Revue suisse, Volume 211858 |
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... enfin je me souvins que je n'étais point du tout obligé d'aller jusqu'à Lucerne ce jour - là . Je résolus donc de jouir un moment encore de cette vue du matin , je me laissai aller à mille rêveries délicieuses , et enfin je me rendormis ...
... enfin je me souvins que je n'étais point du tout obligé d'aller jusqu'à Lucerne ce jour - là . Je résolus donc de jouir un moment encore de cette vue du matin , je me laissai aller à mille rêveries délicieuses , et enfin je me rendormis ...
Page 21
... Enfin , nous devons mentionner les cours d'eau souterrains de la Grèce , déjà célèbres dans l'antiquité . Les eaux des vallées intérieures s'engouffrent également dans des espèces d'entonnoirs connues sous le nom de Catabothras . Mais ...
... Enfin , nous devons mentionner les cours d'eau souterrains de la Grèce , déjà célèbres dans l'antiquité . Les eaux des vallées intérieures s'engouffrent également dans des espèces d'entonnoirs connues sous le nom de Catabothras . Mais ...
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... enfin un régulateur fabriqué à Soumis- wald , par M. Leuenberger fils , et marchant une année . Le pen- dule seul de cette grosse pièce pesait 30 livres . Cette fabrique de pendules de Soumiswald paraît jouir d'une bonne réputation et ...
... enfin un régulateur fabriqué à Soumis- wald , par M. Leuenberger fils , et marchant une année . Le pen- dule seul de cette grosse pièce pesait 30 livres . Cette fabrique de pendules de Soumiswald paraît jouir d'une bonne réputation et ...
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... Enfin , pour ne rien omettre , les grands rideaux , au cro- chet et en filet , exposés par je ne sais quel établissement des- tiné aux jeunes filles pauvres du canton de Berne , méritent d'être mentionnés , et font voir que les tissus ...
... Enfin , pour ne rien omettre , les grands rideaux , au cro- chet et en filet , exposés par je ne sais quel établissement des- tiné aux jeunes filles pauvres du canton de Berne , méritent d'être mentionnés , et font voir que les tissus ...
Page 53
... enfin la dernière immobilité . Main- tenant , c'était la mort même et non plus son imitation sur la scène . Celle que j'avais vue jeune , belle , dans toute la force de son talent et dans tout l'éclat de sa gloire , elle était bien ...
... enfin la dernière immobilité . Main- tenant , c'était la mort même et non plus son imitation sur la scène . Celle que j'avais vue jeune , belle , dans toute la force de son talent et dans tout l'éclat de sa gloire , elle était bien ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 320 - Je n'irais pas me bâtir une ville en campagne, et mettre au fond d'une province les Tuileries devant mon appartement. Sur le penchant de quelque agréable colline bien ombragée, j'aurais une petite maison rustique...
Page 272 - Mon logement me coûtait trois sous par jour , je brûlais pour trois sous d'huile par nuit, je faisais moi-même ma chambre , je portais des chemises de flanelle pour ne dépenser que deux sous de blanchissage...
Page 317 - ... ils perdent cette pointe aiguë qui les rend douloureux ; ils ne laissent au fond du cœur qu'une émotion légère et douce ; et c'est ainsi qu'un heureux climat fait servir à la félicité de l'homme les passions qui font ailleurs son tourment. Je doute qu'aucune agitation violente, aucune maladie de vapeurs pût tenir contre un pareil séjour prolongé, et je suis surpris que des bains de l'air salutaire et bienfaisant des montagnes ne soient pas un des grands remèdes de la médecine et...
Page 316 - ... tout cela dégage mon âme, me donne une plus grande audace de penser, me jette en quelque sorte dans l'immensité des êtres pour les combiner, les choisir, me les approprier à mon gré, sans gêne et sans crainte. Je dispose en maître de la nature entière; mon cœur, errant d'objet en objet, s'unit, s'identifie à ceux qui le flattent, s'entoure d'images charmantes, s'enivre de sentiments délicieux.
Page 222 - II est plus facile à un chameau de passer par le trou d'une aiguille qu'à un riche d'entrer dans le royaume de Dieu...
Page 317 - Il semble qu'en s'élevant au-dessus du séjour des hommes, on y laisse tous les sentiments bas et terrestres, et qu'à mesure qu'on approche des régions éthérées, l'âme contracte quelque chose de leur inaltérable pureté.
Page 317 - En effet, c'est une impression générale qu'éprouvent tous les hommes, quoiqu'ils ne l'observent pas tous, que sur les hautes montagnes, où l'air est pur et subtil, on se sent plus de facilité dans la respiration, plus de légèreté dans le corps, plus de sérénité dans l'esprit; les plaisirs y sont moins ardents, les passions plus modérées.
Page 316 - ... en ce moment, pas un seul ne se tait; leur gazouillement, faible encore, est plus lent et plus doux que dans le reste de la journée, il se sent de la langueur d'un paisible réveil. Le concours de tous ces objets porte aux sens une impression de fraîcheur qui semble pénétrer jusqu'à l'âme. Il ya là une demi-heure d'enchantement auquel nul homme ne résiste : un spectacle si grand, si beau, si délicieux, n'en laisse aucun de sang-froid.
Page 284 - Quand une lecture vous élève l'esprit, et qu'elle vous inspire des sentiments nobles et courageux, ne cherchez pas une autre règle pour juger de l'ouvrage; il est bon et fait de main d'ouvrier.
Page 316 - La vue de la campagne, la succession des aspects agréables, le grand air, le grand appétit, la bonne santé que je gagne en marchant, la liberté du cabaret, l'éloignement de tout ce qui me fait sentir ma dépendance, de tout ce qui me rappelle à ma situation, tout cela dégage mon âme, me donne une plus grande audace de penser, me jette en quelque sorte dans l'immensité...