Seventeenth Century French ReadingsAlbert Schinz, Helen Maxwell King |
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... avoir en cheveux blancs terminé sa carrière , Qu'en fût - il advenu ? 1 Avocat au Parlement d'Aix , en Savoie . ΙΟ 15 20 20 5 ΤΟ Penses - tu que plus vieille en la MALHERBE 5 Consolation à M du Périer sur la mort de sa fille.
... avoir en cheveux blancs terminé sa carrière , Qu'en fût - il advenu ? 1 Avocat au Parlement d'Aix , en Savoie . ΙΟ 15 20 20 5 ΤΟ Penses - tu que plus vieille en la MALHERBE 5 Consolation à M du Périer sur la mort de sa fille.
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... 1536. On accusa Charles - Quint de l'avoir fait empoisonner . Sembla d'un si grand coup devoir jeter des larmes Qui 6 L'ÉCOLE DE MALHERBE La carte de Tendre, d'après Mlle de Scudéry Maximes des Précieuses, d'après Somaize.
... 1536. On accusa Charles - Quint de l'avoir fait empoisonner . Sembla d'un si grand coup devoir jeter des larmes Qui 6 L'ÉCOLE DE MALHERBE La carte de Tendre, d'après Mlle de Scudéry Maximes des Précieuses, d'après Somaize.
Page 16
... avoir fait ton visage , En conserve l'éclat et craint de l'effacer . Regarde sans frayeur la fin de toutes choses ; Consulte le miroir avec des yeux contents : On ne voit point tomber ni tes lis ni tes roses , Et l'hiver de ta vie est ...
... avoir fait ton visage , En conserve l'éclat et craint de l'effacer . Regarde sans frayeur la fin de toutes choses ; Consulte le miroir avec des yeux contents : On ne voit point tomber ni tes lis ni tes roses , Et l'hiver de ta vie est ...
Page 17
... avoir maltraité ! Que feras - tu , Chloris , pour honorer ma cendre ? Pourras - tu , sans regret , ouïr parler de moi ? Et le mort que tu plains te pourra - t - il défendre De blâmer ta rigueur et de louer ma foi ? Si je voyais la fin ...
... avoir maltraité ! Que feras - tu , Chloris , pour honorer ma cendre ? Pourras - tu , sans regret , ouïr parler de moi ? Et le mort que tu plains te pourra - t - il défendre De blâmer ta rigueur et de louer ma foi ? Si je voyais la fin ...
Page 19
... avoir place : L'un gisait au maillot , l'autre dans le berceau ; Ma femme , en les baisant , dévidait son fuseau . Le temps s'y ménageait comme chose sacrée : Jamais l'oisiveté n'avait chez moi d'entrée . Aussi les dieux alors ...
... avoir place : L'un gisait au maillot , l'autre dans le berceau ; Ma femme , en les baisant , dévidait son fuseau . Le temps s'y ménageait comme chose sacrée : Jamais l'oisiveté n'avait chez moi d'entrée . Aussi les dieux alors ...
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Common terms and phrases
admirable aimé âme amour assez auteurs avez beau beauté belle Boileau Bossuet carte de Tendre chanter Chaudebonne choses chrétiens Clélie Cléomire cœur Condé coup cour dessein Dieu dire discours dit-il divertir divin donner duc d'Enghien écrits esprit êtes eût femme fille gens GEORGES DE SCUDÉRY gloire Guirlande de Julie hommes j'ai j'avais jamais jour Julie d'Angennes l'âme l'amour l'esprit l'hôtel de Rambouillet laisse langue lanturlu lettre LIGHT Louis XIV Madame main Malherbe ment merveilles Mlle de Scudéry Mme de Rambouillet Mme de Sévigné monde Montausier mort n'avait ouvrages parler paroles passage du Rhin passer passions pense père personne plaisir poème poésie poète premier prince prince de Condé princesse qu'à qu'un quelquefois Racan raison reste rien rimer rois s'il sainte sais sait Sapho Satire savait sentiments sera seul sorte souvent Tendre terre tion trouve UNIVE vanité Vatel vérité veux visage voit vrai XVIIe siècle yeux ΙΟ
Popular passages
Page 327 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 85 - L'expression la suit ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Page 283 - Jouissez, prince, de cette victoire , jouissez-en éternellement par l'immortelle vertu de ce sacrifice; agréez ces derniers efforts d'une voix qui vous fut connue ' : vous mettrez fin à tous ces discours. Au lieu de déplorer la mort des autres , grand prince, dorénavant je veux apprendre de vous à rendre la mienne sainte; heureux si, averti par ces cheveux blancs du compte que je dois rendre de mon administration, je réserve au troupeau que je dois nourrir de la parole de vie les restes d'une...
Page 327 - ... montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 224 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser : une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt ; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 355 - Le maréchal, après avoir lu, dit au Roi : ' Sire, Votre Majesté juge divinement bien de toutes choses ; il est vrai que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j'aie jamais lu.
Page 230 - La volonté ne fait jamais la moindre démarche que vers cet objet. C'est le motif de toutes les actions de tous les hommes, jusqu'à ceux qui vont se pendre.
Page 223 - Qu'il y voie une infinité d'univers, dont chacun a son firmament, ses planètes, sa terre, en la même proportion que le monde visible...
Page 221 - Que l'homme contemple donc la nature entière dans sa haute et pleine majesté; qu'il éloigne sa vue des objets bas qui l'environnent. Qu'il regarde cette éclatante lumière, mise comme une lampe éternelle pour éclairer l'univers...
Page 9 - C'est proser de la rime, et rimer de la prose, Que l'art lime et relime, et polit de façon Qu'elle rend à l'oreille un agréable son ; Et voyant qu'un beau feu leur cervelle...