner , garrotté d'é- troits liens , à une université largement ...
Page 33
... n'était pas lui . Il crut qu'il pourrait masquer ses vides par la variété de ses évolutions et remplacer par des questions factices . par des paradoxes tranchants , les questions réelles qui venaient de conquérir des solutions ou de ...
... n'était pas lui . Il crut qu'il pourrait masquer ses vides par la variété de ses évolutions et remplacer par des questions factices . par des paradoxes tranchants , les questions réelles qui venaient de conquérir des solutions ou de ...
Page 57
... n'était pas . Ainsi l'être intelligent n'a la puissance de connaître , ou autrement n'existe en puissance qu'autant qu'il a un entendement qui conçoit l'idée ; jusque - là il n'est pas ; on peut bien supposer qu'il sera , mais non ...
... n'était pas . Ainsi l'être intelligent n'a la puissance de connaître , ou autrement n'existe en puissance qu'autant qu'il a un entendement qui conçoit l'idée ; jusque - là il n'est pas ; on peut bien supposer qu'il sera , mais non ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
âme ANDRÉ anglais Angleterre aujourd'hui avaient besoin catholicisme catholique cause choses chrétiens clergé cœur Colbert comte de Cavour concile connaissance conscience DESFORGES devant Dieu dire divine doctrine donner doute duc de Broglie écoles enfants esprit état États pontificaux eût évêques famille force fra Bartolomeo gouvernement Grégoire XVI guerre hommes humaine idées institutions jamais jour justice l'âme l'Angleterre l'Autriche l'Église l'Empereur l'empire l'esprit l'Europe l'homme l'industrie l'Italie laisser LAURENCE liberté lord lord Palmerston Louis XIV lui-même lutte ment millions ministre monde Montalembert morale n'était nation nature NEBRIDIUS non-seulement paix Pape parler paroles passé passions patriarche pays pensée peuple philosophie Pie IX Pie VII Plaine Saint-Denis Play poésie poëtes politique Pontife pontifical pouvait premier prince principe puissance qu'un question race raison réformes religieux religion reste révélation révolution rien romaine Rome Russie s'est saint Thomas Saint-Siége sentiment serait seul siècle société sorte souverain spirituelle sujet Thiers tion trouve VALIGNY vérité
Popular passages
Page 390 - Où pourrai-je trouver la paix ? Je veux, et n'accomplis jamais ; Je veux ; mais, ô misère extrême ! Je ne fais pas le bien que j'aime Et je fais le mal que je hais.
Page 766 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 921 - ... peut-être moins rudes, accablé d'afflictions dans la force de mon âge, ô mon Dieu ! Si vous n'étiez pas, ou si vous n'étiez pas pour moi, seule et délaissée dans ses maux, où mon âme espérerait-elle ? Serait-ce à la vie, qui m'échappe et me mène vers le tombeau par les détresses ? Serait-ce à la mort, qui anéantirait, avec ma vie, tout mon être...
Page 301 - Discours affreux! — Syllepse, hypallage, litote, Frémirent ; je montai sur la borne Aristote, Et déclarai les mots égaux, libres, majeurs. Tous les envahisseurs et tous les ravageurs...
Page 303 - Devant quel confesseur la fais-tu comparaître? — L'église, c'est l'azur, lui dis-je ; et quant au prêtre... — En ce moment le ciel blanchit. La lune à l'horizon montait, hostie énorme; Tout avait le frisson, le pin, le cèdre et l'orme, Le loup, et l'aigle et l'alcyon ; Lui montrant l'astre d'or sur la terre obscurcie, Je lui dis : — Courbe-toi. Dieu lui-même officie, Et voici l'élévation.
Page 331 - On est donc trop heureux qu'il réside hors de chez soi, et qu'en résidant hors de chez soi, il ne réside pas chez des rivaux, qu'il habite dans cette vieille Rome, loin de la main des empereurs d'Allemagne, loin de celle des rois de France ou des rois d'Espagne, tenant la balance entre les souverains catholiques, penchant toujours un peu vers le plus fort, et se relevant bientôt si le plus fort devient oppresseur. « Ce sont les siècles qui ont fait cela, et ils l'ont bien fait. Pour le gouvernement...
Page 310 - M. le Comte Walewski se demande s'il n'est pas à souhaiter que certains Gouvernements de la Péninsule Italique, appelant à eux, par des actes de clémence bien entendus, les esprits égarés et non pervertis, mettent fin à un système qui va directement contre son but, et qui, au lieu d'atteindre les ennemis de l'ordre, a pour effet d'affaiblir les Gouvernements et de donner des partisans à la démagogie.
Page 309 - Congrès, selon M. le premier plénipotentiaire de la France, pourrait se reprocher de ne pas avoir profité de la circonstance qui met en présence les représentants des principales puissances de l'Europe, pour élucider certaines questions, poser certains principes, exprimer des intentions, toujours et uniquement dans le but d'assurer, pour l'avenir, le repos du monde, en dissipant, avant qu'ils ne soient devenus menaçants, les nuages que l'on voit encore poindre à l'horizon politique.
Page 394 - Car il est sans doute qu'il n'ya rien qui choque plus notre raison que de dire que le péché du premier homme ait rendu coupables ceux qui, étant si éloignés de cette source, semblent incapables d'y participer. Cet écoulement...
Page 521 - ... ses semblables, mais aussi leur perfection morale; qui fut observateur de sa parole, fidèle dans ses amitiés , sincère et ferme dans ses convictions, à l'épreuve du temps qui change et qui veut entraîner tout dans ses changements, également éloigné de l'obstination dans l'erreur et de cette insolence particulière à l'apostasie qui accuse la bassesse de la trahison ou la mobilité honteuse de l'inconstance : Aristide enfin dans l'antiquité, l'Hôpital dans les temps modernes.