Histoire du lied: ou, La chanson populaire en Allemagne, avee une centaine de traductions en vers et sept mélodies

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Sandoz et Fischbacher, 1876 - Songs, German - 534 pages
 

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Common terms and phrases

Popular passages

Page 10 - Lis donc et relis premièrement (ô Poète futur), feuillette de main nocturne et journelle les exemplaires Grecs et Latins ; puis me laisse toutes ces vieilles poésies Françaises aux Jeux Floraux de Toulouse et au Puy de Rouen : comme rondeaux, ballades, virelais, chants royaux, chansons et autres telles épiceries, qui corrompent le goût de notre Langue, et ne servent sinon à porter témoignage de notre ignorance.
Page 45 - La poésie populaire et purement naturelle a des naïfvetez et grâces , par où elle se compare à la principale beauté de la poésie parfaicte , selon l'art...
Page 273 - Solvet saeclum in favilla ; Teste David cum Sibylla. Quantus tremor est futurus, Quando judex est venturus, Cuncta stricte discussurus ! Tuba mirum spargens sonum Per sepulchra regionum, Coget omnes ante thronum. Mors stupebit et natura, Cum resurget Creatura, Judicanti responsura. Liber scriptus proferetur, In quo totum continetur, Unde mundus judicetur. Judex ergo cum sedebit, Quidquid latet apparebit : Nil inultum remanebit.
Page 267 - It is curious to consider how those great masters of the Latin tongue who used to sup with Maecenas and Pollio would have been perplexed by " Tibi Cherubim et Seraphim incessabili voce proclamant, Sanctus, Sanctus, Sanctus, Dominus Deus Sabaoth ; " or by ' ' Ideo cum angelis et archangelis, cum thronis et dominationibus.
Page 36 - ... j'ai soulagé ta vieillesse; pour toi j'ai cultivé la terre; pour toi j'ai cueilli des fruits; pour toi j'ai fait la guerre aux poissons du fleuve; je t'ai garantie de la froidure; je t'ai portée, durant la chaleur, sous des ombrages parfumés ; je veillais sur ton sommeil, et j'écartais de ton visage les insectes importuns.
Page 468 - ... donjons; Je vois du jour le premier feu, Je reçois son dernier adieu; Je suis le fils de la montagne. Au berceau du torrent d'azur, Dans le roc je bois son flot pur. Il s'élance et mugit plus bas, Je cours le saisir dans mes bras ; Je suis le fils de la montagne. Ma maison forte est ce rocher. L'orage ne peut l'arracher, Qu'il hurle du nord au midi, Plus haut ma chanson retentit; Je suis le fils de la montagne. Gronde à mes pieds, nuage en feu ! Je suis debout dans le ciel blou.
Page 503 - CONCLUSION. 503 damoiselle, — on chante les vêpres des morts, — et avec des ciseaux on lui coupe — sa chevelure d'or. Or, la sœur qui...
Page 50 - Les klers, s'écrie-t-il , les vicieuses coutumes, ils les savent ; les mélodies sans art, ils les vantent; la gloire d'insipides héros, ils la chantent; des nouvelles, ils ne cessent d'en forger ; les commandements de Dieu, ils les violent; les femmes mariées, ils les séduisent par de tendres pensées ; les pures vierges*, ils les corrompent...
Page 293 - Schurä (Hist. du Lied, Paris 1868, p. 293—294): 1. Le Dieu juste est ma forteresse, Mon bouclier d'airain. Je sens son bras dans ma de'tresse, Je tiens sä forte inain.
Page 467 - C'est le jour du seigneur! Restons sur la prairie immense, Un son de cloche — puis silence — Au loin paix et bonheur. Je m'agenouille, 6 roi!

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