| Nicolas Boileau-Despréaux - 1695 - 250 pages
...blefle point la vue , Mais qu'une humeur trop libre , un efprit peu foûrnis De bonne heure a pourvû d'utiles Ennemis : Je dois plus à leur haine , il faut que je l'avoue , Qu'au foible & vain talent dont la France me loue. Leur venin qui fur moy brû le de s'épancher,... | |
| Nicolas Boileau-Despréaux - 1700 - 574 pages
...fouDe bonne heure a pourvu d'utiles Ennemis : Je dois plus à leur haine , il faut que je l'avoue , Qu'au foible & vain talent dont la France me loue. Leur venin qui fur moi brule de s'épancher , Tous les jours en marchant m'empêche de broncher. Je fonge à chaque trait... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - Criticism - 1701 - 414 pages
...Despafles Envieux ne blefle point la vue ; Mais qu'une humeur trop libre , un efprit peu fournis De bonne heure a pourvu d'utiles Ennemis : Je dois plus à leur haine , il faut que je l'avoue » Qu'au foible & vain talent dont la France me loue. Leur venin qui fur moy brule de s'épancher ,... | |
| Pierre Desmaizeaux - Critics - 1712 - 346 pages
...ble ffe point la vue , Mais qu'une humeur trop libre , un efprit peu fournis T>e bonne heure apourvu d'utiles Ennemis : Je dois plus à leur haine •> il faut que je l 'avoué , Qu'au foible & vain talent dont la France me loue. Leur venin qui fur moi brule de s'épancher*... | |
| Adrien Baillet - Criticism - 1722 - 490 pages
...Def- 4Defpréaux Epitievii. à Rac. fag.14}^ ' 14-4. &c. 'Ql^au foible & vain talent dont la francs me loue. Leur venin qui fur moi brûle de s'épancher , Tous les jours en marchant m'empêche de broncher. Je fonoe à ^chaque trait que ma plume hasarde , Que d'un œil dangereux leur troupe me regarde.... | |
| Adrien Baillet - Criticism - 1730 - 660 pages
...quelque chofe de femblable de lui-même. Moi , qu'une humeur trop libre , un efprit peu fournis t De bonne heure a pourvu d'utiles ennemis , Je dois plus à leur haine ; il faut que je l'avoue ; Qu'au foible & vain talent dont la France me loue. • Mais Mr. Baillet ne s'eft pas contenté de... | |
| Adrien Baillet - Criticism - 1725 - 1084 pages
...heure a pourvu d'utiles ennemis : Je dois plus à leur haine , il faut que je l'avoue , Qu'au foihle & vain talent dont la France me loue. Leur venin qui fur moi brûle de s'épancher, pu recevoir celui de l'Abbé" Cottin que lui pre'fentoit Defpréaux, parce qu'il l'acculoii en riant... | |
| Adrien Baillet - Criticism - 1725 - 644 pages
...fournis De bonne heure a pourvu d'utiles ennemis.Je dois plus à leur haine , il faut que je l'avoue , Qu'au foible & vain talent dont la France me loue. Leur venin qui fur moi brûie <âe s'épancher, Tous les jours en marchant m'empêcbî de broncher. Je fonge à chaque trait... | |
| Jean-Pierre Niceron - Bio-bibliography - 1733 - 484 pages
...d'utilet ennemis : Je dois plus à leur haine } il faut CJM je l'avoue , Qitaufoible & vain talent, dont U France me loue. Leur -venin } qui fur moi brûle de s'épancher , Tous les jourren marchant m'empêche de broncher. Je fonge à chatjue trait que mA pfa-i me hasarde t Que <tun... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1735 - 520 pages
...haine, il faut que je l'avoué',' *o^5s'au foiblc & vain talent dont la France me loue» Leur venio , qui fur moi brûle de s'épancher , Tous les jours en marchant m'empêche de broncher, Je fonge à chaque trait que ma plume hazarde, Que d'un œil dangereux leur troupe me regarde.... | |
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