Revue d'anthropologieC. Reinwald, 1889 - Anthropology |
Other editions - View all
Common terms and phrases
Aïnos Aksou animaux anthropoïdes aryennes assez avons bantou blonds Bochimans brachycéphales Broca bronze brun c'est-à-dire caractères Castenedolo cavernes cheveux Chinois civilisation Condylarthrés considérable Corse côté crâne d'après d'autres découvertes développement diamètre différentes dolichocéphale dolmens esprits familiers ethnographiques Européens femmes foncés forme frontal Galton général grotte groupe habitants Hamy hauteur hommes Hottentots indice indice céphalique individus inférieur Japonais Kalmouks Kashgar Kashgariens Kobolde l'âge l'esprit familier l'Exposition l'homme l'indice céphalique Lagoa Santa largeur longueur membres ment mesures mètres millimètres Mongols moyenne musée nasal Nègres néolithique Niolo nombre nord objets observations ossements palafittes pays petite peuples pierre Pigorini pliocène population préhistoriques premier présente presque primitive proportions quaternaire question race race aryenne rapport région relative remarquer Remedello reste REVUE D'ANTHROPOLOGIE Russie saillie sciences anthropologiques série seulement silex Société d'anthropologie spécial squelette stations stéatopygie Suétone suivant sujets supérieur surtout taille terremares tête tibia tion Topinard trouve type Virchow yeux Zarza
Popular passages
Page 509 - Conseil se réunit tous les deux mois et chaque fois qu'il est convoqué par son président ou sur la demande du quart de ses membres.
Page 348 - ... les envoie dans des sanatoria à des altitudes plus ou moins grandes, dans des îles assainies par les brises de mer, on rapatrie promptement les convalescents et les malades transportables ; mais il faut surtout de plus en plus substituer les troupes indigènes tout acclimatées aux troupes européennes, dont l'acclimatation est si difficile. Des volontaires doivent seuls fournir au recrutement des cadres et de quelques corps spéciaux.
Page 346 - Antilles françaises, où de 91 sur 1 000 d'effectif, d'un onzième de 1819 à 1855, elle serait arrivée ù n'être guère ordinairement qu'environ deux fois plus forte qu'en France, elle s'élève bien davantage lorsque sévit la fièvre jaune. Quoique beaucoup moindre pour les militaires que pour les colons cultivant le sol, la mortalité à la Guyane s'est montrée énorme lors des épidémies de fièvre jaune, qui ont fait périr jusqu'à 237 hommes sur 1 000, comme en 18S5, près d'un quart...
Page 348 - ... de nombreux moyens d'existence et de richesse, augmente le bien-être général et accroît notre natalité, actuellement si restreinte. Mais, ainsi que le font d'autres nations, ainsi que le fait l'Angleterre, la France doit publier les documents statistiques relatifs à la morbidité et à la mortalité de nos marins, de nos troupes coloniales.
Page 348 - ... décident de la prise de possession de telle ou telle contrée, doivent connaître la dîme mortuaire de chaque campagne, de chaque occupation territoriale. Dans notre pays, plus riche que populeux, il importe que l'évaluation précise du nombre des malades et des morts permette d'appliquer constamment les mesures hygiéniques les plus propres à en restreindre les proportions.
Page 246 - Elles offrent une ressemblance frappante avec celles qui surviennent aux femelles des mandrills ,. des papions , etc. ^ et qui prennent à certaines époques de leur vie un accroissement vraiment monstrueux.
Page 348 - A la Réunion, la mortalité de nos soldats et marins serait modérément élevée, si dans ses hôpitaux ne venaient mourir les malades de Madagascar et des îles voisines. Aussi la mortalité ordinaire de 29 à 30 sur 1000 s'élève-t-elle de 70 à 113 sur 1000 lors de certaines expéditions dans les ¡les Madecasses.
Page 29 - Ampla et operosa praetoria gravabatur. Et neptis quidem suae luliae, profuse ab ea exstructa, etiam diruit ad solum, sua vero quamvis modica non tam statuarum tabularumque pictarum ornatu quam xystis...
Page 243 - Un Anglais lui avait fait espérer une grande fortune si elle venait s'offrir à la curiosité des Européens; mais il avait fini par l'abandonner à un montreur d'animaux de Paris, chez lequel elle est morte d'une maladie inflammatoire et éruptive. Tout le monde a pu la voir pendant dix-huit mois de séjour dans notre capitale, et vérifier l'énorme protubérance de ses fesses et l'apparence brutale de sa figure. Ses mouvements avaient quelque chose de brusque et de capricieux qui rappelait ceux...
Page 346 - France. Mais, pour cette colonie, comme pour toute autre, on ne peut exactement déterminer la mortalité réelle due au séjour colonial, par suite du rapatriement de nombreux malades, dont un certain nombre succombent ultérieurement. Vu la diversité plus grande des saisons, le Tonkin serait plus salubre. Mais par suite de leur nombre insuffisant, les Mildals fatigués seraient parfois fortement éprouvés.