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C'est le moment crépusculaire.
C'était un vieux logis, dans une étroite rue
Combien j'ai douce souvenance.....
Comme un agonisant caché, les lèvres blanches......... 240
Comme un marin hardi que la cloche aux flancs lourds. 242
Comme un morne exilé, loin de ceux que j'aimais.....
Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal.
Courage, ô faible enfant de qui ma solitude............
Couronnés de thym et de marjolaine......
Dans cette vie où nous ne sommes....
Dans l'alcôve sombre .
Dans le ciel clair rayé par l'hirondelle alerte.
Dans les nuits d'automne, errant par la ville..
Dans le vieux parc solitaire et glacé..
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Dans l'interminable......
De la dépouille de nos bois.
De la musique avant toute chose.
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne. 121
De ta tige détachée...
Deux ombres cheminaient dans une étroite allée
Deux voix s'élèvent tour à tour...
Dictes-moy où, n'en quel pays..
Dieu fait triompher l'innocence.
Dieu qu'il la fait bon regarder
Dieu vous gard, messagers fidelles..
Du temps que j'étais écolier...
Écoutez la chanson bien douce....
Elle était belle, si la nuit.....
Elle était bien jolie, au matin, sans atours.
Enfants d'un jour, ô nouveau-nés.
Escoute, bucheron, arreste un peu le bras.
Et j'ai dit dans mon cœur: "Que faire de la vie".
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ΙΟ
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PAGE
Fortune dont la main couronne...
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Gloire au cœur téméraire épris de l'impossible........ 195
Hé quoi j'entends que l'on critique.....
Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage...
Hier il m'a semblé (sans doute j'étais ivre)....
Homme, libre penseur! te crois-tu seul pensant..
Homme libre, toujours tu chériras la mer...
Ici-bas tous les lilas meurent.....
Il est amer et doux, pendant les nuits d'hiver.....
Il est tard; l'astronome aux veilles obstinées...
Il est un air pour qui je donnerais..
Il était un roi d'Yvetot....
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43
Il faut, dans ce bas monde, aimer beaucoup de choses. 175
Il faut, voyez-vous, nous pardonner les choses...
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....
J'ai bien assez vécu, puisque dans mes douleurs.....
J'ai bon cœur, je ne veux à nul être aucun mal..
J'ai dans mon cœur un oiseau bleu..............
J'ai deux grands bœufs dans mon étable...
J'ai longtemps habité sous de vastes portiques..
J'aimais froidement ma patrie........
J'aime le son du cor, le soir, au fond des bois..
J'ai perdu ma force et ma vie.......
J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans.
J'ai reposé mon cœur avec tranquillité....
J'ai révélé mon cœur au Dieu de l'innocence
J'ai voulu ce matin te rapporter des roses..
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J'ai voulu tout aimer, et je suis malheureux
J'ai vu passer aux pays froids.....
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J'entrais dans mes seize ans, léger de corps et d'âme.. 137
Je sens un monde en moi de confuses pensées...
J'espérais bien pleurer, mais je croyais souffrir...
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Je suis le Chaldéen par l'étoile conduit...
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Je t'aime, en attendant mon éternelle épouse..
J'étais enfant. J'aimais les grands combats
263
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J'étais seul près des flots, par une nuit d'étoiles..
100
Jeté par le hasard sur un vieux globe infime
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Jeune homme, qui me viens lire tes plaintes vaines.... 277
Là-bas, sous les arbres, s'abrite....
180
Là-bas, sur la mer, comme l'hirondelle.....
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La caravane humaine au Sahara du monde.
Laissez-moy penser à mon aise...
La lune blanche.....
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2
282
La lune est grande, le ciel clair..
252
L'âpre rugissement de la mer pleine d'ombre... La tombe dit à la rose... . . .
L'aube naît et ta porte est close..
La victoire en chantant nous ouvre la barrière.
L'eau dans les grands lacs bleus.....
L'ecclésiaste a dit : Un chien vivant vaut mieux..
Le choc avait été très rude. Les tribuns.
208
IIO
105 36
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279
Le ciel est noir, la terre est blanche........
Le ciel est, par-dessus le toit...............
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Le fantôme est venu de la trentième année.
304
Le frais matin dorait de sa clarté première..
Le grand soleil, plongé dans un royal ennui..
Le jour tombait, une pâle nuée..
Le laboureur m'a dit en songe : "Fais ton pain".
L'épi naissant mûrit de la faux respecté...
Le présent se fait vide et triste...
Le sable rouge est comme une mer sans limites...
Les champs n'étaient pas noirs, les cieux n'étaient pas
mornes...
Les cieux inexorables....
Les deux sœurs étaient là, les bras entrelacés.
Les fourriers d'Esté sont venus .... .
Les genêts, doucement balancés par la brise...
Le soir ramène le silence..
L'esprit calme des dieux habite dans les plantes . L'été, lorsque le jour a fui, de fleurs couvert.
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Le temps a laissié son manteau...
Le vase où meurt cette vervaine...
Le village s'éveille à la corne du pâtre. L'homme a, pour payer sa rançon.. L'oiseleur Amour se promène..........
Lorsque l'enfant paraît, le cercle de famille...
Ma belle amie est morte....
Marchez l'humanité ne vit pas d'une idée.......
Mes volages humeurs, plus sterilles que belles...
Midi, roi des étés, épandu sur la plaine.........
Mieux que l'aigle chasseur, familier de la nue..
Mignonne, allons voir si la rose......
Mon âme a son secret, ma vie a son mystère..
Mon cœur, lassé de tout, même de l'espérance...
Monte, écureuil, monte au grand chêne....
Morne esprit, autrefois amoureux de la lutte.
Mort, j'appelle de ta rigueur....
Murs, ville....
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N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde..
Non, tu n'entendras pas, de ta lèvre trop fière..... 139
Nos yeux se sont croisés et nous nous sommes plu . 263
Nous, dont la lampe, le matin.... 229
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Nous prospérons ! Qu'importe aux anciens malheureux 265
Nous revenions d'un long voyage..
Nouvelles ont couru en France....
Novembre approche, et c'est le mois charmant...... 302
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I
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O combien de marins, combien de capitaines......
O Corse à cheveux plats! que la France était belle.... 138
O France, quoique tu sommeilles.....
Oh! tant qu'on le verra trôner, ce gueux, ce prince.... 129
On parlera de sa gloire......
O nuit, ô douce nuit d'été, qui viens à nous..
O père qu'adore mon père........
O souvenirs! printemps! aurore!..
Oui, l'œuvre sort plus belle.
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O vallons paternels; doux champs; humble chaumière 71
Par la chaîne d'or des étoiles vives..
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Plaintive tourterelle.......
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Poète, prends ton luth et me donne un baiser..