Oeuvres de Nicolas Boileau Despréaux, Volume 1I. Vaillant, 1722 - 436 pages |
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... fen te verantwoorden , tot dien eynde wel expreffelyk begeren- de , dat by aldien hy defen Onfen Otroye voor het felve Boek , fal willen ftellen , daar van geen geabrevieerde ofte gecontra- heerde mentie fal mogen maken , neen maar ...
... fen te verantwoorden , tot dien eynde wel expreffelyk begeren- de , dat by aldien hy defen Onfen Otroye voor het felve Boek , fal willen ftellen , daar van geen geabrevieerde ofte gecontra- heerde mentie fal mogen maken , neen maar ...
Page iv
... fens de Mr. Despréaux , & de marquer les paffages citez par Mr. Pascal , qu'il avoit en vuë . On a fait d'autres Remarques hiftoriques , qui fervent à éclaircir divers endroits des Ou- vrages de Mr. Despréaux * . On a auffi ajouté des ...
... fens de Mr. Despréaux , & de marquer les paffages citez par Mr. Pascal , qu'il avoit en vuë . On a fait d'autres Remarques hiftoriques , qui fervent à éclaircir divers endroits des Ou- vrages de Mr. Despréaux * . On a auffi ajouté des ...
Page xxx
... fen- tir , que deux Vers du Poete Théophile , dans fa Tragedie intitulée , Pyrame & Thisbé ; lorsque cette malheureufe Amante aiant ramaffé le poignard encore tout fan- glant dont Pyrame s'étoit tué , elle querel- le ainfi ce poignard ...
... fen- tir , que deux Vers du Poete Théophile , dans fa Tragedie intitulée , Pyrame & Thisbé ; lorsque cette malheureufe Amante aiant ramaffé le poignard encore tout fan- glant dont Pyrame s'étoit tué , elle querel- le ainfi ce poignard ...
Page xxxi
... fens , plus froides que cet- te pensée . Quelle extravagance , bon Dieu ! de vouloir que la rougeur du fang , dont eft teint le poignard d'un Homme qui vient de s'en tuer lui - même , foit un effet de la honte qu'a ce poignard de l'a ...
... fens , plus froides que cet- te pensée . Quelle extravagance , bon Dieu ! de vouloir que la rougeur du fang , dont eft teint le poignard d'un Homme qui vient de s'en tuer lui - même , foit un effet de la honte qu'a ce poignard de l'a ...
Page 18
... fens naïf qu'il renferme . Les Grecs avoient auffi un pro- verbe , dont le fens répond à celui - ci : Tà oûxa oũna , Tur σκά Pour un fi bas emploi ma Mufe eft trop altiere 18 SATIRE I.
... fens naïf qu'il renferme . Les Grecs avoient auffi un pro- verbe , dont le fens répond à celui - ci : Tà oûxa oũna , Tur σκά Pour un fi bas emploi ma Mufe eft trop altiere 18 SATIRE I.
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Common terms and phrases
adreffée affez ainfi ajoûta Alcippe Apollon auffi auroit Auteur avoient avoit beau bien-tôt Boileau C'eft C'eſt caufe ceffe Cenfeurs Chapelain chofe cœur compofa Confeiller Cotin d'Amft deffein déja Despréaux Dieu difoit dire discours Docteur Ecrits Edition emploïé endroit enfuite Epître Esprit eſt étoient étoit fage faifoit fameux fans fecond fens fentiment feul foi-même foin foit font fouffrir fous fouvent François ftile fuis fuite fuiv fuivans fujet Gilles Boileau grace grans Hautile Heros homme Horace Ibid illuftre IMIT j'ai jour jufte Juvénal l'Abbé l'Auteur l'Epître laiffe Lettre Moliere Monfieur mourut Mufe n'avoit n'eft n'eſt n'étoit Nicolas Boileau Ouvrages paffage paffer Païs parler penfée penſée perfonne Phèdre Pièce plaifir plufieurs Poëfie Poëme Poëte poëtique Pradon premières éditions Prince qu'un Racine Raifon refte Regnier Remarque fur Rhin rimer s'eft Satire ſes ſon tems toûjours trifte vains Vertu yeux دو
Popular passages
Page 168 - C'est pour elle, en un mot, que j'ai fait vœu d'écrire. Toutefois , s'il le faut, je veux bien m'en dédire, Et , pour calmer enfin tous ces flots d'ennemis , Réparer en mes vers les maux qu'ils ont commis.
Page 145 - Assez et trop long-temps ma lâche complaisance De vos jeux criminels a nourri l'insolence; Mais, puisque vous poussez ma patience à bout, Une fois en ma vie il faut vous dire tout.
Page 363 - De bonne heure a pourvu d'utiles ennemis, Je dois plus à leur haine, il faut que je l'avoue, Qu'au faible et vain talent dont la France me loue.
Page 127 - S'en alla follement, et pensant être dieu, Courir comme un bandit qui n'a ni feu ni lieu ; Et, traînant avec soi les horreurs de la guerre, De sa vaste folie emplir toute la terre : Heureux, si de son temps, pour cent bonnes raisons.
Page 147 - Et ne savez-vous pas que , sur ce mont sacré , Qui ne vole au sommet tombe au plus bas degré; Et qu'à moins d'être au rang d'Horace ou de Voiture...
Page 98 - Car à peine les coqs, commençant leur ramage, Auront de cris aigus frappé le voisinage, Qu'un affreux serrurier, laborieux Vulcain, Qu'éveillera bientôt l'ardente soif du gain, Avec un fer maudit, qu'à grand bruit il apprête, De cent coups de marteau me va fendre la tête.
Page 24 - L'habit qu'il eut sur lui fut son seul héritage, Un lit et deux placets composaient tout son bien ; Ou, pour en mieux parler, Saint-Amant n'avait rien. Mais quoi ! las de traîner une vie importune, II engagea ce rien pour chercher la fortune, Et, tout chargé de vers qu'il devait mettre au jour, Conduit d'un vain espoir, il parut à la cour 5.
Page 154 - On ne sait bien -souvent quelle mouche le pique. Mais c'est un jeune fou qui se croit tout permis, Et qui, pour un bon mot, va perdre vingt amis.
Page 146 - Qu'étant seul à couvert des traits de la satire Vous avez tout pouvoir de parler et d'écrire. Mais moi qui dans le fond sais bien ce que j'en crois, Qui compte...
Page 98 - Les maçons travailler, les boutiques s'ouvrir : Tandis que dans les airs mille cloches émues D'un funèbre concert font retentir les nues ; Et, se mêlant au bruit de la grêle et des vents, Pour honorer les morts font mourir les vivants.