Traduction du "théâtre des Grecs", Volume 8Brissot-Thivars, 1826 |
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Achille acte ADRASTE AGAMEMNON Apollon Argiens Argos Athéniens Atrides Aulide autels barbare Barnès Brumoy bucher Calchas Capanée Cérès char cher chœur citoyens CLYTEMNESTRE cœur Créon cruel d'Achille d'Agamemnon d'Argos d'Euripide d'Iphi d'Iphigénie d'Oreste déesse dessein destinée Diane dieux discours Dolcé douleur enfans épouse époux ÉTHRA Euripide ÉVADNÉ femmes fille fils fortune frère funeste fureur gloire Grecs guerre Hélas Hélène HÉRAUT THÉBAIN héros heureux hymen immolée infortunées IPHIGÉNIE IPHIS j'ai Jupiter l'ancien éditeur l'armée l'autel l'hymen larmes madame mains malheurs maux Ménélas mère mort mortels mourir Musgrave Mycènes Note de l'ancien oracle ORESTE paraît parle paroles patrie Pélops père Phocide pleurs poëte Polynice porte prêtresse princesse Pylade qu'Euripide qu'Iphigénie Racine raison Rotrou sacré sacrifice sang sauver scène seigneur sentimens sera seul sœur songe sort spectateur statue sujet Tauride temple tendre Thèbes Thésée THOAS traducteur tragédie triste Troie Tydée Tyndare vaisseaux veut victimes VIEILLARD Voilà yeux
Popular passages
Page 267 - J'ose vous dire ici qu'en l'état où je suis Peut-être assez d'honneurs environnaient ma vie Pour ne pas souhaiter qu'elle me fût ravie, Ni qu'en me l'arrachant, un sévère destin, Si près de ma naissance, en eût marqué la fin.
Page 124 - C'est vous-même, seigneur ! Quel important besoin Vous a fait devancer l'aurore de si loin? A peine un faible jour vous éclaire et me guide, Vos yeux seuls et les miens sont ouverts dans l'Aulide.
Page 267 - Fille d'Agamemnon, c'est moi qui la première, Seigneur, vous appelai de ce doux nom de père ; C'est moi qui, si longtemps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les Dieux, Et pour qui tant de fois prodiguant vos caresses, Vous n'avez point du sang dédaigné les faiblesses.
Page 266 - D'un œil aussi content, d'un cœur aussi soumis Que j'acceptais l'époux que vous m'aviez promis, Je saurai, s'il le faut, victime obéissante, Tendre au fer de Calchas une tête innocente, Et respectant le coup par vous-même ordonné, use Vous rendre tout le sang que vous m'avez donné.
Page 218 - Un oracle dit-il tout ce qu'il semble dire? Le Ciel, le juste Ciel, par le meurtre honoré, Du sang de l'innocence est-il donc altéré ? Si du crime d'Hélène on punit sa famille , Faites chercher à Sparte Hermione sa fille. Laissez à Ménélas racheter d'un tel prix Sa coupable moitié dont il est trop épris. Mais vous , quelles fureurs vous rendent sa victime ? Pourquoi vous imposer la peine de son crime ? Pourquoi, moi-même enfin me déchirant le flanc, Payer sa, folle amour du plus pur...
Page 265 - Vous ne démentez point une race funeste ; Oui, vous êtes le sang d'Atrée et de Thyeste : Bourreau de votre fille, il ne vous reste enfin Que d'en faire à sa mère un horrible festin.
Page 220 - Cette soif de régner que rien ne peut éteindre, L'orgueil de voir vingt rois vous servir et vous craindre, Tous les droits de l'empire en vos mains confiés, Cruel ! c'est à ces dieux que vous sacrifiez...
Page 156 - Triste destin des rois! Esclaves que nous sommes Et des rigueurs du sort et des discours des hommes, Nous nous voyons sans cesse assiégés de témoins, Et les plus malheureux osent pleurer le moins! ULYSSE. Je suis père...
Page 259 - Et que m'a fait à moi cette Troie où je cours ? Au pied de ses remparts quel intérêt m'appelle ? Pour qui, sourd à la voix d'une mère immortelle, Et d'un père éperdu négligeant les avis, Vais-je y chercher la mort tant prédite à leur fils ? Jamais vaisseaux partis des rives du Scamandre...
Page 252 - Jamais Iphigénie, en Aulide immolée, N'a coûté tant de pleurs à la Grèce assemblée Que dans l'heureux spectacle à nos yeux étalé En a fait sous son nom verser la Champmeslé 2.